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Do you think Brangelina could adopt me?

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MessageSujet: Do you think Brangelina could adopt me? Do you think Brangelina could adopt me? EmptyMar 21 Déc - 5:14

Do you think Brangelina could adopt me? 2ludwk4


« ARE YOU SERIOUS ? DID YOU JUST REALLY SAY THAT? »
« What? What’s wrong? I tough you said I was rude earlier, now that I try to make co – »
« OH PLEASE! Please, tell me you’re just asking those questions to embarrass me! »
« Stop it! You’re embarrassing yourself! Can you please stop screaming! »
« I’ll scream THE FUCK I WANT. This is MY HOUSE and you – »
« I what? I what Felicity? I’m just asking question, it’s for your own good, for you future… You need to think about it. »
« …. Fuck off mom. Just. Fuck Off. Leave us alone.»
« Language! and.. Don't walk away when I'm talking to you ! FELICITY AUTUMN DOYLE COME BACK HERE IMMEDIATELY. » Bouillante de rage Felicity avait tournée le dos à sa mère et s’empressait de trouver la sortie. Sur son chemin, les invités semblaient se volatiliser devant elle, lui cédant le passage, personne n’essaya de la retenir. Personne n’osait même parler. La blonde grimpa rapidement les escaliers familiers de sa deuxième demeure, le genre de truc massif, en mabres, le bruit de ses talons résonnait dans toute la maison – dans tout le château –, mais surement moins que les mots de sa mère dans ses oreilles. Comment elle avait pu se montrer aussi… aussi… ARGH, elle n’avait tout simplement pas de mots pour exprimer ce qu’elle ressentait envers la personne qui avait pris possession du corps de sa mère un instant avant. La jeune femme claqua la porte de sa chambre, dans la meilleure imitation possible de ses crises d’adolescence. La seule différence était que cette fois, elle portait un bébé dans ses bras, en équilibre sur ses hanches, Sofia fixait sa mère avec ses grands yeux bleus, même elle n’osait pas faire un son. Fee la déposa le plus doucement du monde sur le tapis de jeu qui prenait place dans un coin de chambre. Puis eut la même réaction débile qu’elle avait depuis ses douze ans. Elle se jeta dans son lit, s’enfouit la tête dans ses oreilles et cria le plus fort qu’elle pouvait. Elle laissa plusieurs secondes passées, puis se redressa dans son lit. Elle savait que Pedro était dans la pièce, mais elle n’osait pas se retourner, elle n’osait pas bouger, elle avait encore trop honte de ce qui venait de se passer. La façon donc sa mère avait agi. Dès qu’elle avait ouvert la bouche Felicity, c’était attendu au pire, mais apparemment, elle pouvait encore être surprise. Elle ne savait pas ce qui était le pire, le moment ou Catherine avait clairement fait comprendre qu’elle n’avait aucune confiance envers le petit ami de sa fille, le moment ou elle lui avait tout simplement demander ‘combien il valait ’ et ‘Quand est-ce qu’il pensait pouvoir toucher l’argent.’ ou encore quand elle c’était mis à parler de mariage, d’inviter et de listes. L’héritière émit un grognement et se cacha une fois de plus la tête dans ses mains, priant tous les Dieux qu’elle connaissait d’ouvrir le sol sous ses pieds et l’engloutir d’un seul coup. Quand elle dut se rendre à l’évidence que ses prières ne seraient pas exaucé, elle soupira un bon coup puis releva la tête. « Je suis vraiment désolée. » C’était vraiment la seule chose qu’elle pouvait dire pour le moment. Incapable de regarder son homme en face, Felicity se leva du lit comme une flèche, sortie les valises de dessous le lit et jeta tout ce qui se trouvait à porter de main, pelle mêle dedans. Ils étaient arrivés que dans la nuit, mais il était hors de question que Fee supporte sa mère ou sa famille encore longtemps. Quand elle était à New York, l’Angleterre lui manquait tellement que parfois ça en devenait insupportable. Mais comme à chaque fois qu’elle y remettait les pieds plus de dix minutes, quelqu’un, et la plupart du temps ce quelqu’un partageait son ADN, lui rappelait pourquoi elle était partie en premier lieu. Sa famille, ses êtres snobs de la haute société qui pensaient qu’à leurs noms, qu’à leurs argents, qu’à leurs honneurs. Il lui donnait mal au cœur, eux qui prônaient l’étiquette, les bonnes manières ne savaient absolument pas se tenir en public. « Tu sais, j’aimerais vraiment te dire que c’est de la faute de ses hormones, qu’elle n’est pas à blâmer. Mais en fait, je ne sais même pas pourquoi je suis étonné. Ma famille… cauchemars… monstres…. Requins…. Argents….. Snobs… FUCK ! » La blonde était tellement énervée que seulement quelques mots de ce qu’elle marmonnait étaient compréhensibles. Elle continuait de jeter vêtements et jouets de bébé au hasard dans ses valises et de l’autre main, elle essayait tant bien que mal de réserver des places en première sur le prochain vol pour New York. « Et clairement, je suis pas mieux qu’eux, si je l’étais j’aurais affronté ça toute seule, c’était vraiment égoïste de ma part de t’avoir demander de venir et… god… Je suis vraiment désolée. » Puis elle s'arrêta nette en plein milieu de la pièce, son iphone dans une main, une chaussure dans l'autre. On pouvait entendre les bruits typiques de la fête qui avait repris au premier étage. Les conversations allaient de bon train et Fee n'avait aucun mal à imaginer le sujet principal. « Tu me détestes, dis? »

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Dernière édition par Felicity Leroy-Doyle le Sam 29 Jan - 0:04, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Do you think Brangelina could adopt me? Do you think Brangelina could adopt me? EmptyJeu 23 Déc - 22:32

Acometa quien quiera, el fuerte espera.

Pedro De la Vega




Pedro était mal à l’aise, il avait grandi dans ce genre d’endroit, évidemment, il savait à quoi s’attendre, mais les questions de Catherine à son égard l’avait perturbé… d’abord, il était clair qu’elle ne l’appréciait guère, elle devait être persuadée qu’il n’était qu’un moins que rien que Felicity était obligée de se coltiner à cause des jumeaux. Pedro avait accusé le coup avec beaucoup de politesse, il n’était pas du genre à s’énerver en public, il se dit simplement qu’après tout, elle pensait à l’avenir de sa fille, à son « bien », alors il avait essayé de lui plaire, usant des bonnes manières que son aïeul don Diego lui avait enseignées dès son plus jeune âge. Et la lueur dans les yeux de la mère de Fee avait aussi tôt changé en comprenant qu’il venait de « leur » monde, elle devenait curieuse à son égard, se demandant qui il était réellement dans son pays… et elle voulait surtout savoir sa valeur réelle… Pedro ne parlait jamais vraiment de l’argent qu’il touchait, il se contentait de répondre « beaucoup » en général, après tout, il ne touchait pas encore l’argent comme « héritier », l’argent principal revenant à son père don Alejandro. Tant qu’il n’était pas désigné don, Pedro ne touchait même pas le quart de l’héritage… sauf que ce quart lui permettait déjà d’acquérir de nombreuses choses. Du bout des lèvres, il dit juste qu’il avait de quoi ne jamais travailler s’il le souhaitait et que sa famille et lui vivait depuis plus de deux siècles sur les fortunes issues d’héritage. Cela dit, les De la Vega avait toujours travaillé, pour chacun apporter une pierre à l’édifice familial et depuis deux générations, ils évoluaient sur le marché boursier afin d’acquérir encore plus de fortune. « Pour occuper notre temps » avait simplement dit don Diego quand il lui avait appris comment marchait un marché boursier, dans quel genre d’entreprise il fallait faire des placements etc… et là, l’avidité dans les yeux de Catherine était devenue évidente pour tout le monde, et elle commença à parler mariage, parler avenir. Lier sa fille, l’héritière de la famille, à lui ne lui semblait plus du tout inconcevable, Pedro fut aussi mal à l’aise mais il resta poli, essayant vaillamment de se sortir de cette situation de plus en plus inconfortable pour lui. Et c’est Fee qui le fit avec toute sa colère, elle n’en revenait pas du toupet de sa mère et elle lui fit sentir à quel point elle désapprouvait son comportement, après des paroles amères, elle partit sans demander son reste. Pedro regarda alors la mère qui critiqua devant lui Felicity en maudissant son fort caractère. L’argentin eut une sorte de petit sourire en coin.

-C’est aussi pour ça que je l’aime. Si vous voulez bien m’excuser Señora, mais je ne peux rester à une fête où ma compagne n’est plus de la partie.

Pedro serra alors la main de Diego qui lançait un regard noir à la maman de Fee, il ne semblait pas tellement apprécier qu’on ait énervé la blonde, et il était trop petit pour cacher ses sentiments profonds. Sirius qui était dans les bras de son père geignait de la disparition de sa mère avec sa sœur, il était déjà clair que le petit n’aimait pas être séparé de sa « moitié », Pedro sourit en déposant un baisé sur le front de son cadet tout en serrant affectueusement la main de son aîné.

Quand il rentra finalement dans la chambre, Fee était étendue sur le lit, elle s’excusa et se mit à s’agiter, elle sortit les valises et commença à tout balancer. Pedro ne dit rien, il ne savait pas trop quoi dire à vrai dire, il savait juste qu’il ne voulait pas partir, ils venaient à peine d’arriver, il était sur les rotules, les petits aussi, il fallait qu’ils se reposent un peu. Mais Pedro garda le silence, il savait que Felicity devait d’abord se calmer, elle s’agitait tellement, de tout son corps émanait une aura incendiaire, elle en voulait tellement à sa mère qu’il valait mieux la laisser évacuer sa rancune. Elle s’excusa aussi pour le comportement de sa mère, Pedro la laissa faire en se rapprochant petit à petit d’elle, plus elle parlait, plus elle arrêtait de bouger partout. Quand elle lui fit part qu’elle n’était pas mieux qu’eux, Pedro secoua négativement la tête, Fee était tellement mieux, tellement différente de ces gens. Elle s’arrêta définitivement et d’une voix assez tendue lui demande s’il la détestait.

Le brun fronça les sourcils et eut une sorte de sourire en coin avant de prendre son visage en coupe et de l’embrasser. Il aimait l’embrasser, la toucher, être tendre avec elle, il aimait prendre soin d’elle et il déposa son front contre le sien, elle était tellement petite, on avait envie de la protéger quand elle était ainsi, quand elle montrait ce côté peu sûr et fragile de sa personnalité.

-Non, je ne te déteste pas, comment le pourrais-je ? Tu m’as défendu Fee… mais tu n’aurais pas dû, ce n’est pas si grave, oui j’étais mal à l’aise, mais en soit, elle veut juste ton bonheur avec quelqu’un qu’elle estime digne de toi…

Pedro s’assit sur le grand lit de leur chambre, il l’attira à lui et déposa sa tête sur son ventre, ses mains posées sagement sur ses hanches.

-De toute façon, c’est la deuxième fois qu’on me parle de mariage avec toi tu sais, ma mère… il se racla la gorge. Enfin, l’idée d’officialiser les choses ne lui déplairait pas, elle me l’a fait comprendre à sa façon, sauf que ton espagnole est moins bon que mon anglais et tu n’as pas pu le comprendre, plaisanta-t-il.

Son regard plongea dans le regard bleu de celle dont il n’arrivait pas à se passer, celle qui avait été tellement importante en tant qu’amie avant d’être bien plus, il en était tellement accro, et il se rendait compte que tout ce temps qu’il avait passé à lutter afin de ne pas céder à cette attraction qui le poussait sans cesse vers elle. Il n’avait pas voulu perdre son amitié, c’était ce qui l’avait fait longtemps hésité, ce qui l’avait retenu, mais quand il avait été célibataire et elle aussi, quand il avait pu l’avoir à lui, il s’était rendu compte qu’il ne pouvait plus la laisser à un autre, cette simple idée le révoltait… alors il avait pris un risque et il ne le regrettait pas. C’était tellement évident que c’était elle qu’il aimait que personne n’avait été surpris.

-Tu sais l’idée de t’épouser un jour ne m’effraye pas femme.



