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Put your lips close to mine as long as they don't touch ℛ Luis

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MessageSujet: Put your lips close to mine as long as they don't touch ℛ Luis Put your lips close to mine as long as they don't touch ℛ Luis EmptyVen 26 Avr - 2:12





Tags : #Rosalie #Luis #Rain #Esmeralda #Holiday #OTP
When : March 2013, during vacation. ( rp#8 )
Where : Felicity & Pedro's island.
Mood : Moody and broody.
Weather : Sunny and humid.
Note : Shalalalala..

Put your lips close to mine
as long as they don't touch
Elle c’était levé de mauvaise humeur aujourd’hui, du coup elle avait réveiller Meeko un peu trop sec au gout de la princesse et la petite avait fait des siennes toute l’avant-midi. Il n’était pas treize heures et déjà elle avait hâte que sa nièce aille dormir. Cette idée de l’avoir trainé avec elle pendant ses vacances aussi… Avec la peste dans ses pattes, son humeur avait continué à s’assombrir chaque heure finalement elle avait décider de rester dans la maison, après diné, histoire de mettre un peu d’ordres dans les affaires de tout le monde, prétextant vouloir éviter le stress demain. Elle n’avait pas beaucoup avancé cependant, à la place, elle tournait en rond dans sa chambre et bougeaient des trucs de bord en bord de la pièce, avant de les replacer exactement à l’endroit où elle les avait pris un instant plutôt. Elle savait que blâmer sa feuille était injuste quand même, elle s’était levée avec un nœud au ventre et c’était tout simplement plus facile de passer ses nerfs sur la gamine que d’en faire quelques choses. Enfin, c’était sois ça, ou bien elle allongeait les vacances d’une semaine. Et bon, ce n’était pas vraiment possible… Enfin, pas littéralement. (Elle pouvait toujours prié pour une petite tempête tropicale qui mettrait du délai dans leurs départs, mais elle n’était pas sur que Thor reçoive les demandes directement du Sud de l’Afrique. Mais elle n’avait pas envie de rentrer, rentrer ça voudrait dire le retour à la routine, un printemps incertain de New York, aux urgences pleines de gens paranoïaques, à ses parents sur son dos… À tout le monde, qui se mettait à parler de bébé et de relation plus ou moins stables en même temps et qui la terrifiait. (Non parce que si on ne pouvait même pus se fier à sa propre sœur pour lui remettre des vêtements sans vomis dessus ? Ou bien son double qui n’était plus vraiment son double maintenant qu’elle était obèse…). Revenir à New York voudrait dire retourner à sa vie normale et dormir dans son grand lit tout seul tous les soirs de la semaine, voir Luis qu’une fois par semaine et … S’ennuier de lui le reste du temps ? ? Est-ce que c’était vraiment le genre de fille qu’elle était devenue ? Parce qu’elle n’en avait pas du tout envie tiens. Elle donna un coup de pied sur l’une de ses chaussures qui vola à travers la pièce. Voilà, maintenant elle était devenue un paria et avait trahi les chaussures en plus. Elle avait définitivement plus de contrôle sur sa vie. Elle traversa la pièce et alla ramasser le pauvre accessoire qui n’avait rien demandé. En se penchant, son regard tomba sur un jouet des filles et elle le ramassa aussi…Insi de suite, jusqu’à ce qu’elle se retrouve sur la terrasse avec une belle pille d’objet pêle-mêle dans les bras. Elle laissa tomber le tout bruyamment sur la table. « Je vais enterrer ça un peu partout dans le sable et vous vous débrouillerez pour les retrouver, parce que vraiment, je n’ai pas l’intention de passer derrière vous et ramasser toutes vos affaires. » Elle baissa les yeux vers les objets et se rendit compte qu’elle n’en avait rien à faire en vrai, elle ne blâmait pas les fillettes ou bien Luis, elle n’avait juste vraiment pas envie de partir et elle voulait que tout le monde soit aussi misérable qu’elle.


Dernière édition par Rosalie De La Vega le Sam 8 Juin - 15:11, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Put your lips close to mine as long as they don't touch ℛ Luis Put your lips close to mine as long as they don't touch ℛ Luis EmptyLun 6 Mai - 2:22

Luis se sentait étrange depuis ce matin, il avait un noeud à l'estomac qui refusait tout simplement de partir. Il savait ce qu'il se passait mais il avait beaucoup de mal à l'admettre : il ne voulait pas retourner à New York. Les vacances que Rosalie avait improvisées lui avaient fait le plus grand bien, à lui et à Rain ainsi qu'à Meeko. Au début, il avait été un peu pris au dépourvu, mais comme ils avaient été déconnectés de tout... ils avaient pu respirer et faire ce qu'ils voulaient pour passer des vacances de rêve. L'entente entre les deux enfants s'étaient plutôt bien déroulée. Et Luis d'abord nerveux à l'idée de rencontrer la filleule de Rosalie avait été un peu gauche, mais grâce à Rain, le courant avait fini par passer, il commençait à s'y connaitre avec les petites filles en fait, plus qu'il ne l'aurait crû au premier abord. Il se passa la main dans les cheveux, il aimait bien cet endroit sans obligation. Ici, il avait pu faire ce qu'il voulait sans avoir à penser au boulot... et il n'avait toujours pas envie d'y repenser tant qu'il n'aurait pas déposé les deux pieds sur le sol américain, il se l'était promis en acceptant de partir avec la blonde.

Assis sur la terrasse, Luis observait les deux petites qui parlaient d'une voix triste, elles semblaient réellement déchirée à l'idée de devoir bientôt se séparer... gosh, il connaissait un peu trop bien ce sentiment. Lui non plus ne voulait pas quitter Rosalie... enfin, il savait qu'il allait la voir... mais moins, ils allaient sans doute récupérer leur vieille routine et pour dire vrai il n'en avait pas envie. Pas quand il avait pu l'avoir tout à lui durant ces vacances, pas quand lui tenir la main ou la prendre dans ses bras ne lui avait posé aucun problème. Pas quand il avait pu dormir chaque jour de la semaine avec le corps de la blonde contre le sien. Il avait la gorge noué, il n'avait certes pas envie, mais avait-il seulement le choix ? Il entendit alors un bruit sourd à ses côtés et il sursauta à moitié, trop perdu dans ses pensées, il n'avait pas vu la blonde revenir, elle s'était réfugiée dans leur chambre afin de ranger et Luis n'avait pas eu envie de la déranger. « Je vais enterrer ça un peu partout dans le sable et vous vous débrouillerez pour les retrouver, parce que vraiment, je n’ai pas l’intention de passer derrière vous et ramasser toutes vos affaires. » les petites se mirent aussi tôt à protester et allèrent rapidement récupérer leur affaire, elles semblaient tellement peinées... Luis se leva alors et il attrapa la main de Rosalie pour entrelacer leur doigt avant de la tirer vers l'intérieur de la maison, mais avant d'être hors de vue, il se tourna vers les filles. « Rosalie a raison, il faut commencer à ranger un peu vos affaires les filles, d'accord ? » dit-il simplement alors que les petites s'y mettaient, le coeur lourd... gosh cette ambiance pesait vraiment sur eux tous. Il tira Rosalie jusqu'à la chambre avant de la fermer délicatement. Il finit par lâcher la main de la jeune femme et il se passa la main sur le visage, extrêmement fatigué « Ce n'est une journée facile pour personne et ton comportement n'aide vraiment pas à ce qu'on aille mieux Rosalie, les petites ont le coeur brisé là, elles pensent qu'elles ne se reverront jamais et... » il secoua la tête, lui avait aussi ce sentiment, qu'ils n'arriveraient jamais à revivre ceci à New York... « Je suis juste fatigué parce qu'on n'a rien fait de mal... aucun d'entre nous... » murmura-t-il, ce n'était pas de leur faute si toutes les bonnes choses avaient une fin, c'était juste ainsi. « Si tu as quelque chose, dis-le clairement au lieu de nous faire sentir misérable » finit-il par rajouter tout en croisant les bras à sa taille.
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MessageSujet: Re: Put your lips close to mine as long as they don't touch ℛ Luis Put your lips close to mine as long as they don't touch ℛ Luis EmptyLun 6 Mai - 3:28

