Sujet: I can not let you do that Dim 19 Juil - 19:46
Le gymnase était certainement l'un des lieux que le jeune homme préférait et où il y était le plus souvent en dehors de son boulot. Ce n'était pas simplement parce qu'il faisait partie du FBI et que sa capacité physique était essentiel pour mener à bien toutes les affaires qu'il devait résoudre qu'il y passait des heures à suer comme un porc mais bel et bien parce qu'il aimait cela. D'abord parce que cela lui permettait d'avoir un beau corps et que c'est ainsi qu'il s'y sentait bien, plus que pour draguer les filles même s'il ne pouvait pas dire que ce n'était pas un avantage et aussi parce que cela lui permettait de passer ses nerfs et de se défouler, de se destresser. C'était sa façon à lui d'extériorité ce qu'il pouvait ressentir. C'était la seule façon qu'il avait trouvé vu qu'il est loin d'être bavard et que se confier n'était pas vraiment dans sa nature. Et tout garder pour lui, il avait essayé mais cela avait failli l'entrainer vers le fond du trou.
Aujourd'hui, le jeune Dominic était en congé. Alors autant dire que lorsqu'il s'était reveillé ce matin de très bonne heure, il se sentit tout de suite frustré de ne pas aller bosser. Vous allez peut-être trouver cela dingue mais Spacey ne vit que pour et à travers son boulot. Aussi dès qu'on l'oblige à rester chez lui, soit il y va quand même lorsqu'il est sur une affaire qui ne peut pas attendre, soit il va courir ou faire du sport. En ce moment, c'est les vacances scolaires donc l'équipe de base-ball ne s'entraine pas. Il fait trop chaud pour aller courir à Central Park, aussi direction Queen's et son gymnase. Mais pas question d'utiliser sa voiture. Vêtu d'un marcel blanc et d'un short noir, le jeune homme mis les écouteurs de son MP3 dans les oreilles et direction le gymnase. Arrivé dans le quartier, il s'arrêta pour souffler un peu. C'est pas la meilleure façon de courir avec les voitures, les piétons et les vélos qui ne cesse de vous insulter parce que vous les bousculer ou parce que vous prenez toute la place. Heureusement, le jeune homme n'avait pas eu d'incident et il était sur une place et profita d'un banc libre pour s'étirer un moment avant de repérer une petite épicerie.
Dominic avait soif et il avait pas pris de bouteille d'eau. Aussi, toujours aussi transpirant, il se dirigea vers le commerce. Parcourant les rayons, il ne mit pas longtemps à trouver ce qu'il cherchait et il se baissa pour prendre quelques pièces qu'il avait cacher dans sa chaussette. Mais lorsqu'il releva les yeux, dans un petit miroir, il remarqua un homme qui venait de prendre quelque chose et de le mettre dans sa poche. Il fallait le surveiller.
Sujet: Re: I can not let you do that Mar 21 Juil - 10:50
Le mardi. La journée préfrée de Sohàn. Pourquoi? Tout simplement parce que le mardi, il s'accordait une journée entière de répis. Une pause de 24heure, top chrono, où il pouvait se ballader, aller boire des cafés toutes les heures au Starbuck, envoyer des mails à qui il en avairt envie, et sortir le soir, pour se dégfouler d'une semaine fatiguante. Même s'il travaille a domicile, et vagabonde au grès du vent dans les rues de New York, le métier de photographe n'est aps de tout repos, au contraire. Vous rendez à l'autre bout de la grosse pomme, pour prendre telle ou telle place bondée de monde, ou chercher des models dans les rues ou dans les cafés, et leur donner envie de travailler avec vous, ce n'est pas simple. Qu'importe, on était mardi, et il n'avait pas a penser boulot. Habillé d'un simple jean et d'une chemise blanche, il s'était levé tôt, voulant profiter de la journée au maximum. Un tour au café du coin, un message pour sa fiancée, et hop, dans les rues, à chercher quoi faire de sa matinée. Se dirigeant sans trop de reflexion vers le magasin d'un ami, une échoppe où tout y était vendu, Sohàn y arriva en quelques minutes, et salua discretement Mick. Ici, il savaitqu'il pouvait se servir comme il le voulait, sans aller trop loin tout de même. Vu qu'il aidait ce Mick a payer les frais de location, il avait le droit de prendre un ou deux CD par moi, et quelques DVD, ou bouquins. Il prévenait bien entendu son ami, mais il partait sans payer. Un petit deal entres les hommes qui leur convenait parfaitement. Se dirigeant vers le rayon disques et singles, il tomba nez à nez, avec une version collector de Metallica. Un vrai petit bijou, qu'Ali avait refusé de lui acheter. Selon elle, il devenait un peu tarré quand il écoutait ce groupe. Allez comprendre pourquoi. Attrapant le disque tant convoité, il le glissa dans son sac d'appareil photo, et partit en direction de la caisse, tout grand sourire
-Mi...
