Cela fessait des siècles qu’avait été construit dans la bourgeoisie new-yorkais cet établissement gigantesque qui rappelait à l’époque la royauté d’autre nation peut-être. Comme si l’on s’aventurait dans un palais. J’avais toujours aimé les Opéra pour cette raison, de départ. Lorsque j’étais petite, lorsque je suis allé pour la première fois dans un Opéra avec ma grand-mère, s’était quelques mois avant son décès. Je me souviens de ces gens si bien habiller, les femmes merveilleusement nappé de robes somptueuses, elles portaient leurs plus beaux bijoux, coiffures hautes et si bien maquillé. Je les trouvais si belle, elles avaient l’aire de princesses. Les hommes, habillés de costard et cravate étaient tous aussi séduisant, de toutes les âges. Je me rappelais qu’à l’époque l’Opéra annonçait une classe supérieure. Ce qui est toujours le cas en générale lorsque l’on jette un coup d’œil aux loges. Enfin ayant des inspirations Espagnole voir française dans l’architecture de l’Opéra, j’ai entendu parler du projet qu’avait le directeur de trouver des investisseur afin de rénové l’établissement dans sa beauté d’antan. En faire un vrai palais sur lesquels danserons et chanterons les prochaines étoiles de New-York et du monde. Cependant les administrateurs n’avait toutefois pas annoncé officiellement le collaborateur qui, selon les rumeurs qui circulait dans les coulisses depuis quelques jours, se joindrons a ce projet, encore moins qu’un seule avait été suffisant pour l’ensemble des dépenses. De toute façon je ne portais que rarement oreille aux commérages, comme ils se révélaient plus que souvent faux.

Le lac des cygnes, histoire magnifiquement tragique d’une princesse ensorceler par un cruel magicien, la poussant a passer sa vie dans la peau d’un majestueux cygne blanc. Toutes les nuit lorsque la lune se levait, elle revenait pour deux petites heurs a ce qu’elle eu été autrefois. C’est la que le prince la vie et en tomba fou amoureux. Craintive le cygne blanc résiste un moment au prince avant de comprendre que seule l’amour pourrais la libéré… mais le cygne noir, envoyer par le magicien lui dérobe le cœur de son prince et elle meurt le cœur brisé. Je sais ce n’est pas le genre de happy end habituel mais c’est mon ballet favori. Et je me suis préparé toute ma vie pour ce rôle.. Enfin terminais l’enchainement quelques pas avant la pause finale. Alors que tournant sur la pointe de mon chausson me vint finalement en ligne de mire Klaus… mon cœur se stoppa net. La panique, l’énervement brillais dans mon regard alors que mon poux s’accélérait beaucoup trop vite.. Je me retint d’une main à la barre pour ne pas tomber sous le choc ne sachant pas trop comment réagir, m’y attendant pas du tout.

❦« Klaus, c'est. vous? » qu'elle question, bien entendu s'était lui...

Certes cela me semblais assez lointain, lorsque un soir alors que la représentation de la belle au bois dormant s’était achevé j’avais suivit les autres danseuses. A l’époque je n’avais pas de loge privé n’était qu’une danseuse parmi tant d’autre. Je n’avais rien de si extraordinaire, n’ayant pas terminé les études l’on ne me confiait aucun premier rôle, je n’avais alors que deux danse solo à travers les actes de la pièce. Pourtant alors que je déblatérais sur des sujets peu important avec les autres danseuses, l’on vint me prévenir qu’un homme m’attendait a la sortis des loges. Je ne l’avais jamais vue, et pourtant je n’avais pas eu l’impression qu’il eut été un inconnue, ni une seule secondes. Dans ces mains il arborait un large bouquet, je me souviens mètre demander a qui ils les avaient prévue à l’origine, a quel autre danseuses ces roses aurait été destiné si il n’avait pas eu le désir de me les portés. D’ailleurs il était si séduisant que j’avais rigolé a toutes ces blagues aussi mauvaise était-elle. Il faut le dire, comme monarque il était plus sérieux qu’autre chose. Mais je me suis rapidement éprise de cet homme, et franchement rien de plus normal, il avait tout ce qu’une femme pouvait rêver. S’était le prince charmant de mon compte de fée.