Si elle n’était pas heureuse. Personne ne pouvait être heureux. Cette règle dictait sa vie depuis qu’elle avait compris qu’elle pouvait, sans effort, contrôler les émotions des autres avec ses crises. Cet à-dire, assez rapidement. Elle brassait l’air autour d’elle à chaque fois que quelques choses n’allaient pas. Gamine, les portes claquaient, les piques volaient, les cris retentissaient, jusqu’à ce que tout le monde soit à bout et saute à la gorge l’un de l’autre. Elle faisait vibrer les murs jusqu’à ce que tout le monde soit aussi misérable qu’elle et c’était seulement après, qu’elle se donnait l’autorisation de se calmer, un sourire aux lèvres en regardant le tableau qu’elle venait de crée. Parfois elle le faisait même sans réaliser vraiment. Comme maintenant. Elle était tombée sur les petites et sur Luis sans vraiment s’en rendre compte. Furieuse, sans même comprendre pourquoi. Elle avait ramassé une pilée de leurs affaires dans la maison et maintenant elle leurs ordonnées de ramasser. Mais vu leurs têtes, elle aurait tout aussi bien fait de leurs demander de tuer une porté de chiots. Elle ouvrit la bouche pour répliques à leurs plaintes, agacées, mais Luis lui prit la main et elle tourna la tête vers lui à la place. Il se mit à la trainer à l’intérieur de la maison, ce qui eut pour effet de l’énerver encore plus, mais elle n’eut pas le temps de protester. « Rosalie a raison, il faut commencer à ranger un peu vos affaires les filles, d'accord ? » La blonde se tourna par-dessus son épaule, tandis qu’elle se faisait toujours tirer comme du bétail et fit une grimace à Esmeralda. Peste. Avoir sa nièce pour une nuit ou deux chez elle ne la dérangeait pas, une semaine, c’était beaucoup trop, elle allait la redonner à son frère et se faire ligaturée les trompes tiennent. Luis l’amena à sa chambre et referma la porte derrière eux. N’importe quel autre moment dans la semaine, elle n’aurait pas été contre le geste, mais aujourd’hui ça l’agaçait. Ça lui faisait penser à New York en fait. Où ils étaient toujours cachés, derrière une porte ou quelques part. Enfin, ils s’étaient ‘caché’ du monde un peu inconsciemment, mais ici ça avait été différend tellement plus… naturel. Elle eut l’impression qu’on la pinçait à l’intérieur de l’estomac. « Ce n'est une journée facile pour personne et ton comportement n'aide vraiment pas à ce qu'on aille mieux Rosalie, les petites ont le coeur brisé là, elles pensent qu'elles ne se reverront jamais et... » La blonde croisa les bras sur sa poitrine et leva les yeux aux ciels en soupirant. « C’est dramatique, elles habitent la même île. » Enfin, elle comprenait le sentiment, elle aussi avait cette impression, elle avait juste pas envie d’y pensé. « Je suis juste fatigué parce qu'on n'a rien fait de mal... aucun d'entre nous... » La blonde se redressa un peu en fronçant les sourcils. « Est-ce que tu essayes de me faire la morale ? J’ai juste demandé à ce qu’elle se ramasse un peu. » Non vraiment, elle n’était pas d’humeur pour se faire reprendre aujourd’hui. « Si tu as quelque chose, dis-le clairement au lieu de nous faire sentir misérable » Elle le regarda pendant un instant et finie par pencher la tête sur le côté et haussé les épaules avec désinvolture. « Je n’ai rien du tout. Je suis juste pratique, j’ai besoin que tous les sacs soient faits avec ce soir. C’est tout. Qu’est-ce que je suis sensée avoir d’autre ? » C’était eux qui avait les gueules longues, pas elle. Ils allaient rentré à New York, elle allait retournée chez elle seule et continué de voir Luis une fois de temps en temps derrière des portes closes et tout reviendrais normal, mais elle serait bronzé, voilà. Sans s’en rendre compte, la blonde donna un nouveau coup de pied dans une des babioles encore sur le plancher. « Si t’es fatigué va faire une sieste au lieu de me sermonner quoi. »
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MessageSujet: Re: Put your lips close to mine as long as they don't touch ℛ Luis Put your lips close to mine as long as they don't touch ℛ Luis EmptyLun 6 Mai - 15:03

Luis se sentait plus que las du comportement de la blonde, il n'aidait vraiment en rien et rendait l'ambiance beaucoup plus lourde. Mais il n'avait pas non plus envie de se disputer, il évitait toujours les disputes d'ordinaire, ce n'était pas si difficile, en ne s'appliquant nul part, il ne pouvait pas réellement former de relation. Il n'avait pas beaucoup "d'amis" ou rien en fait, il avait toujours eu Rain dans sa vie et c'était contenté de ça. Et ce n'était pas avec une enfant qu'on se disputait... mais ici c'était légèrement différent. Il tenta de prendre la défense des petites, c'était plus fort que lui ça, mais Rosalie se montra froide et ironique « C’est dramatique, elles habitent la même île. » il secoua la tête avant d'émettre un sifflement entre ses dents. « Sur, j'ai hâte de me rendre chez ton frère pour que les deux petites gardent le contact tiens ! » lâcha-t-il simplement la mâchoire serrée. Mais il n'en avait pas fini, elle leur faisait tellement peser sa sale humeur que Luis en était désormais énervé, oui, il s'était réveillé triste ce matin, mais l'humeur c'était alourdie au fil de la journée seulement par l'intervention de Rosalie. « Est-ce que tu essayes de me faire la morale ? J’ai juste demandé à ce qu’elle se ramasse un peu. » « Tu sais parfaitement bien que tu n'as pas fait que ça ! On n'a pas eu le droit de t'approcher aujourd'hui sous peine de se prendre des remarques ! » lui rappela-t-il en rigolant amèrement. Luis avait besoin de savoir ce qu'elle avait exactement, ce qu'il se passait dans sa tête, mais elle le nargua et nia en bloc. « Je n’ai rien du tout. Je suis juste pratique, j’ai besoin que tous les sacs soient faits avec ce soir. C’est tout. Qu’est-ce que je suis sensée avoir d’autre ? » il se passa rageusement la main dans les cheveux, elle l'agaçait pour la peine. « Tes règles sans doute » répondit-il méchamment. Il savait pertinemment que non, mais elle était tellement irritable en ce moment. « Si t’es fatigué va faire une sieste au lieu de me sermonner quoi. » Luis secoua négativement la tête. « Je n'ai pas envie de dormir le dernier soir de nos vacances ! Et je n'ai pas non plus envie de me disputer avec toi ! Mais tu es juste fâchée et tu préfères le nier que d'admettre l'évidence ! » abattu par les événements, Luis laissa tomber les bras le long de son corps et il baissa la tête. « Tu n'es pas la seule qui ne veut pas rentrer à New York tu sais... » finit-il par lâcher dans un soupir las.
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MessageSujet: Re: Put your lips close to mine as long as they don't touch ℛ Luis Put your lips close to mine as long as they don't touch ℛ Luis EmptyJeu 9 Mai - 3:24

