It's New York City bitches ! And it's my motherfucking dream
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So unbelievable | Ever |

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MessageSujet: So unbelievable | Ever | So unbelievable | Ever | EmptyMar 8 Sep - 17:11

So unbelievable | Ever | Adrianne-adrianne-palicki-2928006-100-100So unbelievable | Ever | Taylor-L-3-taylor-lautner-7969926-100-100
E V E R L E I G H & & K O S T O S




    New York en début de nuit ne désemplissait pas de monde. Au contraire, les rues étaient pleines de badauds et d'oiseaux de nuit. Les rues étaient remplies de jeunes et de moins jeunes qui buvaient des bouteilles qu'ils se partageaient en petit groupe et qui fumaient devant des boutiques ouvertes 24 heure sur 24. Bien sûr, ceux qui commençaient plus tôt leurs soirées se réunissaient dans un fast-food bien gras afin de désaouler quelque peu. De fort jeunes adolescents tanguaient plus que marchaient et passaient leur temps à rigoler et glousser pour un rien, l'alcool leur faisant plus d'effet qu'aux habituels sorteurs. Kostos regardait cette joie enivrante avec du recul. Il était jeune, oui, mais il avait commencé à sortir très tôt, il avait dépassé le stade où avec deux bières le monde devenait beau. Il lui en fallait plus que ça, toutefois, il regardait la scène avec amusement, se rappelant ses débuts dans le "monde de la débauche" comme aurait sans doute dit sa mère. Il roula des yeux à cette pensée et sortit une cigarette afin de chasser toute pensée de sa génitrice.

    Ce soir, il avait été dans un café avec Akshan, Kenny, Conan, Palmyr, Sky, Céleste, Conney et tous les autres. Et comme d'habitude depuis quelques soirs, il les avait quittés à 1 heure du matin. Akshan avait râlé et Kostos lui avait ébouriffé les cheveux en lui faisant un clin d'oeil. L'indien lui avait lancé un regard noir et avait fait mine de bouder contre le grecque mais Kostos ne s’en faisait pas, il savait pertinemment que d’ici demain matin tout serait oublié. Leur relation était étrange, c’était comme des meilleurs amis, ils étaient toujours fourrés ensemble, ils allaient à toutes les soirées ensemble et se téléphonaient assez souvent pour savoir comment la soirée de l’un ou de l’autre avait fini. Par contre, pour tous les sujets plus intimes, ils préféraient éviter quelque peu toute discussion, leur amitié était bien trop fragile et pouvait rapidement basculer, vers où me direz-vous ? Là était le problème : haine ou amitié plus profonde. Donc, mieux valait rester sur cette corde précaire plutôt que de tenter l’impossible et de risquer de tout gâcher ! Kostos avait serré chacune de ses amies dans ses bras. Il était fort câlin, mais il savait que rien n’irait au-delà et qu’elles n’allaient pas s’imaginer des films. Kostos savait tout à fait distinguer la ligne entre amitié et attirance, et ses amies étaient comme intouchables pour lui, les imaginer comme des « proies » aurait eu un arrière-goût amer dans sa bouche, elles étaient comme des sœurs qu’il surveillait et qu’il protégeait, pas des filles sur lesquelles il fantasmait.

    Enfin, de toute façon, Kostos avait une attirance pour les femmes à fort caractère et ils trouvaient ses amies fragiles et douces. Le jeune Prokopios préférait les femmes ayant ce truc, ce magnétisme étonnant qui captivait, celles qui savaient jouer de leurs atouts sans pour autant paraître vulgaires, celles qui avaient ce sourire en coin permanent qui donnait des bouffées de chaleur. Leurs yeux étaient une façon assez simple de lire dans leurs esprits, de comprendre leurs envies et Kostos aimait se perdre dans les yeux des jolies filles. Surtout qu’avec lui, elles étaient relativement réticentes, ça se voyait qu’il était jeune, son physique attestait de sa jeunesse, mais à force de draguer, il savait comment formuler les phrases, comment les faire hésiter et le doute qu’il voyait dans leur yeux lui prodiguait un réel plaisir, elles hésitaient à suivre leurs envies ou leurs consciences, et ce combat intérieure brillait dans leurs yeux, miroir de leurs âmes. En général, elles cédaient, mais refusaient d’admettre ce qu’elles venaient de commettre, du coup, elles se réveillaient souvent avant lui pour partir en catimini et Kostos ne les revoyaient plus, et quand il les croisait en soirée, elles l’ignoraient superbement. En réalité, il aurait pu être affecté par leurs comportements s’il n’avait pas Shabella avec lui.