Aujourd’hui il se tenait sur les planches de l’opéra de New-York, bien loin de son pays d’origines ou il était le grand prince héritier de la couronne. Certes derrière son frère, mais le peuple entier saurai clairement préférer un futur monarque tel le serais Klaus, à défaut de préféré son frère ce qui ne devait pas calmé les liens fraternel au palais j’imagine. Enfin, je le regardait s’approcher, les jambes molles mais tentant d’afficher aucune évidences de cela… ma question avait été idiote mais je n’avais sur que dire d’autre sur le coup… alors qu’un nouveau morceau vint altéré le silence dans la pièce je me penchait simplement pour la baisser question de politesse évidement, mais pas que ça..

❦« qu’est-ce que vou.. tu fais a New-York? A l’opéra? »

Cela remontait déjà à si loin, quelques années s’étaient écoulé depuis que j’étais allez performé sur les planches Danoises. J’étais encore jeunes et innocentes, pas tout à fait majeure d’ailleurs n’ayant pas encore mes vingt-et-un ans à l’époque ce qui aurais pu malgré tout lui posé des problèmes si jamais notre petites histoire s’était fait découvrir par les journaliste du pays qui se serait jeter sur cette occasion de salir un peu la famille royale tel les journaux a potins le fessait avec les célébrités d’Hollywood dans le nôtre. La semaine avait été courte, mais pourtant quelques jours à peine avait suffi pour que je tomber amoureuse de lui. Je n’avais jamais réellement aimé avant cela, quelques amourettes étourdis, mais rien qui n’avait égalé ces sentiments-là. Qui tragiquement était perdu d’avance. Nous avions deux monde différents, chacun une vie de notre côté auquel il était impossible l’un comme l’autre de cédé… lui sa famille, sa lignée, son peuple. Et moi ma carrière, qui évoluât dans les années qui suivirent. Nous nous étions à peine croisé et pourtant cette simplement semaine avait suffi.

J’étais revenue à New-York depuis et je n’avais plus réellement entendu parler de lui. Nous ne nous sommes pas écrit, ni téléphoné, sa valait mieux comme ça! A quoi bon essayer une relation intercontinentale alors qu’on ne s’était à peine croisé. A l’époque sa semblais comme une aventure passagères, on s’était simplement dit que l’on s’oublierait aussi rapidement que l’on s’était connu. Quelque mois plus tard je rencontrais Miles, mon ancien conjoint avec lequel j’ai passé plus d’une année, cependant mis à part une infime affection ça n’avait rien à voir avec ce que j’avais pu ressentir avant pour le Danois. Ma main de Klaus sur la mienne engendrais un monté de frissons sur ma peau qui paraissait à mon grand malheur a vue, je levais les yeux vers lui me mordillant légèrement la lèvre, il était encore plus séduisant qu’avant.

❦« quel genre de chose le prince du Danemark peut avoir a faire dans une ville comme celle-ci? » le questionnais-je intrigué avant d'ajouter. « cela fait déja quelques années, alors pourquoi?»

C’est aussi une des grandes raisons, - l’une parmi tant d’autres a listé – qui me poussai a repartir vers les États-Unis. J’étais beaucoup trop jeune et pour une mineur a cette époque la différence d’âge était biens plus frappante. Il avait un titre si important que j’en étais intimidé, je n’avais rien de la princesse qui terminais généralement les histoires avec des ; ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants. Bien qu’a ces yeux cela n’aurais pas été le problème. Il avait un haut rang dans la société, son peuple compte sur lui. Et je sais par ces propres mots, que son pays représente tout à ces yeux. A quel point il tenait à tous les habitants, a leurs vies, leurs grandes importances en son cœur. J’étais partie dans la certitude qu’un simple amour volage comme l’avait été le nôtre n’avait rien d’aussi important que l’amour de sa patrie. De son peuple. Il aura aimé d’autres femmes, différentes tous les soirs ou non. Alors que pour ma part, plus sage, n’avait fréquenté qu’un seule homme sans lui conféré plus qu’une amicale affection avant de finalement rompre pour des raisons plus qu’évidente. On ne bâtit pas un avenir avec quelqu’un sans amour. Bien que malheureusement je fusse celle qui n’éprouvait rien alors que le pauvre lui était épris. Comment peut-on aimer sans l’être en retour!

