Lorsque Shaelynn déboula en trombe dans le bureau de Mr Tchekov-Welsch, elle eut comme une impression de déjà vue. Ce n’était pas le même bureau, ce n’était pas le même homme mais elle ne pût s’empêcher de penser à Dillon, à ce jour où elle était arrivé furax parce qu’il avait décommandé le groupe qu’elle avait choisit pour le mariage de son meilleur ami. Aujourd’hui la raison de son énervement était tout autre, mais Mr Wolf était cette fois encore concerner. Avec l’aisance qