It's New York City bitches ! And it's my motherfucking dream

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'Cause if one day you wake up and find that you're missing me. {TOUT LE MONDE.}

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MessageSujet: 'Cause if one day you wake up and find that you're missing me. {TOUT LE MONDE.} 'Cause if one day you wake up and find that you're missing me. {TOUT LE MONDE.} EmptyMer 11 Nov - 1:07

    Salem. Lundi après-midi. Une ville bien pittoresque, avait-il pensé dès la première seconde où il avait vu apparaître le panneau signalant l’entrée de la ville. Le fixant silencieusement, il n’avait envie de le passer. Il s’agrippait tant est plus à son volant, espérant qu’en serrant celui-ci aussi fort, son courage prendrait le dessus. Mais rien n’y faisait. Il avait toujours été aussi superstitieux, et croyant en tous ces phénomènes paranormaux qui peuplaient la Terre. Bien sûr, il ne croyait pas en Dieu, en toute cette mascarade qu’était pour lui la religion, oh non. Il savait les théories sur l’évolution, et en était un fidèle suiveur, ayant toujours pensé que la science disait vrai. Et puis, de ses mots, la Bible était « a piece of crap full of bullshits ». Par contre, il croyait à la vie après la mort. Il avait toujours cru que le corps mourrait, mais que l’âme continuait de vivre après la mort, qu’elle errait parmi les Hommes durant l’éternité, afin de veiller sur ceux-ci. Il savait que sa mère le suivait, l’accompagnait au fur et à mesure de ses aventures et qu’elle était encore et toujours là pour lui donner des conseils, d’une façon plus que naturelle. Elle trouvait toujours le moyen de lui faire comprendre ce qu’elle pensait grâce au vent, à une image ou à n’importe quel phénomène. Et dans cette ville, plus que dans les autres, il imaginait qu’un tas d’âmes étaient présentes, prêtes à se venger du châtiment que nos ancêtres leur avaient fait subir.

    Pour couronner le tout, à leur arrivée, James avait eu la meilleure idée du siècle, à son goût, mais pas au goût de ses deux compagnons de route qu’étaient Sven et James. En effet, celui-ci voulait visiter le grand bois de la ville, qui était maintenant sombre étant donné que la nuit était déjà tombée. Et, juste pour arriver à ses fins, il avait sorti LA phrase qui avait convaincu le bassiste à entrer dans la pénombre créée par les arbres.

      JAMES : « Alors, Sven, cap ou pas cap de rentrer avec moi ?

    Il le haïssait d’avoir dit ça. Même plus, il avait envie de l’étrangler, vu comment il agissait pour foutre la trouille à ses amis en les amenant dans un bois. Sven leva les yeux au ciel. Il ne pouvait pas refuser, maintenant. Il relevait toujours les « cap ou pas cap » de ses amis, et cette fois-ci, James l’avait bien eu. Il était très doué à ce jeu, l’ayant déjà fait passer une nuit dans un manoir des plus flippants qui était dit hanté. Il sortit alors de sa voiture, faisant quelques pas pour s’approcher de l’entrée de la forêt, la mâchoire bien serrée.

      NICK : « Bon, tu viens ou quoi James ? », dit-il d’un ton provocateur, afin que son ami se dépêche de le rejoindre. Plus vite ils étaient rentrés, plus vite ils étaient sortis.
      LEWIS : « Hey, vous allez pas me laisser seul ici ? »
      JAMES : « Bah t’as qu’à te ramener. »
      LEWIS : « Y a pas moyen, j’viens pas. »
      NICK : « Allez mauviette, viens avec nous. »
      LEWIS : « C’est toi la mauviette. »
      NICK : « Non, parce que moi, j’y vais. »
      LEWIS : « Vous faites chier ! », dit-il en claquant la porte de la voiture.