De mes prunelles claires comme un ciel d’azure suivirent le mouvement de la main du jeune homme, d’où le bout de ces doigts allaient sans réserve frôler la peau pure tel de la porcelaine, la peau de mon bras pour s’interrompre a la courbure de ma taille. Le plus grand raviseur, qui tenait la distance était mon tutu d’un rose lasse assez bouffant pour prendre un peu d’espace entre nos deux corps. Séducteur et si sûr de lui que sa ne m’étonnais pas malgré ce venait se troublé en moi. Ainsi donc s’était lui l’investisseur. ❦« tu est notre nouveau Messène? N’aurais t,il pas été plus simple d’investir en tes terre? » Demandais-je simplement. Ensuite ces mots qui suivirent virent me tourmenté un peu. Certes mon cœur battait trop vite pour suivre un rythme normal. Un sourire illuminais mon regard un court instant avant que la réalité ne rattrape. Ces années sans s’être vue et il apparaissait comme ça?❦ « je me demande si t’on discourt est résultat de cette coïncidence de nos retrouvaille. Après toutes ces années, j’ai du mal à croire qu’aucune autre jeune fille n’ait volé ton cœur. »

Avec une position comme la sienne venait de grande responsabilité, et loin de moi l’envie de le voir abandonné sa patrie par amour. Il était définitivement fait pour gouverner, son peuple l’acclamait et l’aimait autant que en les monarques que sont ces parents. On disait de lui qu’il deviendrait l’un de plus grand roi du Danemark un de ces jour, et j’avais autant fois en lui que son peuple avait en lui et la famille royale. Combien de fois l’histoire avait été gravé de grandes histoires d’amours qui avait dû s’oublier pour le bien de la nation. Certes nous vision quelque chose de merveilleux, mais il ne fallait pas être égoïste envers le peuple Danois. Bien que le jeune homme n’était pas le premier héritier et que selon les lois les premiers enfants de la lignée devrait monter sur le trône, dans les journaux du pays, l’éventualité que le trône soit offert au second jeune homme de la ligner fessait parler tout le peuple. Et franchement, je serais même heureuse de le voir accomplir ces grandes chose qui montrerons au monde entier, le grand monarque que Klaus était et sera tout au long de sa vie, j’en était certaine.

❦« bien c’est très honorable comme intentions d’accordé ton aide royale aux pays étranger » Dis-je d’une voix infiniment douce. Les choses avaient changé depuis, et de le revoir ainsi aurai pu me laisser tout a fait lasse de sa présence. Éventuellement j’aurais pu avoir oublier complètement l’homme. J’avais repoussé les hommes le long de ma vie pour ma carrière et j’aurais pu le faire a nouveau aujourd’hui. Cependant l’homme devant moi n’était pas le genre d’homme que l’on repoussait. Puis mon corps répondait instinctivement au siens même après plus de deux années sans un mots.❦ « Ce n’est pas du tout ce que j’ai voulu dire.. » sa réaction démesuré me choquait a peine, mais un peu néanmoins. Loin de moi l’idée de le traiter de menteur évidement, ces mots étaient certes très beaux mais très irréaliste aussi. enfin je fit quelque pas en m’éloignant peu fermant la musique et y décrochant de I-pod que je mis dans mon sac et posait sur mon épaule.❦ « j'ai été heureuse de te revoir en tout les cas, on se reverra en ces lieu sans doute. je lui sourit lui adressant un petit signe avant de me retourner vers les vestiaires.