Il faisait trop beau dehors. Elle avait envie d’une orage. De gros vents et de la pluies torrentiel pour calquer son humeur. Elle avait envie de lancer des trucs à bout de bras et de crier et déchirer des rideau. Et le pire c’est qu’elle n’était pas vraiment en colère juste… énerver. Elle se sentait comme un animal en cage et avait juste envie de courir. Elle c’était sentie comme ça à New-York et avait décider de prendre des vacances. Mais elle ne pouvait pas vraiment prendre des vacance de ses propres vacance, si ? Comme elle ne pouvait pas – encore – contrôler la température, elle c’était mit à répendre son humeur dans la maison à la place. Les petites avaient été les premières à suivre et Luis ne semblait plus très loin non plus. Elle n’avait pas vraiment envie de se battre, elle avait juste envie de s’épuisée. Et puis, c’était logique non ? S’il l’énervait assez, elle aurait sans doute hâte de rentrer. « Sur, j'ai hâte de me rendre chez ton frère pour que les deux petites gardent le contact tiens ! » Elle cracha comme un chat furieux. « Oui, t’as raison, c’est la seule solution évidement. Elles pourront plus jamais ce voir, c’est finie. » Elle se passa la langue sur les lèvres et eu un petit sourire plein d’orgueil. « En plus mon frère est jamais là, c’est toujours sa femme. » Elle garda le reste de son comentaire pour elle-même mais bon. C’était claire que Luis avait plus de chance pour plaire à ‘la femme de Fred’ qu’à son frère lui-même. Enfin peut importe l’état des petites, il n’avait pas à lui parler comme ça et elle lui fit remarquer assez rapidement. « Tu sais parfaitement bien que tu n'as pas fait que ça ! On n'a pas eu le droit de t'approcher aujourd'hui sous peine de se prendre des remarques ! » « Bah désolé ein ! » Son ton montait sans qu’elle s’en appercoive vraiment. Elle fit une révérence inpécable. « On essaye encore de m’apprendre à rester en silence et faire la belle toute la journée. » Il essaya ensuite de lui faire cracher le morceau. Mais la blonde se serra la machoir. Elle n’était pas aussi transparente non ? Non. Elle avait clairement pas besoin de ça en plus. Le penser était une chose, le dire à voix haute… « Tes règles sans doute » Elle roula les yeux. « Oh fuck off ein. » Elle détestait quand on lui balançait ça à la figure, comme si sa faisait tout. Elle voulait la paix, qu’on la laisse tranquille pour le coup. Elle avait besoin de réfléchir. « Je n'ai pas envie de dormir le dernier soir de nos vacances ! Et je n'ai pas non plus envie de me disputer avec toi ! Mais tu es juste fâchée et tu préfères le nier que d'admettre l'évidence ! » L’Anglaise eut un rictus mauvais et hocha la tête doucement. « T’inquiète pas, tu peux dormir ein. J’ai mes règles après tout. » Tient, tant pis pour lui. Et puis si elle s’ennuiait elle pouvait toujours sortir au village de pêcheur, elle avait un ou deux amis qu’elle n’avait pas vue depuis très longtemps tient. Enfin, pas qu’elle ait spécialement envie… Mais elle pourait, juste parce qu’elle était en colère. « Et j’ai rien a avoué. Je sais pas ce que tu essaye de me faire dire, mais je penses que tu me donne beaucoup plus de profondeur que j’en ait réellement. » Au moins il pouvait se venter d’être le premier a en faire autant. « Tu n'es pas la seule qui ne veut pas rentrer à New York tu sais... » Elle se tourna vers lui tranquillement et laissa tomber ses gardes un peu, avant de s’assoir au bout de son lit. « Bah on a qu’a rester alors. » Elle pourrais très bien vivre ici en fait. Elle n’avait rien à payer et tout et pourrais se contenter de vivre à moitié sauvage dans la jungle… Enfin au moins une autre semaine.
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MessageSujet: Re: Put your lips close to mine as long as they don't touch ℛ Luis Put your lips close to mine as long as they don't touch ℛ Luis EmptyLun 20 Mai - 3:01