A peine eut-il le temps de temps d'ouvrir la bouche, et de passer le pas de la porte, qu'une masse étrangère l'avait attrapé par derrière, le bloquant contre le mûr. Qui était le salopard qui lui faisait ça.
Sujet: Re: I can not let you do that Mar 21 Juil - 11:47
De part son boulot, Dominic est du genre a se faire une opinion sur quelqu'un au premier coup d'oeil, rien qu'à voir son attitude, ses gestes, ses paroles. Il faut dire qu'en travaillant au FBI, il n'avait pas le choix. Les preuves sont souvent le truc qu'il faut chercher en connaissant le coupable ou du moins en ayant une intuition sur son identité. Il avait appris avec l'expérience que souvent la première impression est la bonne et qu'il faut se fiez à son instinct. Bon d'accord, cela était arrivé à Dominic de suivre quelqu'un et de voir qu'en fait, c'était un citoyen, tout ce qu'il y a de plus normal mais en règle général, dans ses enquêtes, cela se passe plutôt bien. Aussi, alors qu'il était tranquillement dans cette épicerie pour acheter une bouteille d'eau, il remarqua un homme à l'attitude bizarre avec son look de beau gosse photographe. D'ailleurs, cela ne l'étonnerait même pas s'il était du genre à faire des promesses aux jeunes filles en leur disant de devenir son modèle, qu'elles étaient faites pour être mannequins pour se retrouver seul avec elles et essayer de les baiser. Autant dire que pour Dominic, ce mec là était pas net et encore plus lorsqu'il fourra un CD dans la pochette de son appareil photo alors que le gérant de la boutique était en train de montrer à une client où se trouvait les œufs au fin fond de la boutique. C'était donc le devoir de Dominic de le surveiller et il remarqua qu'il n'avait pas l'intention de s'arrêter à la caisse où il n'y avait personne et déjà il passait le pas de la porte. Sans plus attendre, Dominic s'approcha de lui et sans aucune douceur, il le plaqua contre le mur, et lui tordit sa main pour la tenir dans son dos et ainsi le maintenir comme cela. Ainsi le voleur n'avait plus aucun moyen de s'enfuir et Spacey remerciait ses heures d'entrainement avant son entrée au FBI. Il approcha sa bouche de l'oreille de l'homme afin de lui montrer qu'il n'avait plus aucune issue.
Dominic - Alors mon grand, on voulait partir sans payer ? Pas de chance pour toi, mais cette fois, ce sera impossible. Allez, rend ce CD que t'as piqué
Les deux hommes étaient à présent sur le trottoir et tout le monde les regardait mais Dominic s'est fichait. Si quelqu'un lui disait quelque chose, il n'aurait qu'à sortir sa plaque pour faire taire tout le monde. De toute façon, il représentait la loi et il se devait d'empêcher les petits malfrats comme cet individu de sévirent dans New York. Atendons de voir ce qu'il allait pouvoir dire pour sa défense.
Sujet: Re: I can not let you do that Mar 21 Juil - 21:43
Il ressentit une vive douleur au poignet, l'homm derrère luio prennant un malin plaisir a le faire soufrir. Qui était le fils de pu** qui se prenait pour superman?! Le plaquant contre lr mur, pour le faire avancer au milieu du trotoir, et l'humilier en puclic, ce qu'il disait e voulait rien dire. Deja mon grand, il allait se calmer, il devait avoir le même age a peu près, alors bon. Et partir sans payer, non mais pour qui il se prenait?! Sohàn commencait vraiment a voir mal, son poignet le lançant de secondes en secondes. Les gens s'arretaient pour regarder ce qu'il se passait, adorant les petits potins de quartiers. Bien entendu, Mick sortit de l'échope, attiré par le bruit que cet imbécile d'agent de mer** faisait!
"Merde lacher moi! Je suis l'un des gérant! Mais...Mick, fais quelque chose! Mick-"Monsieur lachez le, c'est un de mes amis, il paye la moitié de la location pour cette boutique!