    Pour en revenir à ses départs à 1 heure du matin, le leitmotiv était le même qu’à chaque fois : une femme. Pas n’importe quelle femme, une plus belle et désirable que toutes les autres. Il tentait de la charmer depuis plus d’un mois, il ne la harcelait pas non plus, ce n’était pas son genre, mais il lui faisait des compliments sincères et tentait de la faire rire, qu’elle le remarque, cette fille était une bombe, les courbes de son corps, la finesse de son visage, son sourire en coin, son air détaché, son côté libre et instable le rendait accro. Il avait le besoin de la voir, même si c’était pour se faire remballer. Parce que oui, Everleigh le remballait, certains jours plus brusquement que d’autres, certaines fois sans aucun tact mais il ne baissait pas les bras, ce n’était pas son genre. Il ne cherchait pas non plus tout le temps à lui plaire, il l’énervait quelques fois avec un malin plaisir. Il l’observait adossé au bar sans lui parler, juste en buvant son verre et sans rien faire d’autre que la regarder… et évidemment, Ever’ avec son caractère de cochon le fusillait du regard et finissait toujours par craquer et lui balançait la première chose qui lui passait sous la main… et des fois, ça faisait mal. Un briquet dans l’oeil n’était pas agréable à recevoir. De cet épisode, Kostos en avait gardé un bon souvenir pourtant, puisque après son service, Ever’ était venu lui soigner l’œil et ils s’étaient retrouvés dans une position qui n’avait pas laissé le jeune grecque insensible… en plus, après, Kostos avait pu raccompagner la jolie blonde chez elle, pour la « protéger » avait dit le brun alors que s’il devait la protéger de quelque chose, s’était d’abord de ses envies à lui !

    Enfin, Kostos arriva rapidement au bar où travaillait Ever’, il salua le vigile et rentra dans le bar bondé de gens. Il salua quelques personnes qu’il connaissait de vue et fut bousculé par un type un peu saoul qui lui mouilla sa blouse blanche de bière. Le jeune grec fit un sourire crispé et serra les poings afin de ne pas s’énerver.

      Bourré : Dégage gamin ! Enfin’, tu vois James, la blondasse du bar, j’suis sûr que j’lui plais ! Rha, elle est trop bonne, j’te jure que ce soir je vais la faire crier celle-là.


    Kostos lança un regard noir à l’autre type, il l’aimait pas, au moins, ça c’était clair. De un, il venait de le traiter de gamin, de deux, à force de venir dans ce bar, Kostos connaissait toutes les filles du bar, et il savait qu’Ever’ était la seule blonde et le jeune homme supportait mal qu’on parle de manières vulgaires de gens qu’il appréciait. Toutefois, le jeune Prokopios détestait encore plus les gens qui se bagarraient, Kostos était un peu pacifiste, il n’utilisait jamais les poings alors qu’il s’était forgé un corps assez athlétique, mais bon, c’était surtout dans le but de plaire, pas spécialement d’écraser les premiers idiots qui passaient. Pour eux, le jeune homme préférait rusé plutôt que de les attaquer de front.

      Kostos : Franchement, si j’étais toi, j’oublierais l’idée gars. T’as aucune chance ! Elle sort avec un gars super balaise qui vient tout juste de sortir de prison… enfin, j’dis ça en pensant à toi, un conseil d’amis…
      Bourré : Arrête de mentir gamin ! Comme si j’allais te croire ! J’te connais pas, si ça se met, t’es un mythomane !
      Kostos : Qu’est-ce qui pourrait te prouver ma bonne foi ? Parce que sincèrement gars, moi j’ai rien à gagner dans cette histoire.