« Oui, t’as raison, c’est la seule solution évidement. Elles pourront plus jamais ce voir, c’est finie. » Il roula des yeux, évidemment, Rosalie ne l'aidait pas le moins du monde, elle en faisait vraiment trop. Ce n'était pas ce qu'il avait voulu dire ! Mais c'était visible non qu'il allait devoir "justifier" sa présence auprès du frère de Rosalie... et ça allait être étrange au possible, comme quand il avait croisé sa cousine là. « En plus mon frère est jamais là, c’est toujours sa femme. » Luis se figea sur place avant de lentement relever la tête vers Rosalie, le regard meurtrier. « ça veut dire quoi ça ? » cracha-t-il entre ses lèvres. Qu'elle n'avait aucune estime en lui ? Qu'elle ne s'attendait pas à ce qu'il fasse preuve d'un minimum de tenue ? Elle s'imaginait qu'il était capable d'offrir ses services à une personne de la famille de Rosalie ? Il se sentait amer. « Visiblement, je me suis trompé, je pensais que tu avais juste un peu plus d'estime pour moi que toutes les autres. Alors dis-moi Rosalie, quand comptes-tu me jeter ? Tu ne devrais pas commencer à te lasser de moi ? » cracha-t-il froidement, parce que si elle ne voyait que le gigolo en lui, il n'avait aucune raison de la traiter différemment des autres ! Autant qu'elle le paye du coup. Pourtant cette simple idée lui soulevait le coeur. Le jeune homme tenta de chasser ce sujet, de le mettre derrière-lui parce qu'ils ne pouvaient pas se disputer le dernier jour de vacance. Parce que tout s'était tellement bien déroulé ces derniers jours... « Bah désolé ein ! On essaye encore de m’apprendre à rester en silence et faire la belle toute la journée. » il leva les yeux au ciel. « Ce n'est pas ce que je te demande ! » il secoua la tête. La situation ne s'apaisait pas du tout, ils semblaient trouver le moindre prétexte pour se sauter à la gorge, pour s'en prendre l'un à l'autre et Luis finit par lui lâcher une réplique qu'aucune femme n'aimait. « Oh fuck off ein. » bingo, il avait fait mouche et il était fier de son coup pour la peine. M'enfin, il voulait quand même arranger les choses, pour que leur vacance ne soit pas entachée par cette dernière journée... « T’inquiète pas, tu peux dormir ein. J’ai mes règles après tout. » il poussa un soupire, rien ne semblait vouloir bouger ou s'arranger ne serait-ce qu'un peu. « Et j’ai rien a avoué. Je sais pas ce que tu essaye de me faire dire, mais je penses que tu me donne beaucoup plus de profondeur que j’en ait réellement. » Luis eut un sourire en coin avant de soulever un sourcil tout en observant la blonde. « ça voudrait dire quoi ? Que tu es plus "commune" que je ne l'imagine ? » finit-il par demander. Parce que c'était pas l'image qu'elle donnait, elle voulait tellement être au-dessus de tout. Ce fut Luis qui avoua qu'il n'avait pas envie de rentrer à New York, il savait que Rosalie ressentait la même chose, il savait que c'était ça qui les rendait d'humeur maussade... mais le savoir était une chose, le dire à voix haute une autre. « Bah on a qu’a rester alors. » finit par dire la blonde en se calmant finalement pour s'asseoir sur le bord de son lit. Luis ne mit pas longtemps avant de la rejoindre. « Et rester cacher encore combien de temps ? » il poussa un soupire et se passa la main dans les cheveux avant de se la passer sur le visage, il aurait aimé qu'une solution miracle éclose dans son esprit, mais c'était sans doute trop lui en demander. « On va devoir rentrer... mais on n'est pas forcé d'oublier... je ne pourrais pas oublier ces vacances-ci ensemble Rosalie » il se mit à rigoler jaune, il s'était trop vite habituer à n'être l'homme que d'une seule femme... mais il allait devoir redevenir comme avant. Il n'avait pas le choix ? Puis même si lui commençait à perdre le contrôle de cette affaire, avec ce que la blonde avait avoué tout à l'heure, il était peu probable qu'elle le voit comme un "homme", plus comme un homme-objet tout au plus... mais homme-objet ou non... il priait qu'elle le garde encore un peu, parce qu'il se sentait bien à ses côtés.
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MessageSujet: Re: Put your lips close to mine as long as they don't touch ℛ Luis Put your lips close to mine as long as they don't touch ℛ Luis EmptyLun 20 Mai - 4:56

Un tremblement de terre. Ses humeurs étaient comparables à un tremblement de terre. Elle boudait pendant un temps sans rien faire, puis explosait, faisait ses damages, parfois il y avait des ‘after-shock’ et elle laissait toujours beaucoup de damage avant de se laissé envahir par la honte et la culpabilité. C’était pareille petite, quand elle se fâchait contre sa sœur, elle trouvait toujours quelques choses de précieuses à elle pour le ruiner, et se sentait immédiatement mal et allait pleurer en s’excusant, se livrant elle-même dans la gueule du loup. Elle faisait toute trembler avec elle et ne réfléchissait pas vraiment aux dommages collatéraux, pas sur le coup du moins. Elle laissait toute logique la quitté et laissait tous les mots traverser sa bouche, c’est après, quand elle se mettait à réfléchir convenablement qu’elle se sentait mal, jusqu’à parfois se rende malade. « ça veut dire quoi ça ? » Elle haussa les épaules et se détourna de manière complètement détachée. « Que tu risques de mieux t’entendre avec elle, qu’avec Fred. C’est tout. » Enfin, elle s’imaginait. Il était sensé être confortable pour charmer les autres, elle n’y avait jamais réfléchi avant, elle essayait toujours de repousser cette réflexion le plus longtemps possible. Mais bon. « Visiblement, je me suis trompé, je pensais que tu avais juste un peu plus d'estime pour moi que toutes les autres. Alors, dis-moi Rosalie, quand comptes-tu me jeter ? Tu ne devrais pas commencer à te lasser de moi ? » « Je devrais, oui... » Ça voix trainait. Ça faisait un moment qu’elle devrait oui. Elle se le disait pratiquement tout les jours, toutes les fois où elle se surprenait à penser à Luis alors qu’il n’était pas spécialement devant elle. Il ne comprenait pas que, c’était ça, le problème justement ? Elle regardait Luis d’un air aussi froid que son ton et essayait le plus possible de ne pas flancher. On lui avait toujours appris de ne pas paraitre faible ou vulnérable devant qui que ce soit. « Mais ce n’est pas la peine d’être aussi sensible à ce sujet, je me lasse de tout le monde. » Elle n’avait pas l’air aussi sure qu’elle aurait aimé, par le son de sa voix, ça se voyait, qu’elle essayait de se convaincre elle en premier lieu. En même temps, ça avait été un sujet sensible dans sa tête ses derniers temps, comme elle avait dit à Lys ; Le garçon qui l’énervait, parce qu’il ne l’énervait pas du tout. Enfin, il commençait bien à l’énerver aujourd’hui en lui lançant reproche par-dessus reproche sur son attitude pendant la journée. C’est vrai qu’ils n’avaient jamais passé plus de deux jours consécutifs ensemble – et même, ils avaient bossé toute la journée, chacun de leurs côtés – et que c’était clairement plus qu’à quoi ils étaient habitués. Peut-être que dans le fond, il serait le premier à se lasser d’elle. Cette vision des choses ne lui avait jamais traverser l’esprit en fait. Quand il essaya de la forcer à avouer qu’elle ne voulait pas partir, elle se contenta de balayer tout ça de la main et de montrer son côté reine des glaces ( !). « Ça voudrait dire quoi ? Que tu es plus "commune" que je ne l'imagine ? » Elle leva les yeux au ciel. Commune, non, personne ne pourrait utiliser cette adjective pour la décrire. « Superficielle, shallow, égoiste, etc. » Tout le monde pourrait s’entendre là-dessus, sans doute. Enfin, Luis déclara que lui non plus ne voulait pas retourner à New York, et elle se sentit vidée de son énergie pour le coup. Sa crise était finie et elle alla s’assoir au bout de son lit, pour l’after-shock. Il vint s’assoir à côté d’elle et Rosalie se tourna légèrement pour étudier sa tête, mais elle était pas trop certaine de savoir le lire juste maintenant. « Et rester caché encore combien de temps ? » Elle eut un petit rire faible et laissa tomber le haut de son corps sur le matelas, préférant étudier le plafond finalement. « Quelques jours, des semaines, des mois. » Jusqu’à ce qu’elle devienne lasse pour de bon. « On va devoir rentrer... mais on n'est pas forcé d'oublier... je ne pourrais pas oublier ces vacances-ci ensemble Rosalie » Un sourire sarcastique se dessina sur ses lèvres et elle ferma les yeux. « Je t’ai déjà dit que je n’oubliais jamais rien. » Enfin pour le coup, elle ne savait pas vraiment si c’était une bonne chose. « Tu penses vraiment que je t’estime pas du tout ? » Parce que c’était sans doute le truc le plus vexant qui lui avait dit aujourd’hui. Elle lui avait donné tellement de preuve du contraire… Mais en même temps, il ne pouvait pas savoir, il l’avait jamais vue avec tous les autres non plus.
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MessageSujet: Re: Put your lips close to mine as long as they don't touch ℛ Luis Put your lips close to mine as long as they don't touch ℛ Luis EmptyMar 21 Mai - 0:45

