Le grand jour était presque arrive, car depuis plusieurs semaines, ma sœur n’arrête pas de m’appeler pour finalisé le mariage de mon père. Facetime, skype et surtout qu’elle me laisse des messages sur mon répondeur avec un peu de nervosité dans sa voie. Ce n’est pas nouveau lorsqu’il y a quelque chose à organisé dans la famille et surtout pour le bonheur de plusieurs. Mon père va se marier dans quelques jours et j’étais très heureux pour lui. Mon frère Aaron et Alex était déjà en Europe pour aller aidé ma sœur et le reste de famille pour finalisé les préparations. Je quittais aujourd’hui avec ma jolie demoiselle pour l’Espagne et mes valises étaient presque terminer. Je crois que je n’ai jamais vue Evgenia aussi nerveuse et surtout cherchant des choses un peu dispersé dans ma chambre. Oui, elle est venu me tenir une belle compagnie et même que nous avions passé de belle soirée entre amoureux. Ce que je n’ai jamais eu depuis très longtemps et je compte en profité au maximum avec elle. J’affichais un sourire sur mon visage en l’a voyant dégagé une énergie tellement positive, qu’elle pouvait parfois me faire perdre mon équilibre. Valise à la porte et ma femme qui était maintenant prête, je l’embrassais sur la joue avant de prendre mon iPhone pour appeler un Taxi. Pour nous, s’était un grand départ. Tout en descendant de l’appartement pour aller près de l’entrée principale, le taxi arrivait et j’ouvris la porte pour Evy et le chauffeur de taxi semblait surpris de me voir. La plupart sont des gens qui proviennent d’un peu partout dans le monde et j’ai eu la chance d’avoir tombé sur un homme qui parlait ma langue maternelle. Tout en parlant, nous avions réussi à tout mettre dans le coffre et je pouvais déjà me voir près de ma famille sous un soleil chaud et avec une ambiance très enjouer.

Elle était nerveuse et je la comprends parce que moi aussi je serais nerveux si je rencontre sa famille. Ignorant comment les réactions vont être à mon égard, car je suis-je suis un joueur de foot. Peut-être que les perceptions vont être différente pour moi, mais on verra en temps et lieu. J’embrassais la main d’Evy pour lui donner de l’assurance et je pouvais peut-être m’attendre au pire en arrivant à l’aéroport de New York. La nouvelle passait au travers le monde et il fallait que je continue à vivre dans un monde de gloire et de victoire et surtout avec la célébrité qui me rattrape sans me donner la chance de vivre normalement. J’aime donner des autographes, prendre des photos avec des gens qui aime le foot et non parce qu’il aime un seul joueur pour faire croire à tout le monde qu’il me connaissance ou qu’il invente des histoires. J’ai souvent été mise dans des situations de ce genre et je n’aime vraiment pas ça. Enfin, je n’ai pas le choix et je ne fais que pas m’en mêler. Les gens peuvent bien penser ce qu’il veule et tout ce que je voulais en ce moment, c’est de rejoindre la femme que j’aime. Elle m’attendait avec les valises et je déposais une main sur son épaule.

« Evy, on y vas ? » Dis-je en caressant son épaule et lui donner un baisé sur sa joue.

Enfin la pression était disparu, mais simplement la voir nerveux me rendais nerveux aussi et surtout que j’avais toujours envie d’aller à la toilette, mais en ce moment, je ne pouvais pas y aller. Elle avait les passeports et les billets d’avion dans les mains. Je pris le tout pour les montrer aux gens derrière le comptoir et je pris les valises pour les mettre sur la balance. Je ne voulais pas payer pour du surplus et nous avions été chanceux. La femme avait l’air jeune derrière le comptoir et je me tenais près d’Evy pour ne pas qu’elle me dévisage avec son regard un peu trop dans la lune. Si sa continu comme ça, il faudrait se marier pour être tranquille, mais je veux aussi me marier tellement que je l’aime.

« Bon, une chose de faite et maintenant les douanes. Je n’aime pas ça… » Dis-je en ressentant mes mains moites.

Faire entrer les valises dans le coffre arrière du taxi, check. Arriver à l’aéroport de New York en traversant une vague de photographe et de fan qui avait cette connaissance que mon père était pour célébré son troisième mariage et ses garçons était pour prendre l’avion vers l’Espagne et surtout pour moi, car je suis la star des États-Unis avec David Beckam pour le foot. Il ne fallait pas oublier mon compagnie de foot, Thierry Henry qui a été aussi invité au mariage de mon père, donc check. Il y avait aussi la pesé des valises et la validation des billets d’avions avec nos passeports, check. Maintenant, les barrières pour aller attendre l’avion. J’étais toujours nerveux devant ça. J’enlevais ma montre, mes diamants aux oreilles et je mis mon sac dans un bac pour qu’il puisse passer au rayon X. Tout avait bien été pour Evgenia et maintenant, mon tour. Je traversais les lignes magnétiques. Le premier coup avait sonné. J’ouvris ma bouche pour montrer mes dents vers l’arrière qui avait des files de fer pour les tenir droite. Après ça, toute avait bien été et je pouvais souffler librement. Le doyen me regardait d’une manière très curieuse.

« Vous allez bien monsieur Garçia ? » Me demandais l’homme en s’approchant de moi.

« Oui, je vais mieux. Je suis toujours nerveux lorsque je traverse ici. » Répondais-je en prenant mes choses.

Le doyen souriait à ma réponse et me souhaitait de bonne vacance. Je lui serrais la main et je pris la main de ma charmante demoiselle et je l’embrassais tendrement. Marchant vers la section qu’il fallait prendre pour embarquer dans l’avion, je regardais en même temps qu’elle les magasins. Je voulais manger et j’ignorais quoi prendre. Je regardais Evy qui ne semblait pas dans son assiette.

« Ça va mon amour ? » Demandais-je en l’embrassais sur la tête. « Je vais nous prendre quelque chose à manger. Je ne veux pas que la pression de l’avion nous donne envie d’être malade. »

Je marchais dans le magasin devant nous. Un second cup et l’odeur du café m’avait attrapé assez facilement. Je nous pris un muffin avec un café pour quand même avoir quelque chose dans l’estomac. Ma banane de ce matin avait disparu dans le fin fond de mon estomac et je voulais au moins manger avant de quitter New York. Je donnais le muffin et le café à mon amour devant moi et nous avions attendu avant d’embarquer dans l’avion. Nous étions les premiers à embarquer. Nous étions chanceux et moi qui n’avait pas de patience en ce moment, car j’avais hâte d’être chez moi en Espagne, s’était le moment que j’attendais le plus. Passé 8 heures avec la plus belle au monde près de moi, j’ai de la patience pour ça. Je pris nos sacs et les plaçais au-dessus de nous avant de prendre place sur nos sièges. Je pris la main d’Evgenia et je lui affichais un sourire pour la rassurer.

« Je t’aime mon amour. Je suis content d’être avec tu sais. Nous allons passer des moments superbes avec ma famille. Tu es prête à passer 8 heures dans l’avion ? À me supporté ? » Dis-je pour rire un peu.