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MessageSujet: Re: Do you think Brangelina could adopt me? Do you think Brangelina could adopt me? EmptyDim 26 Déc - 16:37

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Elle l'écoutait parlée, passant ses doigts dans ses cheveux, sa mâchoire. Elle s’était calmée aussi rapidement qu'elle s’était énervée, c'était toujours comme ça avec elle. « Tu sais quoi, nos mères ne devront *jamais* se rencontrer. » Felicity avait dit ça en riant puis c’était pencher la tête pour l’embrasser, les mains autour de son cou. « Je n’ai pas peur, je sais que je devrais sans doute… Mais non. » D’un coup de talon, elle enleva ses chaussures et grimpa se faire une place dans son lit. « Même que, tu sais le soir qu’on est arrivée en Floride, et-que toi-tu-dormais-très-profondément-dans-ton-lit-à-New-York-car-tu-venait-pas-de-te-taper-dix-huit-heures-de-route, oui oui, ce soir-là donc. C’est moi qui ai réglé notre arrivée à l’hôtel, et les employés ont tous assumé qu’on était mariés. Je n’ai jamais pris le temps de les contredire. Du coup j’ai eu le droit à être ‘Mrs De La Vega’ toute la semaine, personne à vraiment remarquer, mais en fait ça me dérangeait pas, même que j’étais un peu.. Fière.. À chaque fois. M’enfin.. » Elle était contente de faire face qu’au dos de Pedro, car il n’avait pas pu la voir rougir. C’était le genre de chose qui la rendait maladroite souvent, les relations sérieuses n’avaient jamais été son point fort. Faut dire qu’elle n’avait jamais vraiment eu d’exemple, ses parents n’avaient jamais été ensemble, sa mère lui avait longtemps caché sa relation avec Harry jusqu’à leurs fiançailles. Puis les faits avaient été là, un tant soit peu elle s’attachait aux hommes qui étaient passés dans sa vie, ils semblaient fuir aussitôt, pour une raison ou une autre. Aucun d’eux ne l’avait vraiment blessé, car elle ne s’était jamais attendue à plus. Mais maintenant, avec Pedro, c’était différent. Et elle savait qu’elle devrait avoir peur, qu’elle devrait courir à l’exact opposé, mais elle se sentait tellement bien depuis quelques semaines, tout venait tellement naturellement que même si elle essayait vraiment fort de tout remettre en question, elle arrivait à rien. Oui, elle avait eu *peur* pendant un moment, elle savait que ça allait être tout ou rien et que toutes leurs décisions allaient avoir un impact direct sur leurs enfants, mais elle n’avait pas vraiment hésité à prendre le risque. De toute façon, elle le savait depuis longtemps, à la fin, ça avait toujours été lui. Quand les autres seraient passés dans sa vie, laissant plus ou moins de traces, Pedro aurait été celui qui serait resté avec elle tout le long, elle l’avait toujours sue. Elle était à lui, bien plus qu’elle avait été à d'autres et il était à elle, et elle avait toujours eu une sainte horreur de partager ses jouets.
Couchée sur le côté, elle s’étira le bras et du bout des doigts, elle traçait paresseusement des formes, des dessins, des mots, dans le dos de Pedro. C’était enfantin, mais elle ne pouvait pas s’empêcher, elle avait toujours été affectueuse et câline, mais c’était plus que ça, elle avait besoin de sentir qu’il était près d’elle, sa présence, son odeur.. Elle qui avait toujours clamé d’être indépendante, c’était de plus en plus foutu. « Mais sérieusement… Peu importe ce que ma mère peut dire, parce que oui, je suis certaine qu’elle n’a pas fini de dire son mot, ne pense jamais que je suis avec toi pour ton argent. Ton corps peut-être, mais ton argent non. »

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MessageSujet: Re: Do you think Brangelina could adopt me? Do you think Brangelina could adopt me? EmptyMer 29 Déc - 1:26

Fee avait cette facilité assez incroyable de changer d’humeur, Pedro aimait à penser que c’était quand même un peu grâce à lui. Elle se calmait dans ses bras, à son contacte, c’était con, un peu macho, mais de toute façon, il était toujours un peu con pour tout ce qui concernait Fee. Quand elle lui dit que leurs mères ne devaient jamais se rencontrer, Pedro ricana, ça le faisait rire, elles voulaient tellement se mêler de leur vie. Cela dit, la blonde l’embrassa et il redevint aussi tôt sérieux pour répondre à son baisé.

Elle grimpa dans le lit et se coucha, Pedro était étendu à ses côtés, il lui tournait le dos, mais ça ne dérangeait pas la blonde, il sourit quand elle lui rappela qu’il n’avait pas dormi avec eux le premier soir de leur périple en Floride, Fee n’avait pas aimé être laissée seule et elle lui faisait encore savoir. Cela dit, il ne pouvait pas rigoler trop fort, Fee savait parfaitement comment le punir lorsqu’il la vexait. Cela dit, la suite de ses explications le firent arrêter toutes autres activités, il sentit son cœur arrêter de battre quelques secondes. Venait-elle vraiment de dire ça ? Son cœur battit un peu plus vite. Oui, elle l’avait dit, son sourire s’élargit, bon sang, il était heureux, cette petite femme le rendait heureux et l’idée qu’un jour elle porte son nom, qu’elle soit sa Mrs De la Vega était tentante. Felicity De la Vega. Son cœur manqua un battement, ça lui allait tellement bien.

Il ferma les yeux, s’imaginant Fee dans une robe de mariée, il l’avait déjà vu, il s’était déjà marié avec elle, par amitié… elle était tellement belle, à couper le souffle. Mais l’imaginer dans un endroit plus traditionnel avec des centaines de témoins de leur amour. Parce qu’il était question de ça. Fee lui était destinée. Fee était son évidence. C’était elle à la fin, toujours. Peu importe ses hésitations, son parcours, à l’instant où elle était rentrée dans sa vie, elle avait pris tellement de place et d’importance qu’il ne pouvait nier l’évidence qui était sous ses yeux.

Pedro voulait unir de nouveau sa vie, il ne pensait pas en être capable un jour, passer le stade du deuil et tout le tralala, mais Fee lui avait donné une raison de vivre avec Sofia et Sirius, puis elle lui avait donné une raison d’aimer en s’offrant à lui. Peut-être pas tout de suite dans l’immédiat, parce que c’était tôt… mais il n’avait jamais été l’homme le plus patient, et le fait que tout le monde lui en parle… oui, ça le faisait quand même réfléchir à la question. Et puis, il se sentait différent, depuis qu’elle avait accepté d’être avec lui, il se sentait simplement bien, proche d’une femme comme il ne l’avait plus été depuis des années. Il était calme et paisible parce qu’il savait qu’il n’y avait pas à s’inquiéter, maintenant qu’il avait Fee pour lui, elle lui appartenait, et il allait tout faire pour lui rappeler, pour la marquer sienne. Son côté possessif ressortait comme jamais, il était jaloux de n’importe quel mec qui posait son regard sur elle, mais il avait aussi confiance, elle ne lui ferait pas de mal. Tout comme lui ferait en sorte de ne jamais la décevoir et de ne jamais la laisser tomber.

Fee était une femme indépendante, qui aimait et réclamait sa liberté, mais dans le fond, c’était uniquement par peur d’être blessée, aucun hommes n’avaient su rester auprès d’elle, à commencer par son père. Et c’est pour ça que Pedro voulait s’efforcer d’être juste à la hauteur. Il essayait de panser petit à petit toutes les douleurs laissées par ses amours précédents, il voulait lui laisser le temps de cicatriser.

Quand Fee lui avoue être avec lui pour son corps, il éclata de rire, il se tourna vers elle avant de l’embrasser de façon pressante. Quand il se sépara d’elle, le seul plus saccadé, il la regarda dans les yeux avant de sourire de façon amusé.

« J’ai toujours su que c’était pour mon corps. Moi je te veux seulement pour le sexe tu sais, tu es vraiment la femme la plus souple que je connaisse ! » s’amusa-t-il.

Pedro était d’humeur plus taquine ce soir. Il passa sa main dans les cheveux de Fee, ils étaient fins et délicats, ils sentaient bons, ils les aimaient, il aimait tout en elle de toute façon. Il la regarda plus sérieusement dans les yeux.

« Tu sais, nos mères finiront par se rencontrer, le jour de notre mariage. Sauf que ce sera notre décision à nous et celle de personne d’autres. Mais j’ai envie que ce soit bien, j’ai envie que ce soit le mariage que tu as toujours imaginée mais en mieux. Et tu deviendras Mrs De la Vega pour de vrai et tu pourras parader autant que tu veux pour toujours ! Et on sera heureux, tu auras mon corps, et moi, et bien, je pourrais avoir ton corps chaque nuit, nuits après nuits… »

Pedro l’embrassa plus tendrement, puis le bruit de ses enfants dans la chambre lui rappela qu’ils n’étaient pas encore seuls. Il se leva avant d’être beaucoup trop tenté et il alla chercher Sofia pour la porter. Couché sur le dos, Sirius gigota furieusement, fâché que sa sœur ne soit plus à ses côtés. Pedro éclata de rire devant son fils caractériel « C’est aussi ma princesse ! Tu partages, c’est tout hijo ! puis en se tournant vers Fee il lança d’un ton amusé. C’est bien ton fils ! »

Diego éclata de rire, et il caressa le haut du sommet de la tête de Sirius tout doucement. Ils étaient sa famille avec James, les personnes les plus importantes de la vie de l’Argentin, et les voir dans cette pièce le rendait simplement heureux.
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MessageSujet: Re: Do you think Brangelina could adopt me? Do you think Brangelina could adopt me? EmptyMer 29 Déc - 5:12

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Elle émit un petit grognement quand Pedro se leva du lit, pendant un moment, elle avait pratiquement oublié que trois enfants se trouvaient dans la pièce. Elle s'assit sur ses genoux au beau milieu du lit. Les valises trainaient encore devant elle, elle les regarda bêtement, se demandant presque ce qu'il faisait là, la crise passée elle savait parfaitement qu'il ne rentrait pas à New York ce soir, ils étaient tous fatigués, les petits surtout, depuis Floride Felicity avait jamais vraiment rangés ses valises, trois semaines déjà, ça avait fait beaucoup de kilométrages et d'heures de vol en si peu de temps. Quand elle entendue la remarque sur *son* fils, elle releva la tête et tira la langue. « Évidemment que c'est bien mon fils. Il a que des qualités et aucun défaut, comme moi quoi. » Elle regardait son fils par terre et se rendit compte à quel point le temps avait passé rapidement. Ses bébés avait bientôt neufs mois, il se promenait de plus en plus facilement à quatre pattes, essayait de se lever debout en s’agrippant à tout ce qu’ils pouvaient, bon pour le moment, c’était un échec total et ils ne pouvaient que tenir quelques secondes avant de retomber sur leurs fesses, mais bientôt ils allaient commencé à marcher. Dire qu’il y a un an à peine, elle était à treize semaines précisément, son ventre était bombé, mais à peine, elle n’avait même pas commencé a porté du linge de maternité, même qu’aux Fiji, ses bikinis lui allaient encore parfaitement. Son cœur se serra un moment, si elle le pouvait elle figerait le temps à jamais. Elle se leva de son lit et alla prendre son fils dans ses bras, au passage, elle embrassa Diego sur la joue et lui passa une main dans les cheveux. Même lui vieillissait à vue d’œil, il avait pratiquement perdu ses joues rondes de bambins et grandissait de plus en plus. « Et puis, il n’a pas besoin d’apprendre à partager de toute façon. » Elle alla s’assoir de travers dans un fauteuil près du foyer. Son manoir était magnifique, mais très ancien, le chauffage était assez douteux. Elle assied Sirius sur son ventre et s’amusait à le faire rire. « Pour que ma mère soit à notre mariage déjà… Elle sourit comme une gamine en disant ‘notre mariage’ à voix haute. Elle va devoir s’excuser, j’en ai marre de ses humeurs, son fait un an que sa dure, elle n’a pas d’excuse… » Voilà, elle était encore de mauvaise humeur. Elle ferma les yeux quelques secondes pour se calmer. « Je n’y ai jamais pensé, au mariage que je voulais en fait, m’enfin, dans ma famille, c’est toujours énorme, affreux, barbant, snob… À leurs images quoi. Alors, quand j’étais plus jeune, je me disais que j’allais me pousser avec mon mari, qu’on se marié sur une plage en Espagne, lui en jeans et moi en robe d’été, et qu’on allait revenir, que ma famille serait énerver à mort et que j’allais rire pour le restant de mes jours. » Elle fronça les sourcils, c’est vrai qu’elle y avait jamais pensé, en même temps, elle avait que vingt-trois ans et mis à part les rendez-vous arrangés de sa famille, elle avait vraiment jamais parlé de mariage avec personne, en fait, elle avait jamais vraiment envisagé, spécialement après avoir eu Sirius et Sofia, elle aurait jamais plus leurs ‘imposés ’ quelqu’un comme ça. Mais là c’était différent, oui d’accord, ça ne faisait pas des années qu’elle était ~ officiellement ~ avec Pedro, mais c’était différent, tellement évident, deux semaines, deux ans, quinze, le résultat serais le même. C’était un sentiment tellement rassurant et étrange en même temps, mais bon, ils n’avaient jamais été vraiment normaux non plus.