    Il les rejoignit, muni de son appareil photo qu’il ne lâchait pas depuis le début de la tournée. Les amis entrèrent alors dans le fameux bois, James étant devant, Lewis au milieu et Sven complètement flippé à l’arrière. Très vite, un groupe de personnes les avait rejoints, et ils firent la visite des lieux ensemble. Le sol était humide, plusieurs flaques de boues étaient présentes au beau milieu du sentier que le groupe suivait depuis le début. Les arbres étaient gigantesques, et la simple lumière des lampes torches servaient à éclaircir le lieu. Un bruit. Sven sursauta, regardant dans la direction les yeux grands ouverts. Flash en pleine figure.

      LEWIS : « Et après, c’est moi la mauviette, hein ? »

    Sven le poussa en riant.
    Le concert se passa sans trop de soucis. Justement, le fait d’être sur scène le détendait. Sa basse à la main, ses doigts glissants sur le piano, il ne pensait qu’à la musique qu’il jouait, qu’aux paroles qu’il chantait, qu’aux cris qu’il devait pousser. Il en oubliait cette histoire de sorcière, si bien qu’il proposa aux garçons de faire durer la représentation un peu plus longtemps. Le concert finit, il avait voulu aller dans un bar. Le premier qu’ils trouveraient. Par chance, l’endroit était assez posé, laissant aux clients la possibilité de s’installer sur des banquettes extrêmement confortable – où l’un des membres avait décidé de commencer sa nuit – ou sur des tabourets bien rembourrés avec dossier au bar.

      NICK : « Hey, ça va pas ? », demanda-t-il avec intérêt à Lewis, qui ne semblait pas dans son assiette et qui abusait un peu sur l’alcool.
      LEWIS : « Sisi, ça va. », répondit-il sans conviction. Sven leva les yeux au ciel.
      NICK : « Lewis, ça fait je sais pas combien d’années que je connais ton petit air de chien battu quand tu vas pas bien, alors arrête de te foutre de moi et dis moi ce qu’il va pas. »
      LEWIS : « J’ai toujours pas de nouvelles. »
      NICK : « d’Alice ? »
      LEWIS : « Ouais. »
      NICK : « Allez, t’inquiète pas, il doit y avoir une explication. Et puis, maintenant que vous êtes fiancés, je suis sûr que tu doutes pour rien. »
      LEWIS : « Mais, ça m’énerve de pas savoir si elle va bien. Ou de pas savoir ce qu’elle fait. »
      BOURRE : « Elle doit sûrement se faire tirer par un autre mec. »

    Sven avala sa salive difficilement. Il voyait son ami se contracter en face de lui. Il fallait qu’il le calme. A peine Lewis commença-t-il à rétorquer que Sven posa sa main sur l’épaule de son ami en y faisant pression, l’incitant à le regarder dans les yeux. S’il ne restait pas zen, ça allait dégénérer. Et ça dégénéra. Tout se passa vite. Trop vite. Des nouvelles paroles, Sven qui tentait désespérément d’éloigné Lewis du gars. L’autre qui en rajoutait. Et le premier coup de poing qui partit. Lewis lui en avait mis une belle. Et le bourré était prêt à rétorquer. Quelques coups de poing, et Sven voulut se faufiler au beau milieu de tout ça pour que ça s’arrête. Malheureusement, l’homme qui avait trop bu et qui demeurait inconnu loupa sa cible première, et son poing vint se poser contre la joue de Sven. Avec le choc, il recula, et trébucha. Maintenant, c’était trop tard. Il était tombé. La table avait été trop proche. Le coin à portée de main de son crâne. Le choc. Assommé, allongé au sol, il ne bougeait plus. Il était inconscient, et le sang commençait à couler.

    Mercredi, fin de journée. 18h. Une chambre d’hôpital. La main de Sven se serra. Il prit une grande respiration. Ca y est. Il se réveillait. Après une opération qui avait été effectuée la veille. Enfin, il ouvrait les yeux, même s’il avait du mal. Tout était flou. Il se demandait comment il était arrivé ici. Puis, il sentit que sa main serrait peut être un peu forte celle qui le tenait. Et, en forçant un peu, il tenta de regarder qui était à ses côtés. Aurlanne.