« Que tu risques de mieux t’entendre avec elle, qu’avec Fred. C’est tout. » il siffla, il n'aimait vraiment pas cette phrase, il n'aimait pas qu'on lui crache à la gueule de façon si détourné qu'il n'était qu'un gigolo. Il n'en avait jamais eu honte, il préférait être ça et ne plus vivre dans la rue que le contraire. « Okay. Je pourrais même lui faire un prix d'amis. Si jamais t'as des amies à me présenter, n'hésite pas, c'est toujours de l'argent et du boulot en plus, je ne crache pas dessus » dit-il en rigolant jaune. Il était blessé et il lança une remarque acerbe à la blonde, en lui signalant qu'elle aurait peut-être déjà dû commencer à se lasser de lui. Après tout, ça, ça lui était déjà arrivé avec d'anciennes clientes. « Je devrais, oui... Mais ce n’est pas la peine d’être aussi sensible à ce sujet, je me lasse de tout le monde. » Luis ricana avant de secouer la tête. « Génial » lâcha-t-il d'une voix froide. Il était tellement frustré par les propos de la blonde qu'il voyait à peine qu'elle cherchait plus à se convaincre elle-même qu'autre chose. Cela dit, il n'en avait pas fini, il n'avait pas l'habitude de ne pas répondre aux attaques, il se défendait comme il le pouvait et il savait qu'il arrivait à l'agacer par certaines de ses remarques, c'était amusant. Enfin, non, pas vraiment, mais c'était plaisant de voir qu'il savait la toucher, qu'il savait où appuyer pour l'agacer. Comme quand il lui dit qu'elle était "commune", il savait d'avance qu'elle n'allait pas bien prendre la chose. Et effectivement. « Superficielle, shallow, égoiste, etc. » il fronça les sourcils, pas vraiment d'accord avec ça non plus. Il se gratta la joue avant de passer sa main dans sa nuque, tout ça, cette dispute le fatiguait profondément. C'est sans doute pour ça qu'il fut le premier à lâcher prise quand il avoua ne pas vouloir rentrer à New York. Rosalie se calma aussi tôt et elle ressemblait plus à... une petite fille maintenant qu'à un démon sur ses deux talons. Son apparence de Reine des Glaces avaient fini par fondre. Elle était prête à rallonger les vacances et Luis sourit en l'entendant. Il se mit à ses côtés avant de répondre. Rosalie se coucha à moitié et Luis l'observa quelques secondes. « Quelques jours, des semaines, des mois. » Luis attrapa alors la main de Rosalie avant de la soulever pour la porter à ses lèvres. Il lui caressa l'intérieur de la paume avant de lui avouer qu'il n'arriverait pas à oublier ses vacances. « Je t’ai déjà dit que je n’oubliais jamais rien. » il eut un sourire triste avant de se laisser tomber aux côtés de la blonde, il poussa un soupir, tout était si compliqué entre eux en ce moment. « Tu penses vraiment que je t’estime pas du tout ? » Luis fronça les sourcils un moment. « Je n'en sais rien » avoua-t-il simplement tout en haussant les épaules. « Tu ne serais pas la première... » souffla-t-il du bout des lèvres avant de regarder Rosalie dans les yeux. « Mais autant je me fiche de ce que les autres femmes peuvent penser de moi... toi... c'est différent. » avoua-t-il sincèrement. Elle était différente depuis le début en même temps.
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MessageSujet: Re: Put your lips close to mine as long as they don't touch ℛ Luis Put your lips close to mine as long as they don't touch ℛ Luis EmptyMar 21 Mai - 2:18

« Okay. Je pourrais même lui faire un prix d'ami. Si jamais t'as des amies à me présenter, n'hésite pas, c'est toujours de l'argent et du boulot en plus, je ne crache pas dessus » Elle était déjà insultée par tout ce qui se passait, mais insinuée qu’elle était ami avec la copine de Fred était vraiment exagéré. Elle ne savait même plus comment ils étaient arrivés là, elle était certaine qu’il y a quelques secondes à peine, ils parlaient encore des petites. Elle n’avait jamais voulu amener son métier sur le tapis, parce qu’elle n’avait jamais encore réfléchis à tout ça et avait aucune idée quoi dire sur le sujet, elle avait juste voulu insunié qu’il arriverait à charmer whateverhernamewas que son frère. Et puis ça avait escaladé très vite. « Fine ! » Elle attrapa son téléphone, ouvrit son répertoire et lui lança sur le torse. « Mais pense peut-être à te protéger pour une fois ! » Parce que n’empêche, c’est elle qui prenait les risques après. Elle continua sur sa lancée et lui aussi, ils se cherchaient de plus en plus et Rosalie était beaucoup énervée par le fait qu’il savait jouer avec ses humeurs aussi facilement. Elle se sentait vulnérable et à froid et détestait ça. Il avait raison, il était vraiment temps qu’elle se lasse. « Génial » Elle lui lança un regard noir. « Oh oui, comme si tu n’avais jamais pensé que tu devrais être lasse de moi depuis longtemps déjà. » Il avait dit assez pour qu’elle comprenne que lui non plus c’était pas dans ses habitudes. Ils continuèrent à se prendre la tête pendant un moment, et tout ça commençait à l’essouffler et la fatiguer. Mais elle n’était pas du genre à céder en premier. Jamais. Par contre, dès que Luis montra les premiers signes, elle ne se fit pas prier pour arrêter de s’énerver et s’assoya sur son lit. Elle eut presque une pensée pour sa nièce et Rain qui était encore dans la maison, mais elle n’était pas dans l’humeur de trop s’en faire pour ça non plus. La discussion ne s’allégea pas pour autant et Rosalie aurait presque voulu continuer à crier. Au moins si elle s’énervait elle pouvait toujours blâmer ce qu’elle disait sur la situation. « Je n'en sais rien. Tu ne serais pas la première... » Elle ouvrit les yeux et se releva à moitié, sur ses coudes pour mieux le regarder. « Ok. Juste une chose. Je me fou complètement de ce que tu fais pour gagner ta vie, mais me compare jamais – sur aucun point – a tes clientes, parce que je franchement je crois a avoir mériter au moins ça. » Elle avait aucune idée ce qu’ils étaient un pour l’autre et ce qu’elle voulait être, mais elle tenait à être différentes que le reste, ça … Elle se recoucha dans sa position initiale, mais continua de regarder Luis, en clignant des yeux doucement. « Mais autant je me fiche de ce que les autres femmes peuvent penser de moi... toi... c'est différent. » D’accord, elle savait aussi qu’elle ne voulait pas de cette discussion. Elle était venue en vacance pour fuir ce genre de discussion. De nouveau énervée, elle se leva du lit et ouvrit ses tiroirs faisant mine de chercher quelques choses. « Je n’ai jamais amené personne ici avant, ou bien je n’ai jamais laissé personne rester la nuit – enfin à part Lys peut-être, j’ai encore moins dormis chez personne d’autre et je ne laisse définitivement aucun autre homme entrer dans mon appartement quand bon leurs sembles, à moins de partager leurs ADN. » She did care. She was just really bad at it.
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MessageSujet: Re: Put your lips close to mine as long as they don't touch ℛ Luis Put your lips close to mine as long as they don't touch ℛ Luis EmptyJeu 30 Mai - 1:49

