Madison ne comprenait pas trop ce qui se passait, son papa l'avait réveillé durant la nuit pour dire que sa maman avait eu un accident, le petit avait poser plein de questions, mais encore endormit, il ne posa pas tout les questions qu'il aurait souhaité poser. Son papa l'avait amener à l'hôpital, mais comme sa mère était au soin intensif, il n'avait pas pu la voir et ils étaient pris à attendre dans le couloir. Installé dans les bras de son papa, il ne voulait pas quitter les bras de son père effrayé à l'idée qu'il arrive aussi quelque chose à son papa. Trop fatigué, il avait fini par se rendormir dans les bras de son papa qui attendait dans le couloir pour pouvoir entrer dans la chambre. Dormant dans ses bras depuis près de deux heures, le petit commença à bouger un peu et se frotta les yeux et releva la tête vers son papa qui avait l'air inquiet, le petit reconnaissait ce visage qu'il avait vu quand il était à l'hôpital avant son opération et c'était loin de le rassurer. « Papa ? » Le petit attendit que son papa le regard pour lui demander très inquiet. « Maman elle va bien? J'peux aller la voir? Est-ce qu'elle s'est fait bobo ? » Sa reste un enfant, il n'a pas non plus la même façon de s'exprimer qu'un adulte, mais reste qu'il était très inquiet et il avait peur que sa maman parte au ciel, qu'elle ne puisse plus jamais le serrer dans ses bras. L'enfant appuya sa tête contre son papa et sentit les larmes monter à ses yeux alors qu'il était inquiet pour sa maman. L'hôpital n'était pas non plus un endroit où il n'avait que des bons souvenirs… il a passé les premières année de sa vie à passer du temps à l'hôpital pour ses problèmes de santé. Il allait bien maintenant, mais rien ne voulait dire que plus jamais il n'allait avoir de problème… mais sûrement rien d'aussi grave, peut-être un bras ou une jambe cassé, mais pas une transplantation d'un organe vitale qui demandait la mort d'un autre enfant…

L'enfant avec eut très peur en voyant sa mère dans la chambre d'hôpital, sur ce lit endormie, en mauvais état. Son père l'aida en faisant des comparaisons entre son opération et ce qui arrivait à sa maman ce qui aidait l'enfant à mieux comprendre ce qui se passait. Les paroles de son père le rassuraient, même s'il pouvait sentir que son père aussi était inquiet. Les enfants sont bons pour ça, savoir quand les autres leur cache quelque chose où encore quand il sont inquiet. Il hocha la tête tout simplement et préférait ne pas en parler plus longtemps, préférant demander à celui-ci après lui avoir tendu les bras afin qu'il le prenne s'il pensait que sa maman serait content que Madison lui fasse des dessins et il lui répondit qu'il était sur qu'elle serait content même plus que content alors l'enfant répondit : « Ok! Je vais lui faire plein de dessins alors ! » Puis il lui demanda quelque chose qu'il l'inquiétait, il avait peur de se retrouver seul donc il lui demanda s'il pouvait dormir avec lui cette nuit et son père accepta. « Oui je veux rester avec toi… je veux pas être tout seul. » Madison lui fis un petit sourire et se serra contre lui alors que son papa le berçait doucement, le petit était en train de fermer les yeux épuisé par les émotions et ce que son père faisait soit le bercer. Il fini d'ailleurs par s'endormir dans les bras de son père, qui pu l'installer à l'arrière de la voiture afin de rentrer à la maison. Le petit dormait en ce moment, mais les heures de sommeil allait sûrement être réduite à cause de ce qui était arrivé à sa maman, il était normal après tout qu'il soit inquiet, ça va être la première fois qu'il est séparé aussi longtemps de sa maman, oui il passe un semaine sur deux avec son père, mais là ça allait faire plus qu'une semaine qu'il est loin de sa maman et la voir ainsi à l'hôpital branché à des machines lui faisait peur. Même si lui aussi a été branché à des machines, ce n'est pas la même chose, il savait comment il se sentait, mais il n'est pas dans la tête de sa maman, donc il ne sait pas comment elle se sent.