      NICK : « Hey, puce. », dit-il faiblement en souriant.


    {J'me suis laissé aller pour la longueur. C'était pour expliquer le contexte, mais je pense que si on privilégie les posts courts, le sujet avancera plus vite.}
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MessageSujet: Re: 'Cause if one day you wake up and find that you're missing me. {TOUT LE MONDE.} 'Cause if one day you wake up and find that you're missing me. {TOUT LE MONDE.} EmptyMer 11 Nov - 21:31

    Quand on est jeune, on se sent si fort en ayant l’impression que rien ne peut vraiment nous arriver. Cette sensation est renforcée quand notre vie prend scrupuleusement le tournant souhaité. On tente de tout contrôler dans les moindres détails en omettant tout imprévu. Si on parvient à avoir cette maitrise, notre existence ressemble trait pour trait à une destinée écrite par nos soins sans prendre en compte la fatalité de cette puissance qui régirait le cours des évènements. On atteint le sommet sans penser à l’effondrement et pourtant, toute montée a sa descente. « Plus on s’élève et plus dure sera la chute » Proverbe chinois.
    Du haut de ses 22 ans, tout lui souriait. Aurlanne avait un adorable petit garçon, sa famille de cœur toujours aussi présente et un homme attentionné qui occupait ses pensées. Elle s’efforçait du mieux à concilier sa vie privée et professionnelle. Dans l’ensemble, on pouvait aisément parler de succès. Depuis une semaine, la brunette était conviée à toutes les réceptions et soirées sélect de la capitale française. Elle prenait soin de soigner son image et ses relations en s’exposant au côté de grands noms de la haute couture. Son rêve de petite fille devenait réel. Alors qu’elle félicitait Christian Audigier pour l’acquisition de son nouveau club, une jeune femme vint l’interpeller prétextant un appel urgent. Sans plus attendre, la chroniqueuse s’excusa auprès du milliardaire français.

    Trois mots prononcés par James firent à l’origine de sa descente : « Sven est inconscient ». Le chirurgien esthétique, proche du bassiste, tentait de lui expliquer brièvement la situation en parlant d’une bagarre dans un bar avec Lewis, de l’interposition de Nick, d’une chute et du fait qu’il allait être transporté en hélicoptère à NY. Quant à Aurlanne, elle ne parvenait pas clairement à s’exprimer, trop choquée par la nouvelle. Elle se contentait de quelques onomatopées sans avoir réellement conscience des évènements. Son monde avait basculé en l’espace d’une fraction de seconde.
    Sans plus attendre, l’italienne quitta les lieux en appelant l’aéroport Charles de Gaulle pour réserver deux places pour le prochain vol en direction de JFK. Son second réflexe fut de prévenir Nolan en allant à l’essentiel ; le savoir auprès de Sven pouvait la rassurer. Avec le soutien de Suellen, la brunette tentait de se montrer forte de manière à ne pas craquer devant son fils.

    Mardi. 10 heures du matin. 8 heures de vol Paris-NY, moins 6 heures de décalage horaire. Aurlanne se trouvait face à cette chambre sans trouver le courage d’y pénétrer. Elle appréhendait la vision de Sven allongé totalement inconscient et pour seule compagnie, le bruit angoissant des différentes machines. La brunette devait se montrer forte pour lui, pour être à ses côtés, dépasser sa phobie et lui prouver son attachement. Sans plus attendre, elle se décida à ouvrir la fameuse porte qui la séparait de l’homme qui avait une place prépondérante dans sa vie. La jeune mère resta un long moment à le regarder sans oser s’approcher bien trop pétrifiée par cette image. Elle finit par s’avancer prenant place sur la chaise auprès du patient. Aurlanne n’avait pas fermé l’œil de la nuit, le voyage avait été interminable, le décalage horaire était perturbant. La fatigue, le choc de la nouvelle et la vision de Sven sur son lit d’hôpital avaient fini par prendre le pas. Elle ne voulait pas craquer, elle ne le devait pas. Pour se faire, la brunette saisit la main de Sven et ressentit le besoin de lui parler comme s’il était en mesure d’être réceptif à ses mots. Sa gorge lui faisait horriblement mal, elle était totalement nouée. Malgré le fait qu’elle éprouvait des difficultés à s’exprimer, elle tenta le coup en ayant une voix éraillée.