Le ton entre les deux adultes ne baissaient pas, et de sujets anodins ils avaient fini par glisser vers des sujets plus sensibles, ceux dont ils ne parlaient jamais lorsqu'ils étaient à New York, mais quand on y pensait bien, ils parlaient très peu à New York, ils étaient juste... à vivre leur truc "relation" au jour le jour, sans jamais s'interroger dessus, sans jamais chercher de réponses à leurs questions... mais là... tout partait en couille et Luis se trouvait à dire des choses qui dépassaient ses pensées. Il voulait juste pousser Rosalie dans ses retranchements, de la même façon qu'elle le faisait avec lui-même. « Fine ! Mais pense peut-être à te protéger pour une fois ! » Luis sentit l'impacte sur son torse et il regarda le téléphone de Rosalie tomber au sol. Il sentit sa mâchoire se contracter avant de se baisser brusquement. « Y a ta cousine hein là-dedans ? Elle est vraiment pas mal... » lâcha-t-il brusquement d'une voix très sèche. Ses yeux lançaient des éclairs en cet instant. « Et je me protège ! C'était une fois ! Et tu étais aussi coupable que moi cette fois-là ! Dans mes souvenirs, on fait pas un gosse tout seul ! » cracha-t-il amèrement en sentant ses poings se serrer de façon nerveuse. Enfin, il mentait sans doute... il avait dû faire une erreur dans sa jeunesse... Rain était là après tout. Mais il jurait s'être protégé à chaque fois... mais parfois le matériel cédait. Enfin, c'était la seule solution à sa naissance. Ensuite, Rosalie avoua qu'elle allait tôt ou tard se lasser de sa personne, c'était juste... blessant quelque part. « Oh oui, comme si tu n’avais jamais pensé que tu devrais être lasse de moi depuis longtemps déjà. » Luis émit un rire sarcastique tout en croisant ses bras sur sa poitrine, il renifla avec mépris. « Et pourquoi je devrais me lasser moi ? Ce truc entre nous est nouveau pour moi... tu es la seule... » il s'arrêta net dans sa phrase, il avait faillit dire "Tu es la seule qui tienne pour moi". Mais en cet instant il était trop fâché pour dire une chose de la sorte. « Tu es la seule qui sait me distraire » finit-il par dire à la place.

Cela dit, si leur dispute était montré très vite, à l'instant où Luis avoua qu'il ne voulait pas rentrer, il eut le sentiment qu'une bulle explosait. Et sa colère retomba brusquement, de même pour Rosalie. C'était... différent maintenant. Ils parlaient, chose à laquelle ils n'étaient pas habitués mais ils le faisaient de façon maladroite. Luis se sentait... étrange, il disait très rarement ce qu'il avait sur le coeur, il ne réfléchissait jamais à ce qu'il ressentait réellement... mais cette fois-ci il ne pouvait pas nier les faits : il tenait à elle. Elle comptait, son avis de lui comptait. Et sa présence était devenue inévitable dans la vie de Luis. « Ok. Juste une chose. Je me fou complètement de ce que tu fais pour gagner ta vie, mais me compare jamais – sur aucun point – a tes clientes, parce que je franchement je crois a avoir mériter au moins ça. » Luis l'observa quelques secondes avant de tendre la main pour lui caresser le visage de façon délicate. Un instant, son pousse passa sur les lèvres de Rosalie, en cet instant, il avait envie de l'embrasser. Il avait envie de lui faire l'amour juste pour arrêter e parler. La relation physique était plus simple à contrôler que tout le reste... mais il ne pouvait pas fuir, pas en cet instant. « D'accord, pardon » lança-t-il sincèrement avant de reprendre la parole en avouant qu'elle comptait plus pour lui que toutes les autres... la réaction de Rosalie fut fulgurante, elle se leva et s'éloigna de lui. Il ferma les yeux quelques secondes, tout était si compliqué entre eux. « Je n’ai jamais amené personne ici avant, ou bien je n’ai jamais laissé personne rester la nuit – enfin à part Lys peut-être, j’ai encore moins dormis chez personne d’autre et je ne laisse définitivement aucun autre homme entrer dans mon appartement quand bon leurs sembles, à moins de partager leurs ADN. » Luis ouvrit subitement les yeux, il l'observa s'énerver contre ses tiroirs et le chilien s'extirpa finalement du lit pour se positionner derrière Rosalie pour l'entourer de ses bras. Il poussa ses cheveux sur le côté pour pouvoir l'embrasser dans la nuque. « Mi querrida » murmura-t-il contre sa peau du bout des lèvres. « J'ai peur aussi... quand je réalise que si je ne m'endors pas près de toi tu manques. J'ai peur aussi quand je réalise que ça fait des mois que je refuse toutes mes clientes blondes. Rosalie De la Vega, tu me fous la trouille quand je réalise que tu es la seule femme à qui je fais l'amour. » murmura-t-il simplement avant de la relâcher pour s'éloigner d'elle pour se remettre au bout du lit. « Cela dit... j'ai encore plus peur de ne plus t'avoir dans ma vie... alors... alors ne te lasse pas trop vite... » finit-il par dire en se passant la main dans les cheveux avec nervosité. Jamais il ne s'était senti aussi à nu.
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MessageSujet: Re: Put your lips close to mine as long as they don't touch ℛ Luis Put your lips close to mine as long as they don't touch ℛ Luis EmptyJeu 30 Mai - 5:17