La voix du jeune vendeur était claire et précise, et très rapidement, Monsieur muscle lacha le pauvre Sohàn. Bien entendu, s'était toujours à lui qu'arrivait ces conneries. Et quand quelqu'un voulait jouer au super héros, il était toujours la victime. Allez comprendre pourquoi, il a une tête à embrouille le Wellington. Massant son poignet, il se retourna pour regarder Mr.Muscle. Le photographe détestait ce genre d'homme - sportif, qui faisait 12heure de musculation par jour, qui s'amusait a charmer les femmes le soir, pour en rammener une voir deux dans leur le lit le soir, et recommencer ce genre de journée autant de fois qu'ils en avaient envie. le contraire du jeune Wellington. Le genre de "bogosse" qui se croit tout permis, pensant toujours faire bien, même quand il fait des conneries. Sohàn en avait rencontré des gens pas nets, des salaupards, des personnes étranges et complètements tarrées, mais là. Ca dépassait tout ce qu'il avait vu.
"Ca va vous voulez aussi que les gens vous applaudisent pour votre connerie! Que vous soyez flic ou agent de pétaouchnok, vous êtes vraiment con! Demandez avant d'intervenir merde!
Les insultes fusaient a toute vitesse, et si ça continuait Sohàn serait arrêté pour outrage a agent, ou outrage a super zéro, ça dependrait du point de vue.
Sujet: Re: I can not let you do that Mer 22 Juil - 11:10
Bon d'accord, lorsqu'il était adolescent, ce n'était pas rare que Dominic vole quelques bricoles dans des magasins pour remettre à ces "amis" et jamais il ne s'était fait prendre, même si la peur le tenaillait à chaque fois qu'il glissait un CD sous son t-shirt. Mais maintenant qu'il était passé de l'autre côté de la barrière, avec son costume d'homme de loi, alors, il voulait que la paix règne dans tout New York et qu'en plus d'arr^ter des criminels, il fallait aussi s'attaquer à la base, c'est à dire, les petits voleurs de pacotille et le manque de respect chez les jeunes. Parce que franchement, voir un mec d'une trentaine d'années, voler un CD, c'est quelque chose qu'il ne comprenait pas, surtout que vu les fringues du type, il ne devait pas spécialement manqué de thune. Peut-être juste la cupidité ou alors l'envie de se prouver qu'il pouvait se jouer de tout le monde mais il n'avait certainement pas prévu de tomber sur quelqu'un comme Dominic. D'ailleurs, l'homme, voyant qu'il ne pouvait plus bouger, essayait tout de même de se tourner dans tous les sens pour se dégager mais Spacey avait la maîtrise et l'expérience et il ne laisserait pas partir un voleur. Aussi, celui-ci lui répondit, véritablement énervé. Normal, il venait de se faire prendre la main dans le sac.
Sohàn - Merde lâcher moi! Je suis l'un des gérant! Mais...Mick, fais quelque chose!
Oups. Il semblerait qu'il venait de faire une bourde là. Et merde, voilà qu'il allait encore devoir s'excuser, qu'il allait se faire traiter de tout les nom et surtout de justicier sans cervelle mais surtout son intuition n'avait pas été bonne sur ce coup là. Aussi, il s'empressa de lâcher l'inconnu tandis que le gérant arrivait en courant.
Mick - Monsieur lâchez le, c'est un de mes amis, il paye la moitié de la location pour cette boutique! Dominic - Je suis vraiment désolé de ma méprise, je pensais que ... Excusez moi encore Monsieur
Bon, les excuses, c'est fait et maintenant les reproches parce que vu son air vexé et énervé aucun doute qu'il n'allait pas laisser Dominic partir sans lui avoir balancer tout et n'importe quoi à la tête. Qu'importe, le jeune homme en avait l'habitude et il encaisserait sans rien dire. D'ailleurs, il baissa la tête, comme un gamin pris en faute, comme lorsqu'il n'était qu'un enfant et que son père le traitait de bon à rien, disait que c'était un looser. Maintenant Dominic avait bien grandi, bien changé aussi et il avait gagné en confiance. Il se savait imparfait mais il s'aimait comme il est et c'est le plus important. Pourtant, des fois encore, cette manie de se sentir mal à l'aise et fautif ressurgissait en lui.
Sohàn - Ca va vous voulez aussi que les gens vous applaudisent pour votre connerie! Que vous soyez flic ou agent de pétaouchnok, vous êtes vraiment con! Demandez avant d'intervenir merde!
Ouais, ça va mais tout de même, faut pas exagérez non plus. Si étant jeune, Dominic aurait fermé sa gueule et serait monté dans sa chambre alors qu'aujourd'hui, il se rebellait et disait ce qu'il pensait.
Dominic - Ouais, c'est bon là, j'ai dit que j'étais désolé pas besoin d'en faire un caca nerveux. Ok ? Et puis franchement, vous voulez vraiment que je me pointe devant un type et que je lui demande "Oh, je crois que vous venez de voler un CD". autant le laissez partir alors. C'est bon, je savais pas alors pas besoin d'en rajouter.
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