      « T’as pas tenu ta promesse ! Première fois et pourtant, c’est celle qui me tenait la plus à cœur. |…|
      T’as pas le droit de nous faire ça, de me faire ça. Alors qu’on se connaissait à peine, tu t’étais engagé auprès de moi à ne plus jamais être hospitalisé. Je t’en veux, tu sais.
      T’étais si optimiste, confiant ! Tu parlais d’avenir en te projetant très loin. Ces projets, je peux pas les faire sans toi, Sven. Et là, tu vois, je me sens si seule, comme abandonnée. Je voudrais que tu te réveilles et que tu me dises que tout se passera bien, que tu seras toujours présent quoi qu’il advienne.
      Je voudrais que tu saches que même si j’suis pas très expressive, c’est pas pour autant que je tiens pas à toi. Au contraire. Là, tu sais pas à quel point, je me sens vide. Je pense à rien d’autres, j’arrive à parler à personne, je me renferme totalement. S’il te plait, me laisse pas comme ça longtemps. S’il te plait… je t’en supplie. »


    Aurlanne resta toute la journée à lui parler sans s’arrêter, lui remémorer des anecdotes, aborder un probable avenir sur différents tons. Parfois, elle employait l’humour pour dédramatiser la situation et se leurrer elle-même. D’autres moments, on pouvait la voir au bord des larmes. Le personnel médical ou encore les proches de Sven passaient et ressortaient de la chambre. Aurlanne, elle, ne bougeait pas, n’avait pas d’appétit et restait assez silencieuse avec le reste du groupe quand on l’interrogeait sur son état. La brunette savait que Luka était entre de bonnes mains avec sa marraine. Au moins, Isis lui avait ôté une préoccupation supplémentaire.
    La nuit de mardi à mercredi avait été aussi longue que la précédente. Aur’ avait peu dormi assise sur cette chaise pour ne pas dire, pas du tout. C’était un réel supplice. Bercée par le son des machines, la chroniqueuse avait de plus en plus de mal à ne pas craquer. Le facteur fatigue ne faisait qu’amplifier les choses. Elle se sentait vulnérable et avait la sensation qu’aucune des personnes présentes, si proche soit-elle, ne pouvait ressentir la même souffrance.

    Mercredi. 18 heures. Des heures qu’elle lui tenait la main, s’informait auprès du personnel médical, évitait d’affoler les proches et s’efforçait à faire bonne figure. Aurlanne avait tout annulé pour rester auprès de Sven. Ces dernières heures, sa vie tournait autour de celle du bassiste hospitalisé.
    Lorsqu’enfin, l’italienne sentit une pression sur sa main, son cœur manqua un battement. Prise de panique, elle ne savait pas si elle devait prévenir une personne de l’hôpital dans l’immédiat ou simplement exprimer sa joie de le voir réveiller.

      « Je… »


    Relâchant totalement la pression accumulée depuis de nombreuses heures, Aurlanne ne parvint pas à contenir son émotion et craqua littéralement pour la première fois. Elle passa une main sur son visage, soulagée.

      « Tu m’as fais peur ! Plus jamais ça… Plus jamais ! »


    L’italienne leva les yeux au ciel comme pour remercier cette « puissance » bien qu’elle n’était en rien pratiquante. Elle finit par reporter son attention sur lui sans penser une seule seconde qu’il pouvait avoir oublié les dernières semaines passées auprès d’elle.