Lancer un truc lui avait fait du bien. Elle comprenait pourquoi les gens cassaient de la vaisselle quand ils criaient maintenant. Elle aurait bien lancé un tas d’autres choses, mais à la place, elle le regarda se pencher pour ramasser son téléphone. Elle avait un regard défiant au visage. Elle s’attendait presque à ce qu’ils appellent un de ses contacts juste pour la contrariée. « Y a ta cousine hein là-dedans ? Elle est vraiment pas mal... » Ana. La mâchoire de Rosalie se serra et elle avala sa salive difficilement. Évidement qu’Ana était de son genre tient, tout le monde lui préférait Ana qu’à elle. « Oh mais t’arrêtes pas à elle ein, j’ai quatre cousines et deux sœurs ! Blond, brown, asian, just pick one ! » Des heures de plaisirs pour toute la famille. Et puis à l’heure qu’il était, elles devaient tout être au courant tient. Ce n’est pas comme si Ana pouvait tenir sa langue. « Et je me protège ! C'était une fois ! Et tu étais aussi coupable que moi cette fois-là ! Dans mes souvenirs, on ne fait pas un gosse tout seul ! » Elle balança ses cheveux à l’arrière, comme une guerrière prête à attaquer. « Right, juste une fois ! » Elle leva les yeux au ciel, elle n’était pas certaine d’y croire à celle-là. « And you* should be the one thinking about that. C’est pas moi qui continue de coucher à gauche et à droite en attendant tient ! » Elle avait oublié sa pilule un soir ! Un soir ! Un truc qu’elle prenait depuis qu’elle avait douze ans, elle ne se laissera pas facilement blâmer pour ça. La conversation continua par dérailler, ils c’étaient mit à toucher des sujets beaucoup trop ‘sérieux’ qu’elles osaient à peine penser avant et maintenant, elle disait n’importe quoi. Une partie de sa tête lui criait d’arrêter et de se taire, mais l’autre était armé et prête à se défendre comme elle l’avait toujours fait. « Et pourquoi je devrais me lasser moi ? Ce truc entre nous est nouveau pour moi... tu es la seule... » Elle leva un regard noir en attendant la suite de la phrase. « Tu es la seule qui sait me distraire » Elle éclata d’un rire mauvais et s’enveloppa de ses propres bras en hochant de la tête. « Well I’m glad I’m such a distraction for you ! » Elle se mit dos à lui et passa ses mains sur son visage, exténuée. « Maybe you should be the one who pay me, at the end. » Parce que si elle était là que pour distraire, autant ne pas le faire gratuitement ! Comme ça personne ne perdait son temps !

Au départ, elle n’était pas mécontente quand tout ça prit fin. Elle se sentait à bout et vraiment, elle avait l’impression qu’ils s’étaient arrêtés juste à temps avant de lancer un truc qu’ils auraient vraiment regretter. Mais maintenant elle aurait préféré qu’ils se remettent à crier. Ils étaient étendus sur son lit et elle pouvait deviner qu’ils essayent de parler plus ‘sérieusement’, mais ils le faisaient vraiment que très maladroitement. Elle n’avait jamais vraiment eu un problème avec le choix de carrière de Luis, elle qui était généralement très possessive, elle faisait instinctivement la différence entre elle et les autres et généralement cela lui suffisait. Mais elle tenait quand même à faire le point, elle supportait déjà mal la comparaison avec le commun des mortelles, il n’était pas question qu’elle ait un point commun avec ses clientes. Elle se leva sur les coudes pour le ‘sermonner ’ et se laissa toucher le visage en bougeant à peine. Ses doigts s’acrotères aux coudes à Luis et elle se disait qu’elle pourrait facilement remettre tout ‘ça’ à plus tard si elle se penchait un peu et l’embrassait maintenant. Ils seraient vite bien trop occupés pour parler et tout serais le mieux dans le meilleur des mondes, mais le brun repris la parole et elle prit tellement peur qu’elle du se sauver à l’autre bout de la pièce.

Elle se mit à chercher elle ne savait trop quoi dans son tiroir, gardant ses yeux bien rivés au-devant d’elle et avec sa manière malhabile, elle essaya de faire passé son message. Elle tenait à Luis, vraiment. Elle ne savait juste pas quoi faire de cette information en fait. Bien vite Luis la rejoint et plaça ses bras autour d’elle et sa tête dans son cou. « Mi querrida » elle posa ses bras sur les siens et sourie doucement. C’était comme à son anniversaire, sans la pause étrange et le malaise qui venait avec. « J'ai peur aussi... quand je réalise que si je ne m'endors pas près de toi tu manques. J'ai peur aussi quand je réalise que ça fait des mois que je refuse toutes mes clientes blondes. Rosalie De la Vega, tu me fous la trouille quand je réalise que tu es la seule femme à qui je fais l'amour. » Elle se retourna dans ses bras, mais elle eut à peine le temps d’ouvrir la bouche qu’il s’éloignait d’elle déjà. « Cela dit... j'ai encore plus peur de ne plus t'avoir dans ma vie... alors... alors, ne te lasse pas trop vite... » Elle s’avança et se planta devant lui pour le regarder en silence quelques secondes. Avec le bout de ses doigts, elle frôla son menton et traça sa mâchoire pour finir à la pointe de ses cheveux, tandis que l’autre main se posa sur son épaule et dans son cou… « I won’t… I mean, that’s the problem. » Parce que malgré tout ce qu’il disait, il allait finir par se lasser d’elle bien avant qu’elle le fasse. Ou peu importe, mais ça allait mal finir c’était certain. Elle posa son genou sur le lit et se pencha pour l’embrasser longuement. « Because I really need you, and I’m not good at loosing. »
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MessageSujet: Re: Put your lips close to mine as long as they don't touch ℛ Luis Put your lips close to mine as long as they don't touch ℛ Luis EmptyLun 10 Juin - 1:17

« Oh mais t’arrêtes pas à elle ein, j’ai quatre cousines et deux sœurs ! Blond, brown, asian, just pick one ! » Luis sentit sa mâchoire se contracter sous le coup de la colère, ses yeux vert/brun lançaient des éclairs et il avait bien envie de composer le premier numéro qui venait tiens, juste pour la pousser à bout à son tour, cela dit, il se contenta de lancer l'objet sur le lit. Il n'avait pas envie de ces femmes, il n'avait pas envie d'envenimer plus les choses, enfin, pas de cette façon en tout cas. Il savait qu'il ne pouvait pas de toute façon faire quoique se soit avec une femme reliée à Rosalie, c'était juste... malsain... et il ne voulait pas lui faire de la peine. Cela dit, quand elle parla de la protection, il se sentit pris au dépourvu, elle le prenait pour qui exactement ? « Right, juste une fois ! And you* should be the one thinking about that. C’est pas moi qui continue de coucher à gauche et à droite en attendant tient ! » il pinça les lèvres avant d'émettre un rire mauvais. « Tu crois que je n'ai pas appris à faire attention ? Je vends mon corps depuis que j'ai 14 ans ! Tous les mois je vais faire des test, je me protège à chaque fois parce que c'est mécanique chez moi, ça fait juste partie du boulot ! » il se mit à ricaner et il sera les poings. « Si j'ai oublié avec toi, c'est parce qu'avec toi ça n'a rien à voir avec un truc mécanique » c'était passionnel, c'était des étreintes intenses dont il avait besoin, lorsqu'ils commençaient à s'embrasser, le trois quart du temps, il ne pensait à rien d'autres hormis être en elle, à chaque instant, il avait ce besoin d'intimité avec elle, et c'était pour ça qu'il avait oublié, parce qu'elle n'était comme aucune autre, parce qu'aucune autre ne lui faisait perdre la tête comme elle arrivait si bien à le faire. Cela dit, la tension ne baissait pas d'un cran, surtout pas après les dernières paroles qu'il eut. Elles étaient très maladroites, mais en toute honnêteté, il n'aurait pas su faire mieux. « Well I’m glad I’m such a distraction for you ! Maybe you should be the one who pay me, at the end. » en la voyant dos tourné à lui, Luis se figea, il était incapable de bouger pour l'entourer de ses bras alors qu'il en mourrait d'envie, juste pour qu'elle sente sa présence auprès d'elle, juste pour la câliner et s'excuser par ce simple geste de vouloir la réconforter. Mais il ne bougea pas d'un poil et il baissa la tête. Il se trouvait très lâche pour la peine.

