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Etre bon partout, ne veut pas dire que nous sommes les meilleurs.

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MessageSujet: Etre bon partout, ne veut pas dire que nous sommes les meilleurs. Etre bon partout, ne veut pas dire que nous sommes les meilleurs. EmptyMer 8 Mai - 19:18

Etre bon partout, ne veut pas dire que nous sommes les meilleurs. Tumblr_mihf2bzJ4z1rfp0a8o1_500

    Encore une journée de travail. Leroy les enchainaient. Heureusement que les jours de repos lui permettait de dormir et de passer du temps avec son fils. Levé à 7h30, il alla aider son fils à se préparer, puis alla préparer le petit déjeuner. Quand Connor commença à manger, de son côté, il alla prendre une douche et s’habiller. C’était leur rituel du matin. Allant manger à son tour, il fit réciter ses leçons à son fils, avant de filer à l’école. Une fois sur place, il l’embrassa, appréciant le câlin du petit garçon. Le regardant filer vers ses copains, le médecin sourit et remonta en voiture, pour filer au travail. Allant enfiler sa blouse, il salua les personnes qu’il croisait. A son bureau, il regarda les nouveaux dossiers qui étaient là. Encore une jolie pile à traiter. Mais, il mit cela de côté. Aujourd’hui avait lieu l’évaluation des internes. C’était une journée qui risquait d’être haute en couleur. Comme chaque année, les titulaires faisaient des paris sur le meilleur interne. Leroy était amusé par cela. Lui ne jouait pas, mais il aimait bien voir ses internes tout faire pour réussir. Surtout qu’à la clé était donc remplit leur dossiers, pour leurs écoles et surtout, il y avait une opération en solo à la clé. Commençant donc par faire l’appel des troupes, il leur rappela, que ça n’était pas un concours. Même s’ils sentaient la pression et le stress chez ces jeunes gens, il leur expliqua que la moindre erreur leur couterait leur journée. Leroy était doué pour leur mettre la pression, il en avait tellement depuis qu’il était petit, qu’il savait comment en jouer. La matinée débuta avec un interne qui avait en charge un père de famille qui avait besoin d’une greffe. Cet homme n’avait jamais fumé de sa vie et pourtant un de ses poumons avaient besoin d’être remplacé. Ecoutant l’exposé de l’interne, Leroy avait les bras croisés. Lui posant des questions, il finit par lui demander quel était la procédure à utiliser pour l’opération. Seulement, il oublia une étape et l’anglais lui indiqua que l’opération en solo ne serait pas pour lui, mais qu’il devrait s’occuper de ce patient en salle d’opération, comme assistant. Il vit sa mine déçu, mais ne dit rien. Allant de patient en patient, Leroy finit par arriver devant un nouveau patient. Cette fois-ci, une femme. Elle avait eu un accident de la route. Un type ivre lui était rentré dedans et elle était passée dans le par brise alors qu’elle avait sa ceinture. Au cours des examens, on avait repéré un caillot de sang au cerveau, qui avait été réparé par un autre médecin, une semaine avant. Du coup, la jeune femme devait encore être opérée pour autre chose et il fallait être sûr que son cerveau aille bien avant de l’opérer à nouveau. Cherchant du regard son interne, il lui fit signe d’avancer pour prendre la parole.

    Mademoiselle McFersen, que devons-nous faire aujourd’hui comme opération ?

    Après le caillot au cerveau, ils avaient vu que la jeune femme avait deux problèmes majeurs. Des dégâts au niveau du dos. Les disques avaient été touchés et les nerfs ne tiendraient plus longtemps avant de lâcher. Il fallait donc les réparer. Opérer, pour que la jeune femme n’ait plus cette douleur permanente au dos. Faire en sorte que les nerfs soient changés. Puis, il faudrait s’occuper de son épaule. Elle avait été immobilisé, mais en traversant le pare brise, des morceaux de verre s’était enfoncé dans son épaule. Ils n’y avaient pas touchés, parce que ça comprimait l’hémorragie. Du coup, pendant l’opération, il ferait les deux interventions en même temps. Il faudrait donc enlever les bris de verre et vérifier que son épaule était en bonne état, ou alors s’occuper de la réparer également. Croisant les bras, il regarda son interne, pour savoir si elle allait dire tout ce qu’il faudrait ou pas.
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MessageSujet: Re: Etre bon partout, ne veut pas dire que nous sommes les meilleurs. Etre bon partout, ne veut pas dire que nous sommes les meilleurs. EmptyVen 31 Mai - 15:01