    Le copain du mec bourré (qui était dans le même état d’ébriété) se mit à ricaner et pouffa de rire dans l’oreille de son ami pas très poli. Un sourire ravi et pervers se dessina sur leurs deux visages et ils regardèrent Kostos comme si c’était un morceau de viande. Le jeune homme s’éloigna prudemment tout en fronçant les sourcils.

      Bourré : Si tu nous fais un Strip-Tease, je veux bien te croire.

    Kostos rigola jaune et en voyant le regard sérieux du pauvre type, il comprit que c’était sérieux… Kostos ferma les yeux et prit une grande inspiration, c’était pour Ever’, il pouvait faire un petit (gros) effort après tout. Puis, il était sûr de ne pas être le seul à avoir fait ça, des bourrés devaient bien l’avoir fait avant lui ! N’importe qui… puis il se rappela Pete’ et Nicky, ses mentors, fous et dérangés comme ils étaient, ils devaient bien l’avoir fait, soit pour le fun, soit pour un pari, mais Kostos en était sûr, du moins, il essayait de s’en convaincre. A ce moment, il vit un serveur passer avec un plateau plein d’alcools forts et Kostos vola un verre qu’il but cul sec. C’était pour le courage… il monta alors sur une table et il se mit à bouger en rythme avec la musique avant de commencer à déboutonner les premiers boutons de sa chemise, il était rouge de honte mais avec les lumières tamisées, personne ne devait le voir. Au début, Kostos était un peu raide, puis petit à petit, il se concentra tellement sur la musique que le reste et ce qu’il était entrain de faire ne le choqua même plus. Il entendit alors un cri et une fille un peu saoule lui donna un billet, Kostos ricana et il prit le billet tout un faisant un clin d’œil à la fille, il gagna de plus en plus en assurance alors qu’il faisait bouger son bassin d’avant en arrière, sa chemise était désormais totalement ouverte. Il se mit à déboutonner les boutons de son jean, il écarquilla les yeux en voyant qu’une petite foule de filles s’était rassemblée autour de lui et n’hésitait pas à sortir des billets, les plus audacieuses allant jusqu’à les lui mettre dans son boxer à présent voyant. Kostos rigola et n’hésita plus à se laisser aller alors que des mains venaient toucher son torse, le jeune homme fit un mouvement circulaire du bassin avant de commencer à descendre en rythme son jean, il avait l’impression d’être le centre de la salle tout d’un coup, une fille lui tendit un verre et Kostos le bu cul sec tout en continuant de danser. Il se retrouva finalement juste en boxer quand la chanson prit fin et il fit une légère révérence avant de saluer le léger attroupement qui s’était fait autour de la table sur laquelle il était montée pour faire son strip-tease. Il remit son jean rapidement, les deux bourrés qui lui avaient lancé le défi lui tapotèrent l’épaule avant de partir en titubant vers la sortie. Kostos pu enfin se diriger vers le bar, sa chemise n’était pas bien rattaché mais il s’en fichait un peu à présent, il fit un sourire ravi en voyant Ever’, elle le regarda tout en secouant la tête avec un sourire amusé sur les lèvres.

      Kostos : Ever’ chérie, j’ai besoin d’un remontant ! Le truc le plus fort que tu aies, j’ai envie d’oublier ce que je viens de faire…

    Le jeune Prokopios sortit les billets qu’on lui avait si gentiment offerts et les déposa tout fier sur le comptoir. Une fille passa à ce moment-là derrière-lui et lui donna sa carte avec son numéro inscrit dessus, Kostos se mordit nerveusement les lèvres avant de fourrer le carte de cette parfaite inconnue blonde dans la poche de son jean et de retourner son attention sur Ever’ l’air légèrement mal à l’aise, il se demandait si elle avait vu… Sans doute, mais il aurait aimé en être certain. Surtout qu’il ne savait pas trop quoi lui dire maintenant.
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