Il lui avait demandé à dormir avec lui afin de ne pas être seul et il lui répondit qu'il n'avait pas à s'inquiéter, qu'il allait tout faire pour qu'il ne soit pas seul, pour être tout seul avec lui. « Merci papa… » L'enfant lui fit un petit sourire, alors qu'il fini par s'endormir dans les bras de son papa, épuisé par sa journée horrible, voir sa mère ainsi, ne pas savoir ce qui allait arriver, il aimerait bien être sur que sa mère allait se réveiller, mais il pouvait être sur de rien. Il dormait dans les bras de son papa et il se rendis même pas compte que son père l'avais mis dans la voiture et l'avait amener à la maison ni même quand il l'avait pris pour le déposer sur le canapé du salon. C'est seulement une trentaine de minutes plus tard que celui-ci ouvrir les yeux et se frotta les yeux et ne voyant pas son papa et cherchant à comprendre comment il était rendu ici, avec tout ça il était un peu perdu. Il se leva et dit : « Papa ? » Il l'entendit dans la cuisine et courra le rejoindre et alla se serrer à lui et lui demanda : « C'est quoi tu fais ? Ça sent bon ? C'est prêt bientôt ? J'ai faim là ! » Le petit garçon fit un petit sourire alors qu'il se mis sur la pointe des pieds pour tenter de voir sur le comptoir et voir ce que son papa faisait, mais bon il était petit et ne voyait pas tout ce qu'il pouvait faire. Il décida d'aider un peu son pas et alla chercher les ustensiles afin de les mettre sur la table. Puis il demanda à son papa : « Papa je peux avoir du jus avec le dîner? » Il lui fit un sourire et il ajouta en voulant se changer les idées : « On peut regarder un film après manger? Et après avant dodo je vais pouvoir faire dessins pour maman… je sais pas quoi lui dessiner… » Le petit se frotta les yeux et se mis à pleurer en pensant à sa maman alors qu'il était si triste, il avait si peur de la perdre sa maman, il se frotta les yeux, mais n'arrivait pas à arrêter de pleurer alors qu'il pensait à sa maman, il avait l'impression qu'elle n'allait pas bien, la fatigue ne devait pas aider non plus.

Madison avait eu un petit sourire quand son papa lui avait donner un rapide baiser sur le dessus du crâne et s'était ensuite endormit dans les bras de son papa, il était en sécurité dans ses bras, c'était donc parfait à ses yeux de se retrouver là. Une fois à la maison, le petit garçon dormit un moment sur le canapé pour se réveillé et appeler son papa inquiet de ne pas le voir. Il fut rassurer quand il l'entendit lui dire qu'il était dans la cuisine et l'enfant courra rejoindre son papa rapidement pour voir ce qu'il faisait et remarqua tout de suite la bonne odeur qu'il régnait dans la cuisine. Il se mis sur la pointe des pieds pour tenter de voir et son papa le pris ce qui fit rire un peu l'enfant et fut installé dans la chaise haute. Il regardait ce que son papa faisait, des lasagnes, il adorait. « Oh miammm mon repas préféré !! » Il le regardait faire du haut de sa chaise haute et demanda s'il pouvait avoir du jus et son papa lui dit oui, en lui demandant à quoi il voulait son jus et s'il voulait qu'il lui en fasse un comme c'était meilleur que le jus qu'il achetait. « Ohhh oui tu peux m'en faire un ! euhhh aux pommes et raisins c'est possible ? J'peux t'aider à le faire ? Sinon juste aux raisins ou aux pommes, j'aime tous les fruits moi ! » C'est vrai que niveau nourriture le petit garçon n'était vraiment pas difficile, il mangeait de tout, même les légumes il y en avait très peu qu'il aimait pas et même encore souvent il les mangeait en même temps qu'autre chose pour pas gouter ce qu'il aimait pas ou du moins, le gouter un peu moins. Il se plaignait presque jamais, c'était pas dans sa nature, puis il demanda si avant d'aller se coucher il pourrait faire des dessins, mais surtout si avant il pourrait regarder un film, son papa accepta et lui demanda quel film il voulait regarder qu'il avait tout les nouveaux dessins animés. Le petit réfléchis et répondis : « On peut piger au hasard? De toute façon je veux tous les voir, mais pas d'un coup hein ! » Mady eu un petit sourire et regarda son papa alors qu'il mettait le plat au four : « Quand je vais être plus grand, papa, tu vas me montrer comment on fait des lasagnes? »

« Super ! » Il lui avait demandé pour l'aider et celui-ci lui demanda d'écosser les raisins. Il pris la grappe de raisin et répondit : « Oui je peux ! » C'est donc ce qu'il fit, il commençait à retirer tous les raisins de la tige que lui avait donné son papa alors il mettait les raisins prêt dans un bol alors que son papa coupait les pommes, tout en faisant ça le petit proposa de faire une pige, de choisir au hasard, il hocha la tête pour dire qu'il était d'accord ce qui fit sourire l'enfant, il était content. Puis il lui demanda si plus vieux il pourrait lui apprendre à cuisiner des lasagnes, le petit aimait apprendre tout, donc cuisiner était quelque chose qui l'intéressais surtout qu'il adorait se plat. Quand son père accepta il répondit un petit : « Cool ! » C'est sur qu'en ce moment il était beaucoup trop jeune, tenir un couteau coupant – il pouvait quand même utilisé les couteau à beurre c'est couteau qui ne coupe pratiquement pas qui sont plutôt utilisé pour tartiner du pain ou tout autre ingrédient et approcher du four il en était hors de question, ses parents lui avait bien dit, s'il pouvait s'en approcher c'était qu'il était dans les bras de son papa ou de sa maman pour verser par exemple de la pâte à crêpe dans la poêle. Enfin bref, il terminait de préparer les raisins et donna le bol à son papa. « Voilà les raisins papa, j'ai fini ! » Il était content d'avoir pu aider son père. Il le regarda faire se redressant un peu sur sa chaise haute, mais il faisait attention pour ne pas tomber en bas de celle-ci, ce qui serait vraiment désagréable ! Il se ferait très mal, mais il était bien installé pour pas tomber et il eu un sourire en regardant faire son papa, les fruits qui disparaissais pour donner un liquide coloré et délicieux. Son papa lui donna un verre en l'appelant monsieur ce qui fit rire le petit bout. « Merciii » Puis il pris une gorgée de son jus et fis un grand sourire : « Il est super bon!! C'est pas compliqué à faire du jus, pensais que c'était plus compliqué. » L'enfant repris une gorgée de son grand verre de jus, c'était très bon, il demanda ensuite à son papa : « C'est prêt quand la lasagne? On fait quoi en attendant ? » Il continuai de boire son verre de jus, mais pas toute il voulais qu'il en reste pour quand il allait manger la lasagne.