être bon partout ne veut pas dire que nous sommes les meilleurs
leroy & belle
Staten Island … Elle connaissait cet endroit comme sa poche, bien mieux que les rues de Manhattan même en y vivant depuis plusieurs années. Staten Island était la partie de New York où elle avait grandi, le lieu où vivaient ses parents et où elle-même vivait en collocation avec trois autres jeunes filles. Staten Island était l’endroit où elle pouvait trouver le calme nécessaire pour se vider la tête et il était clair que ces derniers temps l’Américaine en avait grandement besoin. Elle n’avait pas la moindre idée des choses qu’elle avait pu faire de travers pour mériter cet acharnement du destin sur elle. Loin de se considérer blanche comme neige, elle faisait néanmoins toujours de son mieux pour rester dans le droit chemin d’autant plus depuis la découverte de sa cardiomyopathie seulement certaines habitudes avaient parfois la dent dure ce dont elle n’avait que trop bien conscience dernièrement. Pourtant, elle remontait doucement la pente. Son altercation avec Ethanaël suite à la perte du bébé qu’elle attendait datait déjà de plusieurs mois mais l’Américaine avait l’impression de tout juste commencer à voir le bout du tunnel, la lumière qui la mènerait une vie un peu plus calme, tout du moins elle l’espérait sincèrement. Cependant, sa vie sentimentale lui semblait être bien chaotique. Obsédée par un charmant journaliste, elle était incapable de le faire sortir de sa tête, de penser à autre chose qu’à lui ou au fait qu’elle l’avait découvert en train de filer de l’appartement où elle vivait après avoir passé la nuit non pas dans son lit mais dans celui de l’une de ses colocataires. La pilule refusait de passer.

Elle avait cette découverte au travers de la gorge et la jeune femme se détestait de réagir d’une telle manière à cette situation alors qu’il avait été clair qu’entre Casey et elle rien n’était sérieux mais … le pensait-elle réellement ? Belle avait de plus en plus de doute à ce sujet et les sentiments qu’elle éprouvait envers l’Américain la mettaient hors d’elle en plus de la déconcentrer totalement ces derniers jours. Elle était dans la Lune, il ne fallait pas être un fin psychologue pour s’en rendre compte et l’interne s’agaçait un peu plus chaque jour. Elle avait d’autres chats à fouetter, d’autres préoccupations et pourtant au moindre moment où son cerveau aurait pu se reposer il fallait que ce dernier lui rappelle qu’elle en voulait atrocement à Casey et que tout son être semblait éperdument épris du jeune homme. Incapable de pouvoir regarder Norah en face sans avoir envie de lui en coller une, Belle avait fait le choix de s’installer de nouveau chez ses parents le temps de reprendre ses esprits et surtout pour s’assurer d’avoir son année. Etant en pleine période d’examens, la jeune femme ne pouvait pas se permettre la moindre erreur. Elle était toujours autant à l’essai que lorsque le chef du Lenox Hill Hospital lui avait permis de devenir interne plutôt que d’attendre d’avoir fini son école de médecine – l’avantage d’avoir un mémoire aussi performant que le sien et un bon QI. Elle ne pouvait pas se permettre de manquer un quelconque examen et elle se connaissait assez bien pour savoir qu’en restant dans son appartement elle ne ferait rien d’autre que de penser à Casey ou à la manière d’étriper Norah dans son sommeil. Se retrouver au sein de sa famille était un moyen pour elle de souffler mais également de trouver le soutien dont elle avait besoin.

Piper régulièrement sur son dos, c’était la première fois depuis longtemps que la cadette des McFersen appréciait la présence presque étouffante de sa mère et qu’elle en redemandait choquant parfois l’un de ses frères lorsqu’il passait chez leurs parents. Ce matin-là, seule Piper se trouvait avec sa fille, toutes les deux dans la cuisine. La bonne odeur des pancakes se répandait dans la pièce tandis que l’interne enfournait une cuillère de céréales dans sa bouche le regard posé sur l’un de ses livres de médecine afin d’imprimer le maximum d’informations avant d’affronter la journée la plus difficile de l‘année. « Tu es certaine de ne pas en vouloir ? Belle il faut que tu manges ! » Levant les yeux vers sa mère, un petit sourire se dessina au coin de ses lèvres tandis qu’elle secouait la tête en signe de dénégation. « Ça va aller, de toute manière je suis trop stressée pour avaler quoi que ce soit … Je mangerais à l’hôpital parce que je dois filer, je vais être en retard. » Sur ces mots elle bondit du tabouret sur lequel elle avait pris place, rangea son bol et sa cuillère dans le lave-vaisselle puis après avoir déposé un furtif baiser sur la joue de sa mère elle attrapa ses livres ainsi que son sac et fila à toute vitesse. Une fois arrivée à l’hôpital, Belle s’empressa d’enfiler sa tenue réglementaire ainsi que sa blouse avant de se précipiter vers le tableau qui lui annoncerait quel titulaire allait l’évaluer pour la journée. « Tu es avec le Dr Windsor McFersen ! » Elle n’aimait pas du tout le ton employé par le résident qui venait de s’adresser à elle et, immédiatement, un nœud se créa dans son estomac bien qu’elle ne laissa rien voir et s’empressa de rejoindre le reste du groupe d’internes donc le docteur Windsor se chargeait, bloc-notes en main.