      « Sven… Je t’aime. »

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MessageSujet: Re: 'Cause if one day you wake up and find that you're missing me. {TOUT LE MONDE.} 'Cause if one day you wake up and find that you're missing me. {TOUT LE MONDE.} EmptyVen 13 Nov - 12:32

    Une vraie famille c'était quoi ? Des personnes qui s'aiment plus que tout, qui tiennent les unes aux autres et cela malgré les mauvais moments de la vie ? Des personnes ayant le même sang, le même nom de famille, la même parenté... Les parents donneraient leur vie pour leurs enfants, entre frères et soeurs aussi vice versa quand ceux-ci grandissent. Ils entretenaient tous une relation forte qui pouvait passer au dessus de tout. Non ? Ce n'était pas comme ça ? Ce n'était pas cette relation qu'on montrait de nos jours dans les séries tv ? Le frère qui va évader son grand frère de prison. La grande famille qui se soutiennent entre fères et soeurs dans n'importe quel moment. Les enfants qui savent qu'ils peuvent se confier à leur père réverent. La fille qui retourne au près de sa mère mourante malgré ce que cette dernière lui a fait subir durant son enfance. Il y avait pleins d'autres exemples du genre. Les séries ne reflêtaient pas toujours la vérité pour Evan. C'était même rarement qu'elles le reflétaient. C'était juste, pour la pluspart, des séries bidons, ce qui ne l'empêchait pas de les regarder quand même. Il avait commencé à le faire quand il était en Floride et qu'il sortait avec Aurlanne, cette jeune italienne qu'il avait rencontré dans une exposition d'art. Ils avaient pu voir leur premier point commun, leur passion pour l'art. Elle avait beaucoup aimer les photos d'Evan. En ne sachant pas que c'était lui même qui les avaient pris. Il ne lui avait pas dis son prénom tout de suite et elle non plus. Elle en avait critiquer d'autres ce qui lui avait plu d'ailleurs. Bref ! Elle était une fan de ce genre de séries et quand elle passait la nuit chez lui, parfois, ils s'installaient juste confortablement sur le lit du jeune Ackerman et ils passaient la nuit à les regarders les uns après les autres, à rire par moment. Il aimait la regarder quand elle regardait la télé. Elle avait des expressions suivant ce qu'il se passait. C'était bizarre pour lui d'ailleurs, jamais auparavant, il n'avait fait ce genre de chose, avec elle, il était différent on aurait même pu croire qu'il était amoureux... Il disait toujours qu'il l'adorait jamais qu'il l'aimait. C'était un truc à laquelle il tenait mais pourquoi ? Il se l'était demandait il y a un mois. Il était avec une fille super mais il avait tout gâcher quand elle avait voulu que les choses soit plus sérieuse entre les deux. A présent c'était assez différent. Il avait vu Luca et ce dernier ressemblait fortement à Nick. Elle avait beau ne rien lui dire sur la vrai identité du père, Evan jurerai que c'était son jumeau, qu'à peine Aurlanne et lui avait rompu qu'elle était allé voir Nick et... Il serra la mâchoire rien qu'en y pensant.