Madison venait de voir à quel point c'était facile de faire du jus, il hocha la tête aux paroles de son papa et lui adressa un sourire : « Ouii super simple ! Pourquoi on en achète ? C'est super simple d'en faire et meilleur… » Il ne comprenait pas pourquoi on en achetait puisque justement c'était moins bon et pleins de produits qui n'était pas nécessairement bon pour la santé et qui nuisait au goût. Enfin bref, celui-ci demanda ensuit dans combien de temps le repas allait être prêt et son papa lui répondis qu'il serait prêt dans une dizaine de minutes. Le petit hocha la tête et comme son papa savait pas ce qu'il pouvait faire et lui retourna la question, l'enfant réfléchi à une idée, puis il lui demanda s'il pouvait l'aider à descendre de la chaise haute comme elle était trop haute pour qu'il descende ou monde dessus tout seul. Il partit en courant dans sa chambre et revint avec un jeux de cartes et proposa : « On peut jouer aux cartes ? On peut jouer à la bataille ? » C'était un jeu rapide, ils auraient donc le temps de jouer en attendant que la lasagne soit prête et c'était rapide à ranger. C'était sa maman qui lui avait appris à jouer, il eut un petit moment de tristesse en pensant à sa maman, il devait penser à autre chose, il s'installa donc à table pour jouer avec son papa le laissant mélanger les cartes parce que lui il n'était pas très doué, il risquait plus de faire tomber la majorité des cartes sur la table en tentant de les mélanges ou par terre.

Le petit garçon lui avait demandé pourquoi on ne faisait pas toujours le jus maison, parce que ça demandait quand même plus de temps et que fallait acheter des fruits en fonction des saisons aussi pour qu'ils soient meilleurs. Le petit garçon lui répondit : « Ohh d'accord, mais pourquoi faut acheter en fonction des saisons, les pommes sont pas toujours bonnes ? » Il ne comprenait pas pourquoi les pommes, par exemple, pouvait être moins bonne à certains moment de l'année. Puis ils ont parlé de ce qu'ils allaient faire et son papa lui demanda ce qu'il voulait faire. Quand il eut une idée, il demanda poliment à son papa de descendre de la chaise haute et courra dans sa chambre pour aller chercher les cartes et revenir en proposant de jouer à la bataille. Il s'installa à table avec son papa et lui donna les cartes pour qu'il les mélange et les distribue. Il lui avait demandé s'il connaissait les règles du jeune et l'enfant hocha la tête : « Oui maman m'a appris! Faut mettre nos cartes en même temps sur la table et la plus forte gagne et quand y'a a deux pareilles c'est une bataille ! Et quand on remet la même carte du début et la personne gagne la bataille. C'est ça ? » (hj: je sais pas si c'est comme ça vous jouer vous et j'ai pas jouer depuis un moment)

 

Le jus avait impressionner Madison qui avait l'habitude de boire ceux du commerce, donc il avait demandé pourquoi les fruits n'étaient pas toujours aussi bon toute l'année et celui-ci lui expliqua que c'était en fonction de l'exposition au soleil et pour l'aider à comprendre il demande s'il voyait le pommier dans le jardin le petit hocha la tête et continua d'écouter celui-ci qui lui disait que c'était lui qui décidait quand les pommes était bonne que tant que les pommes ne tombait pas elle n'était pas mure et donc pas bonnes. « Ohh d'accord et là les pommes sont bonnes? C'est la saison des pommes ? » Il avait pas porter attention au pommier dernièrement, donc il ne savait pas si c'était le temps des pommes ou pas. Puis une fois le jeu de carte en main il demanda pour jouer à la bataille et le petit lui dis qu'il savait jouer, lui expliquant comment on jouait puis comme son papa affirma que c'était ça, il pouvait commencer à jouer. Le petit eu un sourire et retourna une carte lui aussi et cette fois ce fut son papa qui gagna, mais la prochaine se fut lui ce qui le fis sourire. Il aimait beaucoup faire des choses avec son père, peut importe ce que c'était.