It's New York City bitches ! And it's my motherfucking dream
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confidence sur oreiller - stan

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MessageSujet: confidence sur oreiller - stan confidence sur oreiller - stan EmptyVen 4 Fév - 10:55

Nolà avait enfin découvert qu'elle avait une famille, une vie … elle était allé la veille à la mairie de New York et c'est là qu'elle avait apprit qu'elle av ait une fille et certainement un petit ami du nom de Drew Wellington. Elle n'arrivait pas à comprendre pourquoi ses parents ne lui avaient pas parlé durant ces 6 derniers mois de cette partie de sa vie, une vie qui était très importante apparemment. Elle ne comprenait pas on plus pourquoi ce Drew n'avait pas été avec elle ces 6 derniers mois, leur relation devait être drôlement mauvaise pour qu'il n'ai jamais pris de ses nouvelles, qu'il n'est jamais cherché à rentrer en contacte avec elle. Une chose était certaine, si elle était perdu avec cette nouvelle, elle l'était encore plus après.

Beaucoup de gens aurait pensé qu'elle aurait foncé au domicile des Wellington pour enfin retrouver sa vie et comprendre mais Nolà n'avait pas eu le courage d'y aller et d'affronter la vérité. Elle avait passé sa journée de hier à pleurer dans son lit, elle c'était trouvé si pathétique, que le lendemain au réveil, elle avait tous cassé, son appartement était devenu un vrai champs de bataille. Alors lorsqu'elle c'était retrouvé au milieu des objets brisés, Nolà avait eu une forte envie de s'éloigner de ce lieu de malheur. La jeune femme avait saisie son téléphone, pour qu'un taxi l'attende dès qu'elle descendrait. La jeune femme avait saisi la première robe qu'elle avait sous la main, elle c'était dépêchait de se préparer. Lorsqu'elle fut dans sa rue, le taxi était là, elle se précipita à l'intérieur. Dès qu'elle avait eu l'envie de partir, une seule destination lui était venu en tête, n'ayant pas envie de se retrouver seule. « Upper East Side, s'il vous plait ... ».

Le chauffeur ne se préoccupa plus de la jeune femme, ce qui lui permis de reprendre un peu ses esprits, elle était partie comme une voleuse alors qu'il s'agissait de chez elle. Mais tout d'un coup, elle c'était sentit si oppressé qu'elle avait ressentit le besoin de fuir. A l'arrière de la voiture jaune, Nolà fut enfin respirer normalement, cependant la boule qui était né dans son ventre ne semblait pas vouloir partir. Arrivé devant l'immeuble de luxe, elle se précipita à l'intérieur, le concierge qui avait l »habitude depuis un mois de la voir débarque lui adressa un sourire sans vraiment lui poser de question. C'était une bonne chose, son ami était là, autrement il l'aurait prévenu. Cet home était au courant de tout les allés et venus de l'immeuble et il l'aurait certainement avertit pour éviter qu'elle monte inutilement.

Arrivé devant la porte de l'appartement, Nolà frappa à la porte, il était déjà 20H42, lorsqu'elle c'était décidé à franchir le pas de sa porte. Lorsque la porte s'ouvrit enfin, Nolà adressa un petit sourire à Stan, qui jurait franchement avec ses traits tirés et les cernes largement visible sous ses yeux. « salut, tu es seul ? ». Le jeune homme qui n'attendait pas la visite de Nolà pouvait certainement être légèrement surpris mais c'était dans leurs habitudes de se tourner vers l'autre lorsque quelque chose aller mal. Alors qu'il lui répondait positivement Nolà ne lui laissa plus aucune chance de se défilé.

Plongeant sur lui, elle posa directement ses lèvres sur les siennes, laissant son sac à main près de l'entrée. Le message était clair, Nolà avait besoin de réconfort maintenant … si ce comportement ne passait pas avec tout le monde, Nolà savait qu'elle pouvait se le permettre, il lui avait déjà fait le coup et elle n'avait jamais rien dit … La jeune femme ne perdit pas de temps pour commencer à enlever les vêtements de son ami …

Leur étreinte fut forte en émotion surtout pour Nolà qui était à fleur de peau et qui ne put s'empêcher de laisser couler des larmes silencieuse. Elle fut reconnaissante au jeune homme de ne pas lui poser de question et de simplement se concentrer sur le plaisir qu'il pouvait retirer tout les deux de cette échange …

Plusieurs heures après, alors que le jour faisait son apparition, la jeune femme blonde était allongé dans nue comme un verre sur le ventre dans les draps de soie de la chambre à couché de Stanislas … Les draps ne s'arrêté qu'au dessus de ses fesses, le reste de son corps lui était découvert, ses cheveux blond était éparpillé autour d'elle et elle semblait dormir le visage plus serein que lorsqu'elle était arrivé. En tous cas les rayons du soleil qui filtrait dans la pièce ne semblait pas déranger la jeune femme.
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