Certes il n’avais pas fait ce choix, jamais il n’avait demander de naitre de sang bleu et pourtant. Il était née sous cette étoile, sous se destin qui lui était destiné. Tous ces hommes qui reveait de pouvoir, de gouverner d’une main de fer mais qui ne le peuvent. Alors que lui il est née pour cela, et bien que d’être un homme ordinaire lui plairait sans doute d’avantage quelques fois, moi pour le peu de temps que j’avais passé a ces coté sur ces terre, j’avais vue en lui un homme remarquablement droit, fidèle envers son pays et aimant envers son peuple. Il avait tout pour faire un grand monarque, de changer les choses pour le bien et cela pour des milliers voir des millions de personnes. Il avait se dont en lui, cette force de grand seigneur, ces qualité en lui que quelques personnes seulement dans le monde entier possède qui feront de lui un grand homme, un grand roi plus tard, et il marquera l’histoire. D’ailleurs je ne sais pas si je lui voudrais toute cette admiration s’il laissait son pays pour une fille aussi futile que ma moi. Je n’avais pas de quoi détourné un futur roi de son royaume. Je ne le laisserais assurément pas faire ce geste si égoïste puisse être que d’aimé.

❦« ta décision de parrainé ainsi un monument historique américain ne va pas chercher la controverse pour ton peuple? » je demandais simplement sans aucun jugement évidement, bien au contraire. Biens que les fond de son pays était sans dette comparativement a biens des pays dans le monde, étaient-il en si avantageuse posture économique pour ainsi pouvoir aidé un établissement délaisser par la maison blanche. Enfin ayant repris mon sac j’avais pris congé de la compagnie du jeune homme en poussant d’une main délicate la porte qui menait aux vestiaires, l’ayant saluer simplement, rien de plus après ce qu’il m’avait dit. Mais certes il était difficile de croire a 100% les propos de l’homme après ces années s’étant écoulé. Le hasard selon moi, avait fait nous rencontré, sa lui aura rappelé une belle semaine qu’il aura voulu revivre avant de repartir. Loin de moi l’idée qu’il serais revenue que pour moi.. je retirais mon tutu doucement en le pliant parfaitement et le posant dans mon sac en sortant de celui-ci un simple jean et un haut relativement chique noir pour me changer, mais a peine le tutu poser que je sentais après avoir entendu la porte grincé, le torse du prince derrière moi. Mon cœur a nouveau s’emballais.. rapidement.. la voix cassé légèrement sous cette boule que j’avais a l’estomac… ❦« tu ne m’as pas laissé partir la première fois, l’on avait fait ce choix commun, et sa remonte a déjà longtemps.. » aux passages de ces lèvres cependant un petit soupir sortis de ma gorge.

Étais-ce réellement un choix? Un choix se fait après un évènement déclencheur, et bien que c’est plutôt présomptueux de le dire ainsi bien je crois bien être cet élément déclencheur. Pourtant que je l’ai rencontré la première fois, bien que son désir d’être comme tout le monde était déjà la. Il était sereins a l’idée de suivre sa vie tel elle lui était tracé. Alors il souhaitait être un aussi grand homme pour le peuple que son père l’était Il ne voulait pas simplement diriger. Non il voulait être un père pour le peuple, un frère, un ami. Travaillé pour le bien d’une nation unie, la portée un peu plus loin dans l’histoire. Changer les choses pour le mieux. Ce destin que je trouvais si admirable et qui maintenant était pris avec un certain, bien que petit, dédains avec lequel, il voyait son avenir.