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MessageSujet: Re: Do you think Brangelina could adopt me? Do you think Brangelina could adopt me? EmptyMar 4 Jan - 20:23

Pedro n’avait jamais vraiment eu de « cocon » familiale, ses parents étaient tout simplement hors du tableau lorsqu’il était tout petit et son grand-père bien qu’affectueux et adorable avec lui ne pouvait combler ce « vide » familiale que le petit garçon avait toujours ressenti. C’est pour ça qu’il faisait tant d’efforts pour que sa famille à lui soit bien et heureuse. Ses enfants étaient sa priorité, il aurait tout fait pour eux, il passait son temps à s’inquiéter, à les prendre dans ses bras, à leur chanter des chansons, à leur jouer de la musique, il voulait être présent pour tout ce que ses parents avaient été absents. Et il espérait faire du bon boulot, il n’avait pas vraiment de modèle à suivre, il le faisait juste suivant son instinct, et comme tout le monde semblait être « bien ».

Et puis bon, après ses bébés, ou au même niveau plutôt, il y avait Fee, elle avait toujours été différente pour lui, il l’avait toujours protégée et couvée, bien avant qu’il admette avoir des sentiments pour elle, elle était à part, parce qu’elle était forte, indépendante, elle semblait si déterminée, alors que beaucoup jouaient la carte de la sensibilité, elle non. Et c’était ça qu’il admirait chez elle, sa façon de faire comme elle le voulait, de dire ce qu’elle pensait, d’être juste elle-même sans se prendre la tête, sans s’arrêter sur ce qu’on disait d’elle. Elle avait ses priorités, et sa famille était tellement importante pour elle. C’était peut-être ce premier point commun qui les avait rapproché. Pedro ne savait même plus dire à partir de quand il avait compris, qu’il le veuille ou non, que sa vie serait indissociable de celle de l’anglaise.

Il sourit quand elle défendit leur fils en disant qu’il était parfait. De toute façon, elle prêchait un convaincu, tous ses enfants étaient parfaits à ses yeux. Que ce soit Diego et son petit accent terriblement craquant ou ses jumeaux incroyablement unis. Il ne voyait en eux que le bien, et il n’espérait pour eux que ça. Il lui fit remarquer qu’il n’avait pas besoin d’apprendre à partager. Pedro secoua la tête.

« Même, il doit au moins partager sa sœur, c’est ma princesse aussi ! » bouda Pedro avant de soulever sa fille au-dessus de sa tête, il se mit à souffler sur son ventre en la faisant rigoler, elle gigotait pour échapper à ses chatouilles. Pedro l’éloigna et huma son odeur de bébé, elle était si parfaite, il en était dingue de cette petite, seule parmi ses frères. Diego se tenait près du foyer et il dessinait sagement en sortant la langue et en regardant sa famille avec son sourire amusé. Il avait fort grandi, le changement était flagrant et une immense fierté se répandait en Pedro, il le trouvait si parfait.

Fee parla alors de sa mère, le brun l’écoute et haussa les épaules. « C’est toi qui choisie chérie pour ta mère. Puis, bon, elle est enceinte, ça contribue peut-être un peu …» tenta-t-il, il ne la connaissait pas, il ne voulait pas la juger trop durement.

Pedro aimait donner des secondes chances aux gens, et puis, il avait lui-même vécu avec des femmes enceintes, il savait qu’elles pouvaient être… différentes d’ordinaires… mais il préféra garder le commentaire pour lui afin que Fee ne se vexe pas.

« Pour notre mariage, je veux juste que nos amis proches soient présents. Et on portera ce que tu voudras. Moi ça n’a pas d’importance, tant que c’est toi la mariée et moi le marié, je pourrais juste me contenter de ça » avoua simplement l’argentin en la regardant dans les yeux avec un sourire complice.

C’était simple. Leur relation qui avait toujours été compliquée et ambiguë était désormais très simple parce que c’était la fin que tout le monde avait toujours attendu dans le fond, et eux aussi quelque part. Il se rapprocha d’elle imperceptiblement pour lui prendre la main et l’embrasser tendrement.

« Tu sais, je suis content d’être avec moi, je suis content d’être ici, je suis heureux de vivre avec toi, tu fais tellement, tu m’apportes tellement au quotidien. Tu sais, je suis un mec avec un lourd fardeau, enfin… j’ai des enfants et tu les acceptes tous et… c’est énorme pour moi. Et je t’aime d’autant plus pour ça. Je te l’ai déjà dit, mais je sais que c’est avec toi et personne d’autres que je veux ces enfants adoptés, parce que je sais qu’on pourra les élever convenablement. Dans une famille un peu étrange certes… mais on sera heureux. Parce que tant que tu seras là et bien, moi je le serais, heureux. »
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MessageSujet: Re: Do you think Brangelina could adopt me? Do you think Brangelina could adopt me? EmptyMer 5 Jan - 18:11

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Elle jouait peek-a-boo avec Sirius sur ses genoux, le faisait rire aux éclats. Elle adorait son rire, elle adorait tous les sons qu’il faisait, mais son rire avait quelques choses de contagieux que même dans ses pires journées, l’Anglaise ne pouvait pas s’empêcher de rire avec lui. Elle se souvenait de la première fois où les jumeaux avaient éclaté de rire, au même titre qu’elle allait se souvenir de leurs premiers mots ou la première fois qu’ils allaient se mettre à marcher. C’était le genre de moment qui était gravé dans sa mémoire et qu’elle ne pourrait jamais oublié. Tous leurs rires, leurs sourires, ça lui prouvaient quelque part, que ses enfants étaient heureux. Et c’est ce qui comptait le plus au monde pour elle, elle ferait n’importe quoi, donnerait tout ce qu’elle possède pour que ses enfants, sa famille soient heureux à jamais. « Non. Non ce n’est pas juste ça. Elle m’en veut depuis que j’ai déménagé. Elle m’en veut parce que j’ai pris contact avec la famille de mon père.. Elle m’en veut parce que, Dieu merci, je ne l’ai pas écouté quand je suis tombée enceinte. Sa réaction tantôt, c’était la *joie* qu’une de mes décisions ait à la rencontre de *ses* plans. Ceux de mes oncles. Rien à voir avec le fait que je sois heureuse ou pas, tant que tout va dans la direction qu’elle veut. » Son ton était amer. Ce qui se passait avec sa mère depuis un an l’affectait plus qu’elle voulait bien le croire. Elles étaient très proches, avant. En grandissant, Felicity n’avait eu qu’elle. Sa mère avait été son monde pendant plus de la moitié de sa vie. Même vers seize ans, quand Fee commença à prendre tranquillement son indépendance face à sa famille, sa mère ne lui avait jamais tourné le dos. Peu importe le nombre de soirées mondaines que Fee refusait d’assister, peu importe le nombre de photos en page six, sa mère se tenait à ses côtés, face à ses oncles, face à ses grands parents. Oui, elle avait toujours approuvé les démarches de sa famille, elle l’avait élevée avec les mêmes traditions que ses parents, mais elle avait toujours su la laisser vivre comme elle le voulait. Jusqu’à ce qu’elle se remarie. Jusqu’à ce que Fee parte vivre à New York. À ce moment-là, le courant changea rapidement. Sa mère qui, au départ, l’appelait a tous les jours, fini par l’appeler quelques fois par semaine, par mois… Chaque fois pour lui faire un reproche, pour lui rappeler que son mode de vie n’était pas celui d’une « Doyle ». Qu’elle avait changé, qu’elle était devenue *américaine*. Encore plus surprenant, à ce moment-là, les seules personnes de sa famille qui semblait soutenir Felicity avaient été ses grands parents, avec qui elle ne s’était jamais entendue. Son grand-père lui téléphonait à toutes les semaines, prenant de ses nouvelles, s’assurait qu’elle n’avait aucun problème, lui demandait toujours si elle avait besoin d’argent (comme si.). Les choses avaient naturellement empiré à la mort de ses grands parents en avril. Si son oncle se charge encore du compte en banque de la famille, de leurs propriétés, leurs placements, c’était Feliticy qui avait hérité du titre et de la demeure familiale. Sa fortune personnelle, qui était déjà énorme, avait du triplé. C’était elle qui devait assurer l’image des Doyle en Angleterre maintenant. Et ça, personne dans sa famille ne semblait apprécier. Personne ne croyait la blonde capable d’assumer une telle tâche et les reproches se furent plu nombreux. On l’appelait chaque semaine, lui demandant d’organiser tel bal, telle œuvre de charité, de tenir un souper pour tel prince, de bien vouloir rencontrer telle personne. Ce qui dérangeait le plus Fee, ce n’était pas les appels incessants, elle avait depuis longtemps arrêté de répondre de toute façon. C’était que sa mère ne fasse rien, pire que sa mère se rangeait du côté de ses frères. Elle n’était définitivement pas prête à lui pardonner. Pas sans excuses du moins. Elle eut un sourire en coin quand Pedro lui précisa qu’elle se devait de faire la mariée la journée de leurs mariages. « Oh vraiment? J’aurais aimé voir la tête du prête si on essayait de le convaincre du contraire où si tu te montrais dans une robe tient. Je suis certaine que ça vaudrait le coup. » Fee se leva du fauteuil, balançant Sirius sur ses hanches et alla embrasser son homme tendrement, lui passant une main sur la joue. « Bah. Bébé, j’ai le malheur de t’annoncer que tu seras heureux toute ta vie durant, parce que tu vois, j’ai pas l’intention d’aller nulle part. Que tu aies deux, quatre, six enfants, je n’aurais jamais vu ça comme un défaut, au contraire, tu prends soin de chacun d’eux à la perfection, c’est un point en ta faveur. C’est pour ça que je n’ai pas eu peur d’en rajouter deux autres. Et puis si qui que soit pense différemment, bah il peut aller se faire f… » Elle arrêta en plein milieu de sa phrase en souriant, se souvenant que Diego était juste à côté et les écoutait sagement. « Je veux attendre qu’il soit là, avant qu’on se marie je veux dire, je veux attendre que les enfants qu’on va adopter soit avec nous…. »

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MessageSujet: Re: Do you think Brangelina could adopt me? Do you think Brangelina could adopt me? EmptyMer 12 Jan - 12:52

    Pedro écouta les reproches de Fee concernant sa mère, son cœur se serra à la simple pensée que si elle avait avorté… son cœur se serra, il embrassa le haut du crâne de sa fille tendrement. Une vie sans eux ? C’était devenu tellement inconcevable à présent. Bien sûr au début, ça l’avait stressé, de ne pas réussir, de ne pas être à la hauteur pour eux, bon sang, c’était toujours sa plus grande peur à l’heure actuelle, mais il n’avait jamais remis leur naissance en cause, ils avaient voulu ses jumeaux à l’instant où il avait appris sa paternité le 8 décembre de l’année passée.

    Pedro comprenait l’énervement de sa petite-amie et il passa sa main dans ses cheveux blonds, ses doigts glissèrent ensuite jusqu’à son ventre, là où elle avait porté leurs enfants. Ils avaient eu peur ensemble, ça les avait rapproché, ils aimaient les mêmes êtres avec la même force, ils comprenaient les peurs de l’autre, ils avaient vécu des moments de stress intense au tout début… mais après, une fois qu’ils étaient là, ça avait été des sourires, des câlins, ils avaient pu les choyer, prendre soin d’eux. Même avant d’être ensemble, ils étaient déjà cette famille soudée, il aurait tout fait pour Fee, il ferait tellement plus pour elle à l’heure actuelle.

    Il ne s’était jamais senti aussi bien dans une famille de toute sa vie. Ses parents bien qu’étant des gens biens dans le fond, n’avaient jamais été proche de lui, parfois il le regrettait, d’autres fois non. Il les respectaient, il appréciait leur compagnie, il avait moins aimé les remarques de sa mère quand elle avait dit qu’elle ne voulait pas d’enfants d’une profiteuse dans sa famille… mais le sentiment était passée, elle aimait bien Fee à sa manière, sa mère essayait de protéger leur nom et le cœur de son fils à l’époque, aujourd’hui, elle avait compris qu’ils s’aimaient trop pour pouvoir penser à se faire du mal. Même leurs disputes sonnaient comme des preuves d’amour, tout le monde en était conscient, tout le monde pouvait le voir.

    Quand elle fit la remarque comme quoi il pouvait tout aussi bien faire la mariée, il visionna l’image dans sa tête avant de grimacer et de secouer négativement la tête. Il était horrifié juste à cette idée !