    Le jeune Ackerman était sur le point de se rendre à l'hôpital. Ou se trouvait son jumeau en ce moment même. Ce dernier avait eu un accident dans un bar à cause d'une baston qui avait dégénéré. A ce qu'il parrait c'était à cause de ce Parker. Encore lui, Evan savait que ce dernier finirait par causer des problèmes à Nick, il avait seulement penser que ça se serait fait plus tôt. Il n'avait jamais aimer Lewis et ça depuis qu'il avait intégré l'équipe de football du lycée et qu'il s'était fait ami ami avec son jumeau. Enfin soit ! Valait mieux ne pas s'attarder sur le sujet, ce qui ne ferait qu'énerver le jeune Ackerman encore plus. Il avait eu peur quand Nolan l'avait prévenu que Nick était à l'hôpital qu'il se faissait transferer et tout. Pour la première fois, il avait ressentit ce truc en lui. Qui lui avait mal... Il avait eu peur pour son frère, que ce dernier parte avant que les choses ne soient arranger entre eux, avant qu'il ne le lui pardonne tout ce qu'il avait pu se passer durant leur enfance. Il s'était dépêcher de se rendre à l'hôpital pour aller le voir, et prendre d'autres nouvelles, sauf qu'il y avait déjà tout le monde. Jonah, Nolan et des autres personnes s'y trouvait et Evan s'était tout de suite senti pas à sa place. C'était étrange en un sens. Il était celui qui était le plus proche de Nick dans le sens qu'ils étaient jumeaux et qu'ils avaient le même sang qui coule dans leurs veines... Et pourtant, à ce moment précis, c'était comme s'ils n'étaient rien l'un pour l'autre. Il était là, les regardant tous les uns après les autres. Il ne faisait pas parti de la vie de son frère. Que ce n'était pas lui sa famille mais tout ce monde qui était là pour lui et qui attendait des nouvelles. Il n'était pas resté et personne n'avait remarquer sa précense. Il s'était rendu à Central Park ou il avait passer le reste de la journée en demandant des nouvelles à Nolan ou à Isis. Cette dernière insistait pour qu'il les rejoigne mais Evan avait pretexté qu'il voulait mais qu'il avait un truc urgent à faire... Qu'est-ce qu'il pouvait y avoir de plus urgent que son frère à l'hôpital hein ? Il avait énervé la jeune femme mais s'était contenté de cela. Et aujourd'hui, il s'était enfin décidé à s'y rendre pour de bon, se disant qu'à cette heure-ci, il ne devrait pas y avoir du monde.

    Evan arriva près de la porte d'entrée qu'il ouvra doucement, comme s'il faisait plus de bruit ou s'il l'ouvrait brusquement, cela réveillerait son frère. A demi ouverte, il vit et entendit Aurlanne parler.
    « Tu m’as fais peur ! Plus jamais ça… Plus jamais ! » Il fronça les sourcils. Nick était réveillé ? Etait-il arrivé pile au bon moment ? En voyant les yeux ouvert de son frère, il eut un grand soulagement qui le parcourut. Depuis deux jours, il avait eu ce sentiment en lui, il ne s'était jamais senti aussi mal si ce n'est quand sa mère était décédée... Et là, tout le tension s'était relâchée d'un coup. Il allait dire quelque chose mais Aurlanne pris la parole avant lui, ne remarquant pas qu'il se trouvait dans la même pièce qu'elle. « Sven… Je t’aime. » Puis Nick répondre, « Moi aussi. ». Evan ne bougea pas d'un pouce pendant une seconde mais ce qu'il lui parut une éternité. Puis instinctivement, il referma la porte aussi doucement qu'il l'avait ouverte et tourna la dos à celle-ci pour s'y appuyé. Il ne voulait pas croire ce qu'il venait d'entendre. Il savait qu'il se passait quelque chose entre son frère et son ex mais il n'avait jamais voulu vraiment se l'admettre mais là... Tout ce qu'il avait redouter devenait réel. Il se passa une main dans les cheveux comme il le faisait à chaque fois qu'il était nerveux, et là on pouvait bien le dire qu'il l'était plus qu'un peu. Aurlanne avait été sa relation la plus sérieuse et la plus longue... Il n'avait pas été parfait pour elle... D'accords, qu'elle ai été voir ailleurs mais son frère ? Nick ? Il avait encore trop du mal à y croire. Il serra la mâchoire pour la deuxième fois de la journée. Il resta derrière derrière la porte pendant un moment... Il ne savait pas vraiment combien de temps mais une infirmière arriva vers lui pour entrer dans la chambre de Nick, il se poussa pour la laisser entrer, restant sur le côté de la porte tout en les regardant les trois... Ca ne pouvait pas être possible... Il était dans un cauchemar et il allait bientôt se réveiller.
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MessageSujet: Re: 'Cause if one day you wake up and find that you're missing me. {TOUT LE MONDE.} 'Cause if one day you wake up and find that you're missing me. {TOUT LE MONDE.} Empty

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