Cela dit, la tension finit par retomber. Le calme après la tempête. Ils continuèrent de parler, mais de façon plus réfléchies, et ils savaient que leurs mots étaient plus profond que d'ordinaire. Ils disaient tout haut ce qu'ils avaient à peine oser penser un jour. Quand elle lui tourna le dos, cette fois-ci il alla la rejoindre pour l'entourer de ses bras et lui souffler dans l'oreille ce qu'il avait sur le coeur et qu'il n'avait jamais osé dire. Ce n'était pas non plus une déclaration... mais c'était ce qui y ressemblait le plus pour Luis. Il ne s'était jamais autant lié à une personne ou ouvert à quelqu'un depuis des années. Depuis la mort d'Ilwen en fait. Après avoir parlé, il s'éloigna d'elle pour retourner sur le lit et Rosalie en profita pour le rejoindre rapidement et tracer sa mâchoire, il la regarda silencieusement alors qu'il sentait sa peau picoter sous les doigts de Rosalie, elle ne réalisait même pas l'effet qu'elle avait sur lui. « I won’t… I mean, that’s the problem. » il secoua la tête. « Ce n'est pas un problème... » murmura-t-il alors que Rosalie se penchait pour l'embrasser, il accueillit ses lèvres avec plaisir et passion, gosh, il réalisait qu'il avait eu peur de la perdre et il resserra ses mains sur les hanches de la jeune femme, il ne voulait pas la perdre. Le baiser prit finalement fin et la jeune femme se remit à parler. « Because I really need you, and I’m not good at loosing. » il se sentit déglutir et il leva la main pour caresser la joue du bout de la blonde du bout des doigts. « J'ai aussi besoin de toi Rosalie » avoua-t-il alors qu'il se remettait à l'embrasser en l'attirant un maximum à lui, il ne voulait plus de distance entre eux, il la voulait contre lui. Lorsque le baiser se termina, Luis glissa sa bouche jusque dans le cou de la blonde et il se mit aussi tôt à aspirer la peau de Rosalie, il devait la marquer. « J'ai envie de toi » souffla-t-il contre sa peau en se mettant à la mordiller. « Ce soir est à nous... » le nous sonna un peu bizarre dans son esprit... mais il ne trouvait pas ça dérangeant au final. Avec Rosalie, peu de choses l'ennuyait pour dire vrai.
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MessageSujet: Re: Put your lips close to mine as long as they don't touch ℛ Luis Put your lips close to mine as long as they don't touch ℛ Luis EmptyMar 11 Juin - 3:34

« Tu crois que je n'ai pas appris à faire attention ? Je vends mon corps depuis que j'ai 14 ans ! Tous les mois je vais faire des tests, je me protège à chaque fois parce que c'est mécanique chez moi, ça fait juste partie du boulot ! Si j'ai oublié avec toi, c'est parce qu'avec toi ça n'a rien à voir avec un truc mécanique » Rosalie se passa une main dans les cheveux. La tête lui élançait tout d’un coup, entre le quatorze ans, le sérieux de la situation qui lui échappait encore et le reste, elle avait un trop-plein d’information et n’arrivait pas à se concentrer. Elle aurait eu besoin d’un temps pour se poser et réfléchir à tout ça, mais y réfléchir y donnait beaucoup trop d’importance. Et elle était beaucoup trop bornée pour baisser les bras et être la première vaincue. Elle figea à peine une seconde et trois quarts avant de reprendre son panache et de balaya ça d’un geste. « Ne me met pas ça sur le dos et ne me dis pas que c’est de ma faute en essayant de m’amaoudée, c’est bas et sa marcheras pas. » Elle se sentait repousser dans ses dernières tranchées et n’avait plus rien pour se défendre. Parce qu’elle comprenait ce qu’il voulait dire. Enfin, c’est la même chose qu’il l’avait fait OUBLIER de prendre sa pilule. Oublier quoi. Elle ferma les yeux pour rejeter l’idée une nouvelle fois, c’était pas le moment d’y réfléchir. Elle croisa les bras et détourna la tête en reniflant juste un petit peu. Elle avait l’impression qu’elle était dans cet état justement parce qu’elle refusait de réfléchir à tout et n’importe quoi depuis qu’elle avait rencontré Luis. Ce n’était pas elle ça. Elle était logique et mathématique. Elle soldait les problèmes de sa vie comme une formule et elle ne se laissait pas guider par autre chose que sa tête. Sauf qu’elle savait que si elle commençait vraiment* à penser à tout ça, elle ne se donnerait pas le choix et ferais demi-tour et … Non, elle ne se sentait pas capable d’écouter ça. Même maintenant en pleins milieux de leurs batailles, où il était les deux complètement abattu, elle n’avait pas envie d’aller nulle part. Elle n’avait véritablement jamais connu quelques choses d’aussi frustrantes que cette relation, ou peu importe.

Ensuite elle se sentit sur un terrain glissant. Savoir qu’elle ne pouvait pas revenir en arrière était une chose. Le partager à voix haute en était une autre. Elle avait l’impression de se sentir vulnérable pour la première fois de sa vie. Même quand elle s’était fait attaquer, il y a un moment déjà, ou bien quand Shanti s’était fait poignarder à l’Halloween, elle ne s’était pas sentie aussi en danger que ça. Elle avait juste à écouter Luis pour se rendre compte qu’elle s’enterait la tête dans le sable depuis un très long moment déjà. Quand il desserra ses bras d’autour de son corps, elle alla le rejoindre sur le bord de son lit, incapable de supporter la distance. « Ce n'est pas un problème... » It really was tough. Peut-importe, elle allait finir par perde la partie. Elle n’avait pas envie de se battre cependant et abandonna la partie en se penchant pour l’embrasser un moment. « J'ai aussi besoin de toi Rosalie » « Shh. » Elle lui attrapa les lèvres pour le faire taire encore. Elle avait pas vraiment d’en entendre plus pour le moment, c’était beaucoup trop de nouvelle information en une soirée. Il la rapprocha de lui encore et elle enfouit ses mains dans ses cheveux, sur son torse, cherchant tous les contacts possibles entre sa peau et la sienne. « J'ai aussi besoin de toi Rosalie. Ce soir est à nous...» Elle s’éloigna pour le regarder quelques secondes avant de le coucher sous elle, prenant toute la place dans son lit. Elle continua à l’embrasser pendant un moment, puis délaissa sa bouche pour son cou, son torse et ce ventre, nouant ses doigts aux siens. Elle s’amusa pendant quelques minutes, lui passant son chandail par-dessus la tête pour se donner un accès plus facile. Mais au bout d’un moment, elle prit conscience d’un truc et se releva doucement et roula sur le côté sans explication. Niché contre le corps de Luis, toujours, refusant de le lâcher complètement. Elle posa sa tête dans son coup et haussa les épaules. « Can’t, the girls are still awakes. » Elle n’avait pas envie d’imaginer la réaction de son frère si elle traumatisait Esmeralda pour le restant de ses jours. Et la connaissant, elle devait être juste de l’autre côté de la porte.
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