      Pedro : No way ! Eurk, je serais la mariée la plus moche du monde ! Et non, je pense que Juan et Akshan en profiteraient pour se moquer de moi… à vie ! il réfléchit quelques secondes. Et le bouquet de la mariée… tu crois que si je le lance vers Akshan il pensera à un jour épouser Lena ?

    Pedro adorait Akshan, mais l’idée ne semblait même pas avoir effleurer son ami. Sans doute trop jeune… mais il avait quand même un fils avec. Et puis, Pedro s’était marié jeune, ça ne l’avait jamais dérangé, il ne l’avait jamais regretté. Ensuite, elle lui fit son long discours, il la dévora du regard, bon sang ce qu’il pouvait l’aimer, et quand elle termina, une envie pressante de l’embrasser le pris, et il le fit, il le pouvait désormais, elle était à lui. Sienne. Il pouvait lui faire l’amour toutes les nuits, la voir se réveiller tous les jours, c’était comme une sorte de prix, la réussite du bonheur, l’avoir à ses côtés c’était plus que ce qu’il avait espéré à la mort de sa femme… aujourd’hui, il était plein d’espoir. Parce que cette jolie blonde était rentrée dans sa vie une nuit… et il avait décidé qu’elle ne le quitterait pas. Jusqu’à la fin il voulait être avec elle, ne pas la laisser s’échapper, ne pas la perdre.

    Parce qu’elle était drôle, amusante, charmante, coquine, entreprenante, elle avait du caractère, elle était douce, elle savait comment le combler autant par la parole que physiquement, elle était un appui pour lui, elle était une force en plus, elle l’aidait pour Diego plus que quiconque, elle aimait son fils alors qu’il n’en demandait pas tant, mais ça le rassurait dans le fond, de savoir qu’elle acceptait de jouer une figure maternelle pour lui. Diego en avait besoin, il avait besoin de ça, il était si petit et il avait besoin de ça, de tendresse, de câlin, d’affection féminine, et il pouvait trouver tout ça chez Fee.

      Pedro : Moi aussi je veux que toute notre famille soit présente. Nos 4 enfants et James et Diego. On sera une belle et grande famille De la Vega. Et les gens seront jaloux de notre bonheur et de notre beauté ! Et ce sera un des plus beaux jours de ma vie ! Ma Lily ! ajouta-t-il avec amusement.


    Il était tellement fier de ce futur tableau qui s’annonçait, il n’avait jamais eu autant confiance en l’avenir qu’en ce moment. Felicity et Pedro De la Vega. Son cœur se gonfla.

      Pedro : Et si on mettait les enfants au lit ?

    Et le sourire qu’il eut en dit plus sur ce qu’il comptait faire après que ses paroles. Il la voulait pour lui. Il voulait que les petits dorment pour pouvoir l’aimer de la façon la plus intime qu’un homme pouvait aimer une femme.

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MessageSujet: Re: Do you think Brangelina could adopt me? Do you think Brangelina could adopt me? EmptyJeu 13 Jan - 18:01

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Quand Felicity était arrivée à New York, elle avait tout juste vingt et un an. Légalement, en Angleterre cela faisait trois ans qu’elle était une adulte. Mais dans les faits, elle était toujours la même gamine qu’à seize ans. Elle travaillait toute la journée dans la boutique de sa mère, sortait le soir, autant dans les clubs les plus branchés que les boites les plus pourries de Londres. Quand elle rentrait trop tard ou dans un état épouvantable, sa mère la grondait encore de la même façon. Bien que son compte en banque était déjà très fourni, elle vivait toujours sur l’argent de sa mère, se promenant avec sa carte de crédit, ne se souciait ni de l’épicerie, ni des factures. Jamais elle n’avait encore mis les pieds dans une banque ou même signé un chèque. Elle ne faisait rien, n’allait nulle part. C’est pour ça qu’elle avait décidé de déménager à New York, elle avait eu besoin d’un changement drastique, de bouger. C’était le coup de pied au derrière que personne n’avait pu lui donner. Mais si on lui avait dit, le jour de son arrivée qu’à peine un an plus tard elle serait enceinte, elle aurait probablement ri aux éclats. Elle avait toujours vu sa vie comme facile, frivole… Comme elle n’avait jamais manqué et ne manquera jamais d’argent, elle avait toujours vécue sous ses impulsions. Elle vivait de coup de cœur en coup de cœur et ne se souciait pas de grand-chose mis à part elle. Si quelqu’un lui avait demandé, la journée de son arrivée, quels étaient ses plus grands intérêts dans la vie, elle aurait sans doute répondu quelques choses comme « Moi, la mode et tout ce qui brille. » Elle aurait sans doute passé pour une de ses héritières aussi superficielles que stupides, les gens s’arrêtaient souvent à la première couche. Et elle-même devait l’avouer, même si elle n’avait jamais été une Hilton ou une Kardashian, qu’elle avait toujours eu de la classe, une éducation et un sens de la répartie, il y a deux ans, elle n’apportait rien de plus au monde que ces deux-là. Puis, elle s’était découvert une famille. Elle avait arrêté de vivre sa vie comme une bulle de champagne, pour reprendre l’expression de Plum Sykes. En premier, elle avait découvert qu’elle était enceinte. Elle s’en souvenait encore comme si c’était hier. Le dix-huit novembre deux mille neuf. Elle avait dû se rendre chez le médecin après trois jours de nausée violente. Trois jours qu’elle avait passés sur son divan, dans son petit* appartement de Park Avenue, à boire du thé au gingembre et regarder Top modèle et les Feux de l’Amour. Elle eut un sourire en repensant, que déjà à se moment là, c’était Pedro qui était venu la voir et lui avait apporté un happy meal et des médicaments pour le ventre, par réflexe elle prit sa main qu’il avait posée sur son ventre et lui embrassa le bout des doigts. C’est le médecin, alors qu’elle s’y attendait pas du tout, qui lui avait annoncé sa grossesse. ‘Félicitation Miss Doyle, un heureux évènement est a prévoir dans quelques mois…. Même deux on dirait.’ Elle était retournée chez elle, seule, sans vraiment réalisée ce qui se passait. C’est le soir même, en regardant American Next Top Model, qu’elle avait compris… Sa main c’était automatiquement posé sur son ventre et elle avait tout simplement figé. Elle avait eu un déclic énorme à ce moment-là. Elle avait su que le restant de sa vie serait dédié aux petits bouts qui grandissaient au creux de son ventre et déjà, elle les aimait plus que tout au monde. Pour être honnête, elle avait dû compter et revoir, les derniers mois pour être certaine de qui était le père. Pour reprendre l’expression de sex and the city, quand Fee était célibataire, elle couchait comme un homme. Elle avait la faculté, qui manquait à plusieurs femmes, d’avoir des one-night-stand et ne se poser aucune question. Le médecin avait été très vague sur l’avancement de sa grossesse, il lui avait simplement dit qu’elle aurait la date de conception plus tard, lors de sa première échographie. Sachant que ça ne pouvait ne pas faire plus de deux mois, Fee avait calculé qu’il avait une possibilité de deux, maximum trois, père. Deux hommes donc elle connaissait que le nom et le numéro de téléphone et Pedro, qui déjà avait deux fois plus de chance, s’aillant retrouver dans les mêmes draps deux fois déjà. Elle avait décidé d’attendre de toute façon, d’être certaine. Mais sa famille ne s’était pas arrêté là, peut de temps après, elle avait découvert sa demi-sœur, Ambre. Bien qu’elle n’ait pas repris contact avec son père à ce moment-là, Ambre a pris une place énorme dans sa vie, comme si elle y avait toujours été. C’est elle qui l’avait accompagnée à la première échographie, qui lui avait tenu la main, la première fois où elle avait vu s’afficher les deux petits cœurs qui battant sur l’écran. Elle avait été là aussi, quand Fee avait annoncé à Pedro qu’il était le père de ses enfants. Par le fait qu’Ambre et Pedro étaient colocataires, tous les quatre se rapprochaient tranquillement… Puis après, il eut Lena. Felicity était à Londres pour les fêtes quand elle décida de répondre à l’appel à l’aide d’une étrangère qui était pris sans valises, sans argent, sans rien à l’aéroport de Londres. Elle était allée chercher Lena, l’avait ramené chez elle, lui avait fourni de quoi se faire une garde-robe et quand elle revient à New York, c’était pratiquement comme si elle faisait déjà partie de la famille. Ils avaient habité ensemble, tous les quatre, ils avaient traversé une année plus ou moins difficile, avait passé un nombre incalculable d’heures à s’inquiéter entre les murs des hôpitaux et a veillé l’un sur l’autre. C’était eux sa famille, Lena, Ambre et encore plus précis Pedro, leurs bébés et Diego qu’elle mettait au même niveau que son propre fils. Rien à voir avec les gens qui se trouvaient à l’étage, froid et hautain, sa famille maintenant était affectueuse et aimante, elle était colorée et parfaite. [color=#8aaf63]« Je ne sais pas pour Lena et Akshan. » Felicity fixa un point lointain pendant un moment, fronçant un peu les sourcils, essayant de s’imaginer la scène « Je ne préfère pas m’en mêler, ne pas les pousser… ‘Fin… ouais…. » La blonde ne dit rien, mais elle repensa à ce qui c’était passé vers mars/avril, Lena était enceinte et, Felicity n’avait pas vraiment tout compris l’histoire, mais apparemment ça en avait été trop pour Akshan, il avait pris peur, parce qu’il aimait Lena, il avait tellement eu peur qu’il avait essayé de se suicider. Les semaines qui avaient suivi avaient été dures pour tout le monde, spécialement Lena et Fee qui avait toujours besoin de la protéger et de la couver, c’était senti réellement impuissant. Et puis maintenant Muwgli était là… et même si Fee avait confiance en Akshan, elle avait toujours cette peur que ses fantômes reviennent, qu’il prenne une fuite facile.. ou qu’ils s’enfuit carrément. Elle les laissait évolués à leurs rythmes et ne se mêlait de rien.
Quand Pedro suggéra de mettre les enfants au lit, elle eu un sourire complice. De sa main libre, elle alla pris Sofia des bras de son père avant d’embrasser se dernier. « Je te laisse t’occuper du plus grand. James.» Puis elle sortit de la chambre, les jumeaux dans ses bras. Ils avaient beau avoir tout les deux grandis, au fil des mois elle avait su développer ses techniques bien à elle qui la permettait de porter les deux à la fois. Pas des heures durant, ils étaient un peu trop lourd pour un bras, mais assez pour les déplacer. La réception de sa mère prenait toujours place en bas, mais Fee n’en avait absolument rien à faire. Elle prit un moment, essayant de se rappeler qu’elle chambre elle avait fait refaire pour les bébés puis commença leurs routines pour les mestres aux lits. Ses enfants n’étaient pas vraiment difficiles, ils avaient un caractère doux et pleuraient rarement sans raison, mais ils pouvaient se montrer tellement capricieux. Felicity savait que sa fille risquerais de raller et prendre un peu plus de temps avant de s’endormir si tout n’était pas fait dans le bon ordre tandis que Sirius se mettait à pleurer si quelques choses devaient prendre trop de temps et qu’il se retrouvait séparer de Sofia plus longtemps qu’accoutume. Elle adorait les mettre aux lits. Elles les couvraient de bisous, les berçait longtemps, se foutant carrément de tout les principes écrits par les pédiatres, ils avaient chacun leurs berceuses qu’elles leur chantaient alors qu’ils étaient encore dans son ventre. Elle les regarda s’endormir un moment, puis sortit tranquillement de la chambre, amenant le babyphone avec elle. Rapidement, elle passa par la chambre de Diego pour lui soufflé un bonne nuit à son tour et retourna dans sa chambre à elle.
D’un geste, elle fit tomber sa robe rose sur le plancher, enleva ses perles et les lança sur un cousin plus loin. Elle fouilla dans ses valises et enfila un morceau en satin. Elle s’assit sur son lit, remarquant de nouveau à quel point tout était devenu facile depuis qu’elle et Pedro étaient ensemble. Elle n’avait plus à balancer sa vie de couple et ses enfants, comme elle avait dû le faire auparavant, faisant toujours passé ses petits amis en dernier. Tout était à sa place, tout était simple et le fait qu’elle avait plus vivre différemment pendant un an lui paraissait stupide. De tout ceux qui était passé dans sa vie, Pedro était sans doute celui qui la comprenait le plus, qui savait faire la différence entre la femme et la mère, avec qui elle pouvait se permettre parfois d’avoir seize ans et d’agir comme une adolescente délurée et parfois comme une femme de trente ans qui jonglent avec les déboires de sa famille. Elle était tellement bien, heureuse simplement dans une partie de sa vie ou elle ne l’avait jamais vraiment été. Autant sur le plan physique ou mental, elle savait qu’elle n’aurait jamais besoin d’autre chose maintenant et ça ne lui faisait pas peur, au contraire, elle rayonnait. Quand Pedro entra dans la pièce, elle releva doucement la tête et laissa échapper un rire. « Je crois que tu dois fermer la porte à clef. Je ne voudrais pas que la duchesse de Kent fasse une crise cardiaque parce qu’elle met encore son nez là où il ne faut pas. »