Arrivé dans les vestiaires je fus rapidement rejoins par le beau prince que se glissait à mon grand désarroi derrière moi. Cet homme qui avait l’habitude d’être claire dans ces intention tant que par ces geste que par ces mots, ne laissait pas le moindres doutes sur ces envies du moins momentanée. Contrairement à moi, belle rousse qui avait tendances a résisté un peu plus, affiché plus de réserve.❦ « il est trop tard pour parler de ce qui est passé, n’as-tu pas ce bel avenir devant toi? » je rétorquait d’une voix presque mystique. Chantante et douce alors que je pivotais tel la ballerine que j’étais pour plonger mon regard cristallin dans celui plus ténébreux de l’homme. Il me plaquait un peu durement sur les casiers mais sans mal, simplement un geste assuré et immobilisant mes bras de chaque coté de ma tête… ce simple toucher, ces lèvres un peu plus tôt sur mes lobes engendrais des réactions facilement remarquable sur ma peau si sensible déjà, le pouvoir des rousses. ❦« je me souviens...d'une danseuse qui n'avait pas encore l'âge légal pour fréquenter son beau prince. d'un amour qu'elle a ressentis, et qu'elle c'est voulu de garder trop longtemps pour le temps que ça a duré et qui aujourd'hui est tétanisé devant ...» toi. devant toi!

Les mots sortaient de ma bouche comme de la poésie, comme une douche chanson ou comme le rythme de vers s’entrecroisant, mélodique sans la moindre prose. Simplement, étais-ce la voix douce et sereine qui donnait cet effet ou alors les mots si bien choisi sans y avoir trop réfléchis et pourtant en ayant songé a ne rien dire de désolant. Si un bel avenir se dessinait à l’horizon, un destin qui s’élevait bien plus loin que moi. Tant de questionnement sur lui-même alors que le choix qu’il aurait peut-être a faire un jour s’annonçais encore lointain. Seule la mortalité de l’actuel roi du Danemark pouvait le mener au trône, et a moins d’avoir raté l’article dans le journal a ce sujet, il était toujours en formes et avait encore si aucun accident ou maladie grave ne survenait, plusieurs années devant lui. D’ici-là qui sait, sera-t-il avec une femme ambitieuse désireuse d’être reine ou alors Duchesse. Ces avec un petit sourire et un ton tout aussi doux, comme si je comptais alors une berceuse a un jeune bambin.❦ «l’avenir c’est simplement ce que tu décides d’en faire. Tu a la chance d’avoir un destin, une grandeur que tu n,as pas eu a chercher. Tu es née pour cela, peu importe avec qui tu te trouvera je suis certaine que se sera un destin enviable votre altesse. »

Je lui lançais un magnifique sourire, limite enfantin, peut-être légèrement lutin. J’avais commencé sous force d’histoire, l’histoire d’une jolie danseuse et d’un merveilleux prince. Une histoire que l’on avait laissé possiblement, qu’au prologue alors qu’on avait tous deux crue que s’était la fin. Il était clair par ma façon d’agir pourtant, que je lui étais déjà dévouer corps et âme malgré tout. ma peau fragile répondais de picotement excité aux passage de ces maint. Mon regard hypnotisé trahissait mon désir de ces lèvres par leurs regards sur celle-ci bien soutenue. ❦« elle doit-être bien spécial cette fille » je lui dit d’un petit sourire, mon regard bien brillant de ce que mon cœur lui cachait. ❦«si tel est votre devoir! » j’allais faire la révérence mais bien vite ces lèvres prirent emprise sur les miennes qui se donèrent entièrement, mon cœur accélérait tellement vite que je croyait qui exploserait d’ici peu. périmètre de sécurité merci.

7J’ignore ce qu’implique avoir un avenir tout tracé depuis sa naissance, on ne m’a obligé a suivre aucune voie, seule moi ait construit mon propre chemin dans ma vie. Pourtant je m’étais enfermé dans un plan de carrière alors que j’étais très jeune néanmoins. J’avais dix ans, s’était sur le lit de mort de ma grand-mère. Celle qui m’emmenait voir les plus beaux ballets du monde à l’Opéra russe. J’étais déjà toute jeune et déjà les ballerines me semblait être la perfection, et j’ai ainsi décidé d’incarné un jour moi aussi cette perfection, que ce ne soit que pendant cinq minutes sur scène. Et quand ma grand-mère est décédé, elle qui jadis fut un des plus grandes danseuses de son époque, que j’ai décidé de refaire vivre son rêve inachevé. Pour nous deux, un jour j’étais destiné à devenir la plus grande danseuse de ballet du monde. C’est le destin que j’avais choisi. Contrairement à lui, j’avais choisi la carrière au lieu de l’amour. Pourtant. Les choses ne se passent pas toujours comme on l’a vue venir.