Attentive au premier cas qui leur fut présenté, Belle grimaça quelque peu lorsque l’un d’entre eux oublia une information cruciale, se voyant ainsi perdre la chance d’opérer en solo. « Mademoiselle McFersen, que devons-nous faire aujourd’hui comme opération ? » Tous les regards braqués sur elle, Belle releva le nez de son bloc et posa les yeux sur son titulaire l’espace de quelques secondes avant de se concentrer sur le cas dont il était question. « Double intervention. » Lança-t-elle en faisant un pas en avant, son regard voyageant entre la patiente et le dossier de cette dernière qu’elle tenait à présent entre ses mains. « Elle doit subir une réparation nerveuse au plus vite, c’est déjà douloureux comme ça si ses nerfs lâchent ça sera encore pire. Il faut également lui ôter ce morceau de verre par la même occasion en surveillant de près l’hémorragie qui est comprimée. » Son regard se posa plus longtemps sur la patiente, une petite moue se dessinant sur son visage. « Son épaule aura sans doute subit quelques dégâts au cours de l’accident, il faudra s’assurer qu’elle est encore en bon état et dans le cas contraire la réparer aussi … après quoi elle sera bien plus stable pour tenter d’ôter le caillot de sang au cerveau. » Belle vérifia une dernière fois le dossier de la patiente afin de s’assurer qu’elle n’avait rien oublié puis leva les yeux vers son titulaire, le cœur battant à tout rompre dans sa cage thoracique. Elle venait de faire de son mieux pour analyser la situation de la patiente afin d’aller au plus urgent autant pour le bien-être de la patiente que pour s’assurer de pouvoir l’opérer correctement toutefois elle n’était pas surhumaine et rien ne lui garantissait qu’elle ait passé le test haut la main.
Pardon pour le temps de réponse Etre bon partout, ne veut pas dire que nous sommes les meilleurs. 1656269883
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MessageSujet: Re: Etre bon partout, ne veut pas dire que nous sommes les meilleurs. Etre bon partout, ne veut pas dire que nous sommes les meilleurs. EmptyJeu 6 Juin - 22:03

Etre bon partout, ne veut pas dire que nous sommes les meilleurs. Tumblr_mihf2bzJ4z1rfp0a8o1_500

    L’opération en solo était quelque chose de très attendu pour tout le monde. Non seulement pour les internes qui voulaient à tout prit venir dans un bloc et être la personne qui se charge de tout. Mais également pour les titulaires, qui voyaient alors si cet interne était bon pour son service ou pas. Amenant ses internes dans son service, il commença d’abord par leur faire un petit mot pour leur expliquer la journée. Finalement, le premier patient fut mit en ligne de mire et l’interne qui s’occupait de lui oublia un détail important. Il fut donc recalé pour l’opération en solo. Ce fut finalement le tour d’une interne prometteuse et il attendit de savoir ce qu’elle avait à dire sur son patient. Croisant les bras, Leroy fronça les sourcils, tout en écoutant la jeune femme expliquer les deux procédures à effectuer sur le patient. Premier point sur les deux interventions. Puis, Belle donna les bonnes étapes, mais surtout, dans le bon ordre. Quand cette dernière vérifia ses notes, pour finalement montrer qu’elle avait finit, Leroy décroisa les bras et attrapa un stylo qui était dans la poche de sa blouse et nota un trait à côté du nom de Belle.

    L’opération en solo est pour vous, pour le moment.

    Remettant son stylo dans sa poche de blouse, il esquissa un sourire en regardant la jeune femme et il passa finalement au patient suivant. Chaque interne eut son moment et il n’en restait plus que cinq qui n’avaient pas fait d’erreur. Se retrouvant dans une salle, Leroy cita donc les noms des internes qui allaient devoir être départagés désormais et le nom de Belle en faisait partit.

    Vos patients sont entre de bonnes mains avec vous, mais maintenant, vient la phase des questions. Vous êtes cinq, vous aurez une question chacun et jusqu’à la fin, il ne doit en rester qu’un ou une.

    Une question pour chaque participant. Commençant par une fille, cette dernière répondit parfaitement. Pour les trois garçons suivants, deux répondirent à côté. Vint alors le tour de Belle.

    Comment répare-t-on une fracture du talon d’Achille ?

    Ca n’était pas une question facile. Si les fragments ne se sont pas déplacés, il est possible de réduire la fracture en remettant les os bout-à-bout pour rétablir l'anatomie normale de l'articulation. Il faut ensuite la maintenir avec un plâtre jusqu'à la consolidation du calcanéum. Par contre, quand les os se sont déplacés, il faut poser des broches. Là, il n’y a pas le choix. Il faut alors faire ce que l'on appelle une ostéosynthèse. Il faut ensuite que le patient garde le pied surélevé pour qu’il n’y ait pas un œdème. Si elle avait bon, il faudrait poser une question à nouveau pour les deux autres, plus la jeune femme.

    Si tu réponds bien, vous devrez me dire dans quel domaine vous êtes moins bons pour l’instant en médecine.

    Ca serait donc une question à ce sujet justement. Il savait que ça allait en crisper, mais c’était une bonne façon de les tester également.
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Etre bon partout, ne veut pas dire que nous sommes les meilleurs.

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