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MessageSujet: Re: Do you think Brangelina could adopt me? Do you think Brangelina could adopt me? EmptyDim 16 Jan - 19:09

Pedro embrassa tendrement ses jumeaux sur le haut de la tête pour leur souhaiter bonne nuit et il porta à son tour son aîné qui plaça ses mains autour de ses épaules tout en déposant sa petite tête au creux de son cou. Pedro lui caressa tendrement le dos. Son fils était plus fatigué qu’il ne le laissait paraître à cause des nombreux voyages effectués. L’argentin se perdit légèrement dans cette grande demeure mais il eut relativement de la chance car il tomba par le plus grand des hasards sur la bonne porte. Une chambre grande et spacieuse chauffée au préalable. Le brun déposa délicatement son fils dans le grand lit et celui-ci lui fit de la place. Diego aimait qu’on lui lise une histoire avant de dormir. Pedro prit un livre au hasard et se mit à lui faire la lecture. Observant les yeux bruns du jeune enfant papillonner de fatigue. Quand Fee passa la tête dans la porte pour lui souhaiter bonne nuit, Diego répondit à peine, somnolant déjà. Cela dit, malgré sa lutte pour ne pas s’endormir trop vite il céda avant la fin du chapitre, sa respiration légère l’indiquant. Pedro le regarda de longue minute, voir son petit corps se soulever en rythme avec sa respiration était un des moments qu’il préférait. Il avait tant perdu par rapport à Diego, il avait manqué tellement d’épisodes. Que même la chose la plus banale le concernant prenait une toute autre symbolique dans son cœur de père : il ne voulait plus rien manquer, il voulait profiter des choses les plus basiques.

Pedro s’échappa alors du lit de son fils, il mit en marche la veilleuse de Diego et il sortit de la pièce en refermant la porte derrière-lui. Il lui fallut ensuite 10 minutes avant de retrouver sa chambre où Fee l’attendait déjà.

Il s’arrêta à l’entrée, faisant glisser son regard sur la tenue de sa petite amie qui lui parla mais dont il ne comprit pas un mot, il n’avait encore jamais vu cette tenue et la vue qu’elle offrait était tout simplement délicieuse. Fee le surprenait tellement, d’un regard, elle l’avait sous son emprise, d’un mordillement de lèvre, il pouvait perdre la tête, elle était sexy, plus que toutes les autres femmes, elle était la seule qui savait allumer un feu intarissable au creux de ses reins. Elle était magnifique, elle était parfaite, elle était à lui. Son regard se fit soudainement prédateur, il s’avança lentement dans la pièce et quand il se retrouva près d’elle, il fit glisser sa main le long de son bras dénudé, elle était douce, son regard fut happée par son regard bleuté et il l’embrassa avec passion, le seul désavantage de Fee était qu’elle était affreusement petite. Il se baissa légèrement, attrapa les cuisses de la blonde et la porta, elle entoura son bassin de ses jambes. Le brun émit un grognement satisfait, l’avoir au plus près de lui, il aimait tellement ça. Et durant ce léger lapse de temps il n’avait cessé de l’embrasser. Elle était petite, certes, mais elle était aussi très légère et facile à soulever.

Leur baiser était passionnel, comme toute leur relation, Fee & Pedro était entier, vrai, quand ils explosaient, c’était toujours de façon exagérer. Quand ils s’aimaient c’était avec la même passion. Pedro marcha jusqu’au lit où il déposa son amante. Il s’éloigna d’elle pour la regarder dans les yeux, la respiration saccadée. « Fee » souffla-t-il du bout des lèvres avant de reprendre ses lèvres de façon autoritaire. Il laissa sa main glisser le long de la jambe de l’anglaise, remontant sa tenue petit à petit d’une façon tellement lente que ça en devenait frustrant. Ses lèvres finirent par se détacher de la bouche offerte de la blonde et il commença par déposer une trainée de baiser le long de sa clavicule, de sa main gauche, il fit glisser les bretelles de sa nuisette qu’il baissa jusqu’à apercevoir ses seins.

Il sourit amoureusement en les voyant pointer. Il souffla sur le sein droit de sa compagne avant de le mettre en bouche. Il suça, lécha, mordilla, il aimait ses seins, il aimait tout ce qui venait de Fee, tout ce qu’elle lui offrait. Parce qu’il en était simplement fou. Sa main gauche se mit à palper son autre sein dont il frottait le bout entre son pouce et son index. Les gémissements de Fee lui indiquaient qu’elle aimait le traitement qu’il lui faisait. Il se pressa un peu plus contre elle. Son érection plus que visible à travers son pantalon mais il voulait attendre, lui faire plaisir, la consumer entièrement avant de la posséder. Sa bouche happa son autre sein délaissé pour lui faire subir le même traîtement qu’à l’autre.

Sa main droite qui était resté tout le long sur sa cuisse remonta un peu plus, jusqu’à titiller le tissus qui préservait son endroit le plus intime, Pedro y glissa la main, d’un mouvement habile, l’homme se mit à frotter d’un geste circulaire le clitoris de sa compagne. Ses lèvres remontèrent finalement pour capturer une nouvelle fois les lèvres de la blonde et il glissa un premier droit dans son vagin déjà humidifié, il laissa échapper un gémissement satisfait, fier de lui et de l’effet qu’il pouvait avoir sur elle. Fier qu’elle s’offre de la sorte à lui. Il glissa un second doigt et augmenta la cadence, il la voulait de plus en plus, il voulait se glisser en elle mais pas avant de l’avoir fait gémir un maximum, pas avant d’avoir sentit les parois de son vagin se contracter autour de ses doigts. Il arrêta de l’embrasser pour l’observer, elle avait les lèvres légèrement ouvertes et tremblantes, elle gémissait, c’était comme ça qu’elle était la plus belle. Sous lui, gémissante de plaisir. Il l’embrassa plus passionnément tout en glissant en elle un troisième doigt. Les mains de Fee se firent plus pressante et elle se mit à lui enlever ses vêtements avec passion, Pedro sourit contre ses lèvres quand elle lui enleva si brusquement sa chemise qu’il était persuadé d’en avoir perdu deux boutons. Torse nu, les mains de la blonde lui parcourait le dos, le griffait laissant des marques dans son dos. Pedro se mordit les lèvres. Aussi sadique qu’était le traitement, il l’aimait, parce que c’était la façon de Fee de le marquer comme sien. Quand elle tenta de renverser les positions, Pedro l’empêcha de bouger. Pas ce soir, ce soir il voulait lui faire plaisir à elle. Elle le comprit car elle arrêta. Pedro glissa sa tête le long du ventre de son amante, celle qu’il aimait par dessus tout. Il lui enleva définitivement son sous-vêtement et il mit sa tête entre les cuisses de Fee. Sa langue titilla d’abord doucement le clitoris de Fee avant que son doit vienne reprendre la relève.

Sa bouche glissa alors à l’intérieure de Fee, il se mit à inspirer et enfoncer sa langue en elle. Avoir le goût de Fee sur le bout des lèvres était si… érotique. Et il aimait ça, elle était si spéciale à ses yeux. Il aimait chaque parcelle de son corps, de son être et il voulait lui prouver tous les jours de manière éternelle. Elle gémit son prénom de façon si sensuelle que la bosse dans son pantalon lui fit mal. Il se sentait si serrer, si à l’étroit… juste encore un peu patienter. Finalement, il sentit les parois internes de Fee se contracter avant de sentir un jet de cyprine sur sa langue, il en inspira et avala jusqu’à la dernière goûte, il se redressa finalement et se mit à détacher son pantalon, à enlever son boxer, chaussures, chaussettes et il se mit au-dessus de son corps tout essoufflé, il la regarda dans les yeux avec amusement, le plaisir la rendait exceptionnelle. Il l’embrassa et lui souffla un « Te quiero » en la pénétrant enfin.

Être en Fee, ne faire qu’un avec elle, s’il le pouvait, il ne ferait que ça, unir leur deux corps, l’aimer, tout le temps, mais c’était impossible, ils avaient des enfants, des obligations. Mais le soir, à la tombée de la nuit, quand ils pouvaient être seul, Pedro tenait à leur moment, il tenait à cette intimité des corps. Car les mots n’étaient pas assez nombreux pour lui prouver à quel point il l’aimait, et c’était le seul geste qui lui permettait de l’aimer pleinement. Pedro laissait échapper le prénom de son amoureuse du bout des lèvres entre chaque va-et-vient.

Et alors qu’il accélérait le mouvement il entendit un bruit dans la chambre, il écarquilla les yeux de surprises et il cligna les yeux d’horreur et de frustration alors qu’il ressortait de Fee en se couchant dans le grand lit et en poussant un bruit frustré dans le coussin. Sa respiration était saccadée, il ne comprenait pas ce qu’il se passait hormis un truc : il n’avait pas eu le temps de finir et tout son corps appelait à la frustration…
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MessageSujet: Re: Do you think Brangelina could adopt me? Do you think Brangelina could adopt me? EmptyMer 19 Jan - 3:23

Spoiler:

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Felicity n’avait pas entendu la porte, en fait, elle n’avait rien entendu du tout en fait, elle était complètement ailleurs, perdue en ce moment. Il fallut que Pedro arrête de bouger pour qu’elle se rendre compte qu’il y avait quelque chose d’étrange qui se passa, elle fit un son qui sonna comme quelque chose entre la plainte et un cri de frustration. Quand il se détacha d’elle complètement, elle prit un moment à revenir à la réalité, elle ne comprenait pas grand-chose de ce qui se passait. C’était un peu comme si on lui avait lancé un seau d’eau glacé. Même son corps avait de la difficulté à revenir à la réalité, elle était encore haletante et tremblante quand elle se releva sur les coudes, essayant de voir ce qui se passait.
Elle s’attendait vraiment à tout, mais pas à ça. Sa mère se tenait dans l’entrée de la chambre, énervait, elle parlait tellement vite que Fee n’arrivait pas à capter un mot de ce qu’elle disait. De toute façon, elle s’en fichait, elle était tellement embarrassée et furieuse pour le moment, elle voulait seulement que la mère quitte les lieux. Elle n’avait jamais vécu ça… Dans sa propre maison en plus. Rapidement, elle tira sur les draps et s’enveloppa dedans avant de se redresser complètement dans le lit. « MOTHER ! » Catherine se tourna vers elle et arrêta d’agiter les bras dans tout les sens, jugés par le regard qu’elle lui lançait, elle était mécontente que Fee l’ait interrompue dans sa tirade. Bah tiens…. « Mama, can you just … » Elle leva le bras pointant définitivement vers la porte. Elle voulait sa mère dehors de sa chambre le plus rapidement possible, ne serait-ce que pour trouver une pièce de vêtement pour lui crier dessus par la suite. « Well don’t you have nerves! I CAN’T BELIEVE IT! You perfectly knew there was people downstair and you… you, oh my god Felicity, that’s not how I raised you! » La blonde leva les yeux au ciel. « Mother can you just get out for a moment! »
« No! No! You listen to me right now ! That’s my baby shower Felicity doesn’t that mean anything to you? » La blonde murmura un ‘non, rien du tout’, entre ses dents. Si sa mère ne quittait pas la pièce dans les trente prochaines secondes, elle allait se trouver orpheline sans aucun remords. Elle n’osait même pas regarder Pedro, pour la deuxième fois de la journée, elle souhaitait mourir de honte. Se cachant la tête dans ses mains elle émit une longue plainte sonore. « Mom… »
« You’re lucky enough it’s me who run into you two! What if it was one of your guests? » Felicity releva la tête avec un sourire, elle allait craquer. « Well, we’d have ask him to join us, obviously. » La tête de sa mère valait de l’or. Fee continua sur sa lancée, se levant du lit, toujours enroulé bien serré dans un des draps. « And who the fuck are you kidding, those people are your guest mom. YOUR GUEST IN MY HOUSE! MY HOUSE! YES! And that’s my room ! My room in my own house! Can you believe it mom? » Elle attrapa un peignoir au hasard et l’enfila, se débarrassant du drap et se rapprochant de sa mère. « It’s not how you raise me? Well is grandma raise you for going in other people room without knocking late in the evening? Because surely I skipped that lesson when I was young. So now mother if you can just leave, take your friend and go back to London. We were kinda busy and I shall want to keep things going so… »
« Are you doing theses things just to embarasse me Felicity? » Fee éclata de rire, parfois les nerfs de sa mère la surprenaient encore. « Clearly mother. Everything is about you, even my sex life. And may I add ‘Back at you?’ » Trop loin. Catherine gifla sa fille. Fee figea sur le coup, ce n’était pas la première et surement pas la dernière fois, mais elle n’arrivait pas à comprendre le raisonnement de sa mère, jamais il ne lui viendrait en tête de gifle un de ses enfants. Jamais. Avant qu’elle puisse répondre quoi que se soit, sa mère poussa un grand cri et pris appuie sur Felicity qui eut tout juste le temps de reculer ses pieds du désastre. Sa mère venait de perdes les eaux sur le plancher de sa chambre.
Clairement. Ce n’était pas sa journée.