❦« il y a des gens qui naissent avec des destin bien plus sombre que le tiens, tu devrais pouvoir te réjouir néanmoins de ton sort »

Je pensais par la a tous ces orphelins sans le sous ou je fessais parfois du bénévolat par bon cœur lorsque j’avais une minute. Il faut dire que la pension de retraite me prenait aussi beaucoup de temps. Enfin. Mes doigts fins et délicats vinrent s’entremêler doucement avec ceux plus rugueux du jeune homme. Cette sensation de ces mains plus rudes, si masculine qui me se fait frémir jusqu’au plus profond de mon être. Je n’ajoutais rien a ces dire, le sourire toujours éclairant le rose de mes joue douce qu’il vint caresser doucement alors que ces lèvres si douce caressait les mienne. Je goutais à nouveau ce petit gout indescriptible, sucré et doux que j’avais gouter alors ces années plus tôt de ces baisé. Mon cœur battais si fort qu’il devait résonner dans toute la pièce.
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Après tout, toutes les petites filles ont déjà rêvé d’être une princesse. Les hommes des princes? Bonne question surement, même si le prince avait un sabre laser dans les cours de récréation. Mais pourquoi le prince lui ne pourrais pas rêver d’autre chose après tout? bien qu’il ai une place prisé dans la société, qu’il ait l’argent, tous ce qu’il pourrais désiré. Mais ca reste que de la paillette, du superflu. Pourtant je ne peux m’empêcher de trouvé cela un peu dommage quand même qu’il soit si ennuyer par un travail qu’il pourrait remplir a merveille. Il pourrais accomplir tellement plus que son frère, et pourquoi pas même allez plus loin que son père ne l’as été.

❦« Tu as le pouvoir de changer les choses, d’aidé ton peuple, changer un peu la face du monde, je dirais que ce n’est pas le pire des destins. Mais tu sais, c’est ta vie, en bout de ligne tu peux prendre les décisions qui te plaisent, faire ce que tu veux de ta vie même si ça semble difficile. »

La fine couche de tissus de mon maillot d’entrainement était si fin que ça me semblait être à même la peau qu’il caressait mon ventre doucement alors que ces lèvres tapissait parfaitement les miennes. Pulpeuse bouche, dévorante, allant épouser les courbes parfaite, mordillant un peu sa lèvre à peine perceptible, un simple petit geste. Mon souffle s’était allonger, a moitié plus court par instant avec des soupirs un peu plus longs qu’a l’ordinaire. Ma peau de rouquine, plus sensible que celle des gens a couleur de cheveux autre, pourquoi je n’ai jamais vérifié. Mais cette sensibilité venait accentuer chacun de ces geste qui même sans cette sensation accrue était déjà délicieuse. Au faufilage de ces mains s’était encore pire, le battement de cœur, si rapide, les mains légèrement moites. Évidement je ne le tassait pas. Ma main douce vint caresser la peau de son cou en se faufillant sous le col de sa chemise entrouverte.

J’ai de la difficulté à imaginer la vie royale d’un autre œil qu’avec celui que j’avais d’abord eu toute ma jeunesse. Ensuite avec celle qu’il m’avait quelque peu raconté, ces années plus tôt, un peu sur cette vie. Mais j’avais de la difficulté à imaginer tout ça dans le négatif… bien que le long des années j’avais parcouru quelques revue a potin, des articles de journaux posté du internet en provenance du Danemark racontant un peu ce qui se passait avec les membres de la famille princière. Ma curiosité l’avait suivi bien malgré moi, une sorte de petite torture a chaque fois, avec une crainte d’apprendre quelque chose, vrai ou fausse comme je n’aurais pu clairement vérifié, qui serait venue me blesser. Du moins j’avais tout de même assez lue sur son frère ainé, et sur la possibilité d’un règne plus noir. Enfin.