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MessageSujet: Re: Do you think Brangelina could adopt me? Do you think Brangelina could adopt me? EmptySam 22 Jan - 13:01

Spoiler:

Pedro était vraiment absent ainsi que confus & gêné, que pouvait-il y avoir de pires qu'être étendu nu comme un ver alors que sa petite amie —futur femme potentielle— et sa mère —futur-belle-mère— se disputaient ? Rien. Absolument. Il n'arrivait pas à raccrocher le début de leur conversation. La respiration lourde, il se concentrait sur les battements saccadés de son cœur. Il voulait qu'on le laisse récupérer tranquillement. Il se sentait frustré contre cette femme qui s'était immiscée dans sa chambre ! Bon sang !

Il se redressa sur ses coudes tout en ajustant le drap qu'il restait sur sa virilité. Il n'avait pas envie de montrer tout son corps à une parfaite inconnue après tout... il n'était pas vraiment dans le genre exhibitionniste mais il devait admettre que pour le coup, quand il était dans sa chambre, le soir, il se sentait en droit de faire ce qu'il lui plaisait ! Surtout quand Fee était avec lui.

Il poussa un grognement en entendant la blonde et sa mère se disputer encore plus violemment, il devait admettre avoir du mal à comprendre leur relation. Mais pour le coup, il devait admettre qu'il n'appréciait que moyennement l'intrusion de la femme et qu'il comprenait parfaitement l'état d'énervement de Fee.

Cela dit il regardait peu sa petite-amie s'agiter, la voir juste couverte d'un drap était... une image qu'il ne devait pas trop se mettre en tête s'il ne voulait pas... enfin. Quand Fee se moqua de sa mère en disant qu'elle aurait proposé à un inconnu de se joindre à eux il grogna de mécontentement et il se redressa un peu plus. Il savait qu'elle était ironique mais lui était possessif, le corps de la blonde était à lui et il ne supportait pas l'idée qu'un autre homme puisse voir ce que lui avait le plaisir de redécouvrir chaque nuit.

Fee s'énervait, vraiment, elle était à bout avec sa mère et Pedro chercha du regard son boxer qu'il trouva à terre, en réajustant son drap il réussit à l'attraper du bout des doigts afin de pouvoir finalement l'enfiler. Il se leva alors du lit à la recherche de son pantalon... cette histoire allait vraiment mal terminer. Les deux femmes Doyle semblaient aussi têtue l'une que l'autre. Mais il abandonna toute recherche en entendant un bruit de claque. Il redressa la tête et vit sa petite amie se tenir la joue. Il devint livide et il la rejoignit en quelques enjambés afin de l'étreindre, il observa la marque rouge sur son visage et il sentit une colère bouillonnante lui étreindre le ventre, il se tourna vers Catherine Doyle afin de lui demander froidement de partir mais la bonne femme poussa un cri étrange et s'appuya sur Felicity.

L'argentin ne comprenait plus rien jusqu'à ce qu'il entende un bruit d'égouttement... il ferma les yeux, inspira grandement et eut un sourire ironique. Il n'avait pas su être là pour Felicity lorsqu'elle avait perdu les eaux. Juliet l'avait appelé à l'hôpital... dire qu'il venait d'assister au phénomène pour la mère de Fee était vraiment... étrange.

Il l'aida à tenir debout et il regarda Fee, ne sachant pas vraiment quoi faire, il réfléchissait à toute vitesse à la meilleure solution. « Amour, je vais chercher son mari, venez Mme, asseyez-vous en attendant ! » avec un flegme qu'il se connaissait pas, il enfila rapidement un pantalon et prit sa chemise froissé qu'il mit juste sur ses épaules, il attacha deux boutons avant de laisser tomber le massacre, tant pis, il s'en fichait. Il se retrouva à la réception et avec son entrée fracassante, beaucoup se retournèrent vers lui, certains semblaient scandalisés de sa tenue, d'autres avaient un sourire sur le coin des lèvres, ce qu'il faisait avec Felicity était assez clair ainsi... il trouva le mari de Catherine près du buffet entrain de parler avec un homme. Il les interrompit grossièrement mais l'urgence de la situation méritait bien quelques entorses à la bienséance.

Pedro se racla calmement la gorge. « Excusez-moi monsieur, mais votre femme vient de perdre les eaux et votre présence serait vraiment recommandé... » il eut à peine le temps de finir sa phrase que le pauvre homme en lâcha son verre et partit avec Pedro jusqu'à la chambre qu'il partageait avec Fee. Il eut une petite appréhension, espérant qu'elles ne s'étaient pas étripé durant sa courte absence.

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MessageSujet: Re: Do you think Brangelina could adopt me? Do you think Brangelina could adopt me? EmptySam 22 Jan - 19:28

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Elle était toujours figée quand Pedro disparut de l’autre côté de la porte. Elle aurait bien voulu le retenir, elle n’avait aucune envie d’être seule avec sa mère présentement, encore moins dans cet état. Catherine continuait de s’accrocher à elle, l’autre main sur le ventre et poussait des cris comme si elle allait mourir. Felicity la regarda, légèrement perturbée, elle ne put s’empêcher de penser qu’elle avait eu beaucoup de chance d’être seule quand la même chose lui était arrivée, personne ne l’avait vue dans cet état et c’était définitivement pour le mieux. « Mom, you need to calm down, try to breath. » . Elle se sentait stupide et s’excusa mentalement à l’infirmière et tous ceux qu’elle avait croisés à l’hôpital le jour de la naissance des jumeaux. Sa mère lui lança un regard noir, on aurait pu jurer qu’elle partait des gènes avec Ambre. « Shut up! It’s your fault! It shouldn’t happen right now! It’s all your fault!! » La blonde dut se retenir pour ne pas laisser sa mère tomber sur plancher. Elle l’aida à s’assoir sur un fauteuil à la place. « You don’t know how it feel! Oh my god I think I’m gonna die…. » À son tour de lui jeter des éclairs. Non, évidement, elle n’avait aucune idée de comment elle se sentait. Après tout, elle avait ceuilli Sirius et Sofia sur le bord du chemin. « You’re not gonna die, you did it once, you can do it another time. » Une fois sa mère bien assied, elle alla à son tour se rassoir sur son lit et croisa les bras. Elle avait froid, elle avait qu’une petite robe de chambre qui lui arrivait qu’en haut des cuisses et puis rien en dessous. Parfois, elle pensait vraiment que sa mère fasse exprès. Le mari de sa mère, son beau père donc… entra en trombe dans la chambre suivie de Pedro. Elle alla rejoindre son homme et s’enfouie la tête dans son cou, sa mère l’avait épuiser elle avait envie de calin. Elle jouait non-achalament avec les trous laissés par les boutons arracher un moment plutôt, ce n’était pas vraiment le moment, mais elle ne pouvait pas s’empêcher de le trouver incroyablement sexy comme ça, la chemise à moitir de fait, elle avait envie de finir le travail. Sa mère du lire dans ses pensées, car elle lui hurla dessus. « FELICITY ! WHAT ARE YOU DOING. COME ON, GET DRESS, YOU’RE GOING AT THE HOSPITAL WITH US. » La blonde éclata de rire. « Oh no, I’m not. »
« Yes, you are, so put some underwear and dress yourself ! »
« Mom, I can’t the children are sleeping and… » Elle n’avait même pas besoin d’excuse en fait, elle n’avait aucune envie de la suivre à l’hôpital. Vraiment. Elle c’était fait une promesse en début d’année, ne pas allez à l’hôpital du tout cette année. Et elle comptait la suivre, deux mille dix avait été catastrophique sur ce point. « You’re coming with us. Some kitchen lady or maid will babysit, that’s all. Hurry. Everything is happening because of you! That’s your brother that we’re talking about. So you’re coming with us! » Fee renifla. Son frère. Il était plus jeune que son propre fils, son frère… Sa mère était pratiquement mauve quand elle sortit enfin de la chambre, suivie d’Harry. Felicity n’avait aucune envie d’aller à l’hôpital, après tout, quand elle* avait accouché, sa mère n’avait même pas téléphoné alors… Mais elle ne sentait pas vraiment qu’elle avait le choix. Déjà, une des femmes de ménage qui travaillait en continuité à la maison se mit à tambouriner la porte, lui disant que sa mère était en bas, que les invités étaient partis et qu’elle allait s’occuper des petits. Fee ne lui répondit pas, la mine basse, elle laissa tomber la robe de chambre, trouva des sous-vêtements et une robe et les enfila rapidement. Elle se tourna vers Pedro le regard presque suppliant. « Tu viens avec moi ein? Je ne veux pas y aller, encore moins seule… » Les plans pour la soirée étaient définitivement à l’eau.

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MessageSujet: Re: Do you think Brangelina could adopt me? Do you think Brangelina could adopt me? EmptyMer 26 Jan - 1:36

Pedro fut rassuré en rentrant dans la chambre qu'il partageait avec Fee que la mère & la fille ne s'étaient pas entretuée. Mr Lestrange alla aussi tôt auprès de sa femme. Logique en un sens. Elle semblait tellement souffrir, elle poussait des cris qui ressemblaient plus à une sorte de plaintes... Pedro grimaça et détourna le visage.

Il était plein de souvenirs de Fee, suante, haletante, entrain de l'insulter aussi le jour de la naissance de ses bébés, ses jumeaux. Un des plus beaux jours de sa vie, un des plus marquants. Il se rappelait de tout, leur premier cris, la première fois qu'il avait pu les voir, il avait passé sa nuit à les regarder à travers une vitre. Cet épisode l'avait marqué et lié à vie à sa compagne, même si elle ne gardait pas un aussi bon souvenir de l'événement, ils ne pouvaient nier que ce jour avait été marquant pour les deux. Tout comme il savait qu'il serait marquant pour Mr Lestrange & Mme Lestrange.

Un instant, il regretta de ne pas avoir été avec Fee à ce moment-là, il aurait aimé pouvoir lui dire combien il l'aimait, il aurait aimé pouvoir partager ça complètement avec elle. Mais c'était trop tard à présent. La blonde vint se blottir contre lui et il comprit qu'elle avait besoin d'affection et d'attention, elle jouait avec les boutons de sa chemise et le caressait du bout des doigts, il grogna mais la laissa faire, il passa sa main sur son épaule et la serra un peu plus étroitement contre lui, il n'aimait pas trop la vue qu'elle offrait... même s'ils étaient de sa famille, son côté possessif ressortait, et puis il avait toujours la pensée amer qu'il avait été coupé dans un moment intense... mais la mère de Fee cria sur sa fille et l'argentin rigola.

Il aurait dû s'y attendre, Mme Lestrange semblait tellement leur en vouloir de ce qu'ils faisaient quand elle avait débarqué... qu'elle n'allait sans doute pas les laisser reprendre. Elle voulait que sa fille soit à ses côtés... et même si ça l'agaçait un peu tous ses ordres, il pouvait comprendre, Fee restait sa fille, elle avait besoin de la voir parce que ça allait être éprouvant comme moment pour elle...

Quand la bonne femme sorti finalement de la chambre avec son mari, Fee se déshabilla, la vision de son corps nu le fit encore plus grogner, il allait finir par être vraiment frustré. Quand elle le regarda avec sa petite mine suppliante, Pedro savait qu'il allait céder à chacune de ses demandes, son regard était juste... tellement intense... « Évidemment que je viens, je ne vais pas te laisser toute seule ! » il s'approcha d'elle et l'embrassa, il savait qu'ils allaient partir mais il ne pouvait s'en empêcher. Quand un coup insistant se fit une fois entendre il s'éloigna avec une mine ennuyée. « Rappelle-moi de fermer la porte à clé demain ! Il est hors de questions qu'on nous dérange une nouvelle fois... c'est juste tellement... argh. » Il ouvrit la porte de la chambre et main dans la main avec Fee, il alla rejoindre les deux futurs parents qui se rendaient d'urgence à l'hôpital pour un accouchement imminent. C'était étrange à penser, mais l'oncle de ses enfants étaient plus jeune qu'eux. Il se sentait un peu détaché de tout ça, la seule chose qui le rattachait véritablement à cet événement était la blonde à qui il ne comptait pas lâcher la main d'aussi tôt.
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MessageSujet: Re: Do you think Brangelina could adopt me? Do you think Brangelina could adopt me? EmptyMer 26 Jan - 23:14

Spoiler:


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Fee ne releva pas le fait qu’elle avait prévenu pour la porte, ce n’était vraiment pas le moment. Elle suivait Pedro, plus ou moins automatiquement, à reculons presque, elle n’avait aucune envie d’aller à l’hôpital, aucune envie du tout. Durant l’année deux-mille-dix, elle aurait pratiquement pu y aménager, et y retourner si tôt dans l’année semblait jouer avec le feu et si cela lui jetait un mauvais sort? Certes y aller pour une naissance n’était pas tout à fait la même chose, mais ses souvenirs reliés à l’évènement n’étaient pas les meilleurs. Déjà, il avait son propre accouchement. Elle s’en souvenait qu’à moitié, elle avait souffert le martyr, autant qu’avant, qu’après. Voir Sirius et Sofia derrière une vitre, pendant un mois entier lui avait fait beaucoup plus mal qu’elle le laissait croire, surtout qu’elle s’en voulait encore, elle n’avait jamais su si c’était vraiment relier à quelque chose qu’elle avait fait ou pas, mais sa tête se remplissait de ‘si’ à chaque fois qu’elle y pensait. Pedro avait traversé ça avec elle, comme à chaque fois, tous les jours ils avaient été tous les deux à l’hôpital, les fois comme les montées de fièvres ou les problèmes respiratoires, comme les premiers jours où ils puent prendre leurs bébés dans les bras ou les aider à les changer. Ça avait surement été le plus loin mois de sa vie, le plus épuisant et le plus intense aussi. Elle était juste reconnaissante de ne pas avoir été complètement seule à ce moment-là.
Puis, il eut la foi ou Ambre et Lena décidèrent d’être synchro et accouchée toutes les deux en même temps. Elle n’avait aucune idée, franchement, comment c’était déroulé l’accouchement de Lena, mais Ambre, ça avait été un enfer. Elle revoyait encore le sang partout, la main de sa sœur dans la sienne quand son cœur avait finie par lâcher… Puis le docteur qui lui avait demandé de choisir… Elle secoua la tête pour se changer les idées alors qu’ils sortaient dehors. Sirius, Sofia, Ana et Muwgli était là maintenant. Ils étaient tous en santé et ce qui était fait était fait.
Elle prit place dans la voiture qui lui était attitrée pour son séjour. Dieux merci, sa mère ne monta pas avec eux et Fee peux dire au chauffeur de prendre son temps et de faire quelques détours avant d’arrivée à l’hôpital. Elle n’attacha pas sa ceinture, elle en avait jamais ressenti le besoin dans une limousine de toute façon. À la place, elle se calla contre Pedro, elle avait l’impression de ne pas s’être reposée du tout depuis qu’elle était sortie de l’avion. « Je m’excuse vraiment, pour ma mère encore. » Elle releva la tête et l’embrassa doucement. Puis une idée lui traversa l’esprit, elle s’assura que la vitre teintée entre eux et le chauffeur soit verrouiller puis se tourna vers Pedro avec un sourire qui en disait long sur ses intentions. « Tu sais, ils nous restent quand même un moment avant d’arriver à l’hôpital… Les joies de la campagne diront nous. Et puis, avec tout ce qui est arrivé, moi je n’ai même pas eu le temps de jouer… » Elle bougea en parlant, se mettant à califourchon sur Pedro, lui faisant face, ses genoux de chaque côté de lui. Elle l’embrassa encore, doucement, puis plus passionnément, avec urgence, comme pour se venger de s’être fait interrompe tout à l’heure. Ses mains avaient déjà glissé sous sa chemise et ses doigts redécouvraient chaque parcelle du corps qui lui appartenait maintenant. Petit à petit, ses lèvres laissèrent la bouche de Pedro pour descendre tranquillement le long de sa mâchoire, jusqu’au cou, qu’elle mordit légèrement, juste de quoi laisser la trace de ses dents sur sa peau. Elle finit par détacher complètement la chemise et continua sa trainée de baiser sur le torse, tandis que ses mains allèrent jouer un peu plus bas. Agile, elle défit la ceinture et détacha les jeans de Pedro, glissant une main entre son jean et son boxer. La blonde releva la tête et ses lèvres virent de nouveau rejoindre celle de son homme tandis qu’elle commença à caresser sensuellement son entrejambe de sa main droite. Puis au bout d’un moment, elle décida de changer de tactique. Les gens ordinaires avait beau dire que se déplacer en voiture de ville avait chauffeur était d’un snob, ça avait ses avantages, c’était spacieux, les vitres étaient teintées et on avait pas à se concentrer sur la route. Pour une fois que les manis de sa famille ne lui dérangeaient pas. Tranquillement, en se tenant en équilibre gras au banc, elle descendit se mettre à genoux par terre, posant encore des baisés ici et là sur le corps de Pedro. Elle fit descendre les jeans, puis le caleçon et sans rien attendre elle prit la vérilité de son homme dans ses mains. Elle commença lentement, se contenta de quelques coups de langue sur le gland. Mais quand elle entandie Pedro grogné, elle n’hésita pas à approfondir et le prit dans sa bouche. Elle commença a faire des vas et viens, toujours un peu plus profondément, aidée par ses mains qu’elle voulait habille. Quand le moment fatidique arriva, elle ne recula pas au contraire, elle accéléra la cadence et finis par avaler le liquide chaud qui lui coulait au fond de la gorge. Elle s’essuya rapidement les lèvres et se releva tant bien que mal dans la voiture et reprit sa position initiale par-dessus Pedro. Juste à temps, car quelques secondes plus tard à peine, la voiture s’immobilisa, elle avait presque oublié qu’ils étaient en route pour l’hôpital.

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MessageSujet: Re: Do you think Brangelina could adopt me? Do you think Brangelina could adopt me? EmptyJeu 27 Jan - 13:50

Spoiler:

Fee était parfaite, cette femme était tout simplement faite pour lui. Elle était tellement surprenante, dans le sens agréable du terme évidemment. Elle avait ce côté coquin aussi… et quel homme pouvait se plaindre de ça honnêtement ? Ses yeux étaient encore écarquillés, son souffle lourd, son sourire était énorme. Elle venait de le sucer dans une limousine… il devait vraiment l’épouser. Gosh, il en était fou, elle le rendait fou, elle avait une telle emprise sur lui, quand il était avec elle, il se sentait comme un gamin qui avait du mal à contrôler ses hormones, quand il était avec elle, il ne voulait rien contrôler du tout, juste vivre, profiter. L’aimer encore & encore, il ne se sentait jamais épuisé, juste satisfait de pouvoir l’avoir, content de ce cadeau qu’elle était dans sa vie.

Son estime pour les limousines remonta d’un fameux cran grâce à ce soir. Il lui en fallait absolument une pour New York, c’était décidé. Une où il pourrait lui faire l’amour complètement. Un long, long trajet rien qu’eux deux. Il l’embrassa profondément, il se goûta sur les lèvres de sa compagne, il regretta brusquement que tout soit arrêté, il aurait voulu plus. Il la regarda avec désolation et il lui caressa le visage du bout des doigts, il passa un doigt sur sa lèvre qu’il retraça doucement. Ses yeux la dévoraient, s’il avait eu du temps… à la place il grogna tentant de calmer le feu qui bouillonnait dans ses entrailles, il ne pouvait pas sortir avec une érection de la limousine… ce serait vraiment mal vu. Déjà qu’il n’était pas tellement fier de la vision qu’il avait offert à la mère de Fee… il poussa un soupire, il allait devoir travailler là-dessus. Elle allait être sa belle-mère un jour, c’était évident, et il voulait qu’elle l’apprécie un minimum quand même.

Mais en attendant, il ne voulait pas descendre, il voulait encore rester dans sa bulle avec Fee, juste la regarder s’il le fallait, ça lui suffisait, il passa sa main dans la nuque de sa compagne, là où il savait qu’elle avait son tatouage. À la pensée de ce dernier il sourit fièrement, elle était à lui, elle s’était marqué comme étant à lui. Aux yeux des autres ça pouvaient être considéré comme étant exagéré. Aux siens c’était juste une sorte de preuve d’amour supplémentaire. Ils étaient si exclusifs que ce genre de cadeau était le minimum à faire pour rassurer l’instinct possessif de l’autre. Il avait aussi le prénom de Fee sur son corps, à jamais gravé. Il était à elle, c’était normal pour lui. Comme s’était normal qu’elle le marque de ses dents pour ainsi montrer à quiconque qu’il était pris. Ils n’avaient peut-être pas de bagues aux doigts, mais ils agissaient déjà comme s’ils étaient mariés.

Pedro sourit, ils ne faisaient rien comme les autres. Ils avaient couché ensemble avant de se connaître ou même s’apprécier. Ils étaient devenus parents avant de vivre ensemble. Ils avaient commencé à s’aimer alors qu’ils étaient avec d’autres personnes. Ils voulaient se marier alors que ça ne faisait pas un mois qu’ils étaient ensemble. Il était heureux, elle était son avenir, ce en quoi il plaçait tous ses espoirs, tous ses rêves, et il ne comptait pas la perdre, il ne comptait pas la laisser filer. « On sera marié d’ici la fin de l’année hein ? » c’était une fausse question, son cœur lui dictait déjà la réponse. « Felicity De la Vega… ça sonne plutôt bien je trouve… » et ça sonnait surtout comme une promesse, un avenir brillant, un avenir où cette femme serait à lui aux yeux de tous. Il se promit de lui offrir une bague voyante, pour que tous les hommes sachent qu’elle était prise.

Finalement, on ouvrit leur portière, Pedro ne dit rien, il serra juste la main de Fee pour sortir de là. C’est en sentant la griffe du froid sur son torse qu’il se rendit compte qu’il n’avait pas fermé sa chemise… en voyant le regard acquisiteur de Mme Lestrange, il eut un sourire timide et il se gratta la tempe avec l’index. « Désolé, je suis juste totalement amoureux de votre fille et j’aime tout ce qu’elle est, c’est ce qui la rend si parfaite à mon cœur » avoua-t-il avant d’aider monsieur Lestrange à guider sa femme vers les urgences. Il ne vit ni l’expression de Mme Lestrange ni Fee, mais il vit Harry lui faire un clin d’œil. Solidarité masculine. Un médecin arriva rapidement avec une chaise et les deux hommes la déposèrent là-dedans, elle fut prise rapidement en charge et elle était traitée avec un tel respect qu’il comprit que les gens devaient savoir qui elle était. Pedro une fois libéré de la femme mit son bras autour de la taille de Fee. « Ton frère arrive… » il l’embrassa tendrement sur le front.