❦ « Faisons comme si pour quelques minutes tu étais comme tous les autres jeune homme de ce monde. Si tu pouvais choisir cette autre destination, si tu avais le choix, qu’est-ce que tu choisirais comme destin, qu’est-ce que tu aimerais faire?

J’avais presque oublié ce que s’était que de sentir les mains un peu plus rudes du jeune homme que j’aimais définitivement toujours sur ma peau frêle. Qu’elle sensations provoquait en moi ces lèvres douce, encadré d’une mâchoire puissant et quelque peu drue de l’infime repousse de barbe ayant rappliqué un peu à la fin de la journée. Comment avais-je pu oublier si longtemps cette monté de désir qui me prenait simplement quand il se tenait non loin. YOUR BODY IS A WONDERLAND – traduction pour ton niveau pourris d’anglais. ; Ton corps est un… pays des merveilles. Sa se dit mal mais voilà – relevant un peu le menton fessant tombes mes long cheveux un peu plus loin dans mon dos alors que ces lèvres parcouraient ma gorge, je soupirait une nouvelle fois, encore plus excité lorsque sa main glisse sur le tissus de mon costume entrainement. Je glissais ma main sur sa nuque vers son torse pour aller déboutonner sa chemise, un bouton a la fois.

Je l’écoutais parler, avec un petit sourire sur les lèvres qui peu à peu devenait de plus en plus précis alors qu’il répondait à ces plans de carrière. Bon c’est sûr que de jouer pour l’équipe victorieuse du dernier superbowl, de celui de l’année dernière et j’en passe, faut dire que c’est de vrai champion. Quoi que bon, moi je ne suis pas particulièrement fan de sport, a vrai dire je ne le sais pas je ne me suis jamais réellement posé sur une des estrades pour prendre le temps de réellement regarder, qu’un petit jet en coin quand j’allais voir mon père au centre des retraité et qu’ils regardaient une partie quelconque a la télévision. Enfin. Quoi qu’il en soit c’est tout de même assez claire que l’on ne devient pas joueur de foot professionnelle du jour au lendemain, encore moins a son âge. Je sais que 28 ans ce n’est pas vieux réellement, mais dans le monde du football c’est tout comme si il avait 45 ans… il ne lui resterais que quelques années maximum a jouer… et bon il faut s’entrainé toute une vie pour ca.. le pauvre, pourtant je pouvais pas lui répéter ce qui avait filler dans mon esprit non?

❦« vraiment du football? Pour ca c’est au lycée qu’on doit se préparé… et a ton âge.. enfin tu sais! » je l’embrassait néanmoins doucement au coins des lèvres suite a ces mots. Je ne voulais pas le vexer sur son age ou peu importe, mais bon c’est un rêve difficilement réalisable tout de même. Mais le coté acclamer par un foule il avait déjà ca non? «❦ un femme et des enfants? C’est pas une rêves inaccessible ça non? Même avec ta position tu peux te marrié, avoir des enfants, je ne me souviens pas avoir jamais lue de loi contre cela me semble t’il! »

Je voulais aussi des enfant, un jour, quand j’aurai vécu ma carrière jusqu’au bout, je ne veux pas y renoncer c’est claire, je ne saurai rien faire d’autre. Mais me marié, ca avec l’homme de ma vie, n’importe quand! Enfin je ne pensais plus trop a ca, ayant déboutonner les boutons je glissait mes main sur ces bras pour lui retirer sa chemise et découvrir son torse divin. Et bon même si ca fesait longtemps, j’étais tout de même douce et passive, le déshabillant comme on développe un cadeau. Puis me mordillant la lèvres, je lui susurrait au creux de l’oreille quelques mots- je sais pas genre fourre moi! Mais en moins vulgaire! – hahaha. M’attaquant aussi tôt a son pantalon que je ramenait au sol ..