Il ne savait pas vraiment ce que Fee en pensait, mais ça ne devait pas être que de bons sentiments. Sa relation avec sa mère était si tendue après tout…
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MessageSujet: Re: Do you think Brangelina could adopt me? Do you think Brangelina could adopt me? EmptyVen 28 Jan - 18:19

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‘On sera marié d’ici la fin de l’année hein?’ Elle sourit et ne prit même pas la peine de répondre, se contentant de l’embrasser encore un peu. Évidement qu’ils seraient mariés avant la fin de l’année, ils pourraient décider la date pour demain et elle trouverait sa tout à fait normal. Certes les gens allaient surement passer et repasser leurs commentaires, mais elle s’en fichait, il y aurait toujours quelqu’un pour faire son rabat-joie de toute façon. C’est vrai, ils n’étaient pas ensemble, on les emmerdait en disant qu’ils devraient, ils étaient ensemble, on passait des commentaires comme quoi ils se conduisaient comme deux gamins et si les gens les attendaient parlé maintenant, ils auraient surement le droit à des ‘oh mon dieu, mais prenez votre temps’. Mais pour le moment, elle n’avait même pas envie d’y penser, elle n’avait pas envie de bouger du tout. Les petits, dormaient et étaient surveillé par une baby-sitter, ils étaient seuls dans une voiture de luxe, merde, ils avaient vraiment mieux à faire que se retrouver à l’hôpital quoi… Au moment où elle allait proposer qu’il reparte tranquillement, que personne ne les avait probablement remarqués, la portière s’ouvrit et un vent froid s’engouffra dans la voiture. Felicity se contenta donc de se pencher vers Pedro une dernière fois et lui murmurer un ‘I love you’ à l’oreille, puis elle sortit dehors, resserrant son manteau contre elle.
Quand elle sortit de la voiture, elle remarqua que sa mère et son beau père, ainsi qu’un certain nombre d’infirmières regardaient par-dessus son épaule. Elle se retourna pour voir Pedro la chemise grande ouverte et ne put s’empêcher de se cacher la bouche avec sa main pour rire. Elle regarda sa mère avec un air fière dans les yeux, certainement elle n’oserait passé aucun commentaire devant tant de gens. Elle n’aurait pas vraiment eu de temps de toute façon, un médecin arriva rapidement et disparut avec elle dans une chaise roulante. Fee ne bougea pas, elle ne savait pas quoi faire, ni où aller vraiment, alors elle resta là à fixer les portes de l’hôpital. Elle souhaita une nouvelle fois d’être restée dans la voiture. Elle sentit Pedro l’entourer de son bras et l’embrasser sur la tête. ‘Ton frère arrive.’ Elle ne répondit rien. De toute façon quoiqu’elle disait, ça ne pouvait pas être bon. Elle s’éloigna un peu, de mauvaise humeur. Une infirmière vient les voir dehors, leur montra le chemin vers le corridor des naissances, leur demandant s’ils avaient besoin de thé, de café, à manger, du Taj Mahal s’ils voulaient, se rependant en ‘my Lady, yes my Lady.’ Fee la regarda pratiquement avec dédains. Putain, elle n’avait rien de mieux à faire dans un hôpital que de lécher les bottes d’une inconnue? C’était toujours la même chose à Londres, partout où elle allait, on se montrait tellement gentil avec elle, tout le monde savait qu’à être courtois ils avaient des chances de soutirées des faveurs. Un pourboire énorme, un don pour l’hôpital, un mot bien placé devant la bonne personne. Felicity détestait cette attitude. Elle tourna le dos à l’infirmière sans rien dire à elle non plus et trouva son chemin seule vers le corridor. Elle était complètement à l’autre bout et elle entendait sa mère hurler. Elle du se retenir pour ne pas mettre ses mains sur ses oreilles. Elle avait beau ne pas s’entendre avec sa mère en ce moment, elle ne souhaitait ça à personne. Juste a y penser, une douleur lui transperça le ventre et elle du mettre une main sur celui-ci pour s’empêcher de crier. C’était dans sa tête bien sure, mais elle se rappelait tellement de la douleur que c’était si facile à imaginer. Essayant de bloquer mentalement les cris de sa mère, elle alla se poster devant la pouponnière et regarda les bébés alignés de l’autre côté de la vitre. Automatiquement, ses yeux se dirigèrent vers le fond, là où les plus grosses machines prenaient place. Un couple était penché sur ce que devait être l’incubateur de leurs bébés, trop petits ou trop malade pour être avec les autres. Son cœur se serra et elle se força à détourner le regard. Certains bébés étaient carrément moches, tellement que Fee soupçonnait la consanguinité pour quelques un. D'autres étaient vraiment adorables, mais aucun n’arrivait à la cheville des siens. Ses bébés, ses anges, les plus beaux bébés aux mondes. Quand elle regardait les bébés naissants, elle fut surprise encore de les voir si petits. On aurait juré que c’était il y a un siècle que Sirius et Sofia faisaient cette taille et même, quand ils étaient nés, ils ne faisaient même pas la moitié des bébés devant elle. Voir autant de bébés roses et en santé lui donnait pratiquement envie d’en avoir un autre maintenant. Mais de un elle pouvait pas et de deux, elle c’était juré de ne jamais retomber enceinte. Elle avait vraiment trop mal vécu la fin de sa grossesse, pas question qu’elle revivre quelque chose du genre. Et puis, ils allaient avoir les deux petits autres bientôt. C’était étrange de se dire, que quelques parts dans le monde, se trouvaient ses deux enfants, elle avait aucune idée où encore, ni quel age ils avaient ou a quoi il ressemblait, mais elle les aimaient déjà, c’était un peu comme si elle était enceinte de nouveau en fin de compte. Sa mère poussa de nouveau un cri et Felicity ne put s’empêcher d’hurler aussi. « MAIS FAITES LA TAIRE! » Elle était à bout de patience, elle s’en voulait un peu d’avoir autant la haine pour un bébé qui n’avait rien demandé, mais sa mère avait été claire, c’était son remplacement. Le fils qu’elle avait toujours voulu, élevé dans une famille parfaite avec le père et la mère. Pas comme la fille, un accident qu’elle avait du cacher pendant deux ans. Et pis dire que son frère allait dormir dans son ancienne chambre…

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MessageSujet: Re: Do you think Brangelina could adopt me? Do you think Brangelina could adopt me? EmptyDim 30 Jan - 20:01

Pedro était nerveux, dans sa tête passait sans cesse la naissance de ses enfants. Ça lui rappelait beaucoup trop l’événement et le stress qu’il avait éprouvé lorsqu’Ambre lui avait dit que Fee allait accoucher… les accouchements, il en avait vu depuis la naissance de son filleul l’année passée. Il y avait eu ses jumeaux, puis il avait attendu toute la nuit pour Lena & Ambre et pour finir, il avait assisté aussi à la naissance de son benjamin, son fils James.

De tous les accouchements, le plus dur avait été celui de Fee… il était stressé, il n’était pas préparé, ils étaient arrivés tellement plus tôt que prévu. Il était nerveux, pas tellement pour la mère de Fee, il ne la connaissait pas assez pour ça… il était nerveux à cause de ses souvenirs. Il aimait ses enfants, mais parfois, le stress reprenait le dessus, il se demandait s’il était assez doué, s’il faisait vraiment les choses comme il fallait… que ce soit pour ses jumeaux, les couvraient-ils assez ? Il avait peur qu’un jour, ils arrêtent de respirer… mais il y avait aussi Diego… comment se sentait-il ? Faisait-il correctement son boulot ? Etait-il heureux ? Est-ce que sa mère lui manquait ? Et puis, il y avait James aussi… le voyait-il assez ? Il avait peur de le négliger. Il avait peur qu’on croit qu’il tenait moins à lui parce qu’il n’était pas en couple avec sa mère alors que c’était faux…

Et puis, aussi tôt, il eut une pensée pour ses deux autres enfants. Allaient-ils être heureux ? Est-ce qu’ils n’auraient pas la sensation qu’on les volait à leur foyer ? Qu’on les jetait chez des étrangers ? Avoir des enfants c’était excitant & effrayant à la fois. C’était des petits êtres humains, ils avaient une vie devant eux et c’était à lui en tant que père à ouvrir la voie, à être responsable, à leur donner les outils pour marcher droit et pour rester sur un chemin pas trop dangereux…

Fee était nerveuse, elle ne cessait de bouger et remuer et elle finit devant la vitre où derrière était alignée une rangée de poupon… Pedro resta assis… ça ne lui rappelait pas de bon souvenir… il avait vraiment mal vécu le premier mois de la vie de ses enfants… cela dit, quand il l’entendit crier, il se leva pour l’entourer de ses bras et lui embrasser tendrement le front. Il lui caressa la joue de son pouce avec douceur. « ça va aller amour » cette fois-ci, il la prit avec elle pour s’asseoir, il la berçait presque, lui embrassait la joue, l’épaule, lui caressait la cuisse, le ventre. Il était tendre afin de compenser avec sa nervosité. Il essayait de penser à son futur. Un futur où Fee jouerait un rôle important. Où il serait entouré de ses 6 enfants… il eut un petit pincement au cœur. Il en avait rêvé 7… c’était peut-être trop. Trop tôt aussi… mais un jour, il en parlerait à Fee, quand les petits seront plus grand, quand ils seront capable de courir, marcher, parler par eux-mêmes. Il eut un sourire. Jamais son futur ne lui avait paru aussi excitant. Il avait hâte d’y être, hâte de vivre tout ça. Avec elle, avec eux, sa famille à lui, celle qu’il avait toujours voulu avoir enfant. Ce qui lui avait immanquablement manqué dans sa jeunesse.

Il voulait offrir cet équilibre à ses enfants et à sa femme. Finalement, il entendit du bruit & une agitation. Une infirmière se précipita vers eux pour les accoster. « Le garçon est arrivé », Pedro serra Fee contre lui, se doutant qu’elle devait être confuse. Il l’embrassa sur la tempe. « Tu veux qu’on aille le voir amour ? » il la laissait choisir, lui laissant le temps d’avaler la nouvelle.
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MessageSujet: Re: Do you think Brangelina could adopt me? Do you think Brangelina could adopt me? EmptyLun 31 Jan - 8:19

Do you think Brangelina could adopt me? 2ludwk4


Elle tremblait dans les bras de Pedro, elle se sentait mal, pas du tout à sa place, elle détestait les hôpitaux vraiment et elle voulait partir. Le fait que sa mère accouche de son petit frère la rendait tellement amère, elle ne se sentait même plus aussi concernée qu’elle le devrait. Elle se laissa câliner pendant un moment, elle ferma les yeux, elle aurait pu s’endormir, mais l’infirmière vint leur annoncer que le petit était né. Elle ne bougea pas tout de suite, elle garda les yeux fermés encore un peu. Elle prit quelque chose comme cinq minutes avant de réagir. « On n’a pas le choix, je crois. » Elle se leva tranquillement, prit Pedro par la main et alla trouver la chambre de sa mère. L’image la frappa. Sa mère était a moitié assise dans son lit d’hôpital, son frère dans les bras et Harry était penché vers yeux, ils avaient l’air complètement absorber dans leurs bonheurs. Fee eut envie de vomir. Elle savait que le jour de sa propre naissance n’avait pas dû se dérouler de la même façon. Elle resta sous le pas de la porte, attendant que sa mère la remarque en premier. Question de politesse. Puis elle savait aussi que leurs moments leur appartenaient. Elle n’avait pas eu la chance de tenir les jumeaux dans ses bras après les avoir mis au monde, déjà elle avait été dans les vapes pendant un long moment, ensuite elle n’avait même pas eu le temps des voirs qu’ils avaient été placés dans une couveuse. Les deux premières semaines, aucun contact n’avait été permis. Un médecin avait finalement craqué au bout de quatorze jours et Fee avait pu les prends dans ses bras tandis qu’une infirmière changeait l’autre. Quinze minutes chaque, une demi-heure à peine, c’était un des plus beaux souvenirs de sa vie. Ils étaient tellement petits et fragiles dans ses bras. Elle avait eu peur de bouger, elle se contentait de les soutenir et les fixer. Dires que maintenant leurs passe-temps préférés était d’essayer de grimper dans les escaliers… Sa mère finie par les remarqués, elle leva la tête vers eux et sourit. La première fois que Fee la voyait sourire depuis son arrivée. « Congrat’ Mama. Harry.. » Elle ne savait pas vraiment quoi dire, elle était mal à laisse, vraiment, elle ne se sentait pas du tout à sa place. Complètement détaché. Sa vie était définivement ailleurs, avec une nouvelle famille. Sa mère ne semblait pas du tout le remarquer, elle enchainait un flo de paroles, donnant des détails plus ou moins indispensables sur comment c’était dérouler l’accouchement, vantant déjà les mérites de George, son fils, qui apparemment surpassait tout les autres. « You want to hold him honey? »
« No, I’m fine thank you. » Elle recula d’un pas, de peurs qu’on essaye de là forcé à prendre le gamin dans ses bras, de peur que l’envie lui prenne de l’échapper par accident. « Well, if everything is fine, we will be going… »
« Yes. Yes. Good bye Honey, thank you for the party and everything! I’ll call you when we’re back in London. » Les antidouleurs devaient être très fort pensa Fee. Ils sortirent de la chambre, en repassant devant la pouponnière Felicity revit le même couple du coin de l’œil. Elle attrapa une infirmière au passage, lui donna quarante dollars et lui demanda d’aller chez Starbucks, acheter quelques choses pour les pauvres parents. Puis ils sortirent enfin de l’hôpital. Elle ne dit pas grand-chose dans la voiture, en fait, elle posa sa tête sur les genoux de Pedro et s’endormit rapidement, complètement vidée. Elle ne pourrait pas dire comment elle s’est retrouvée dans son lit ce soir-là.

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Do you think Brangelina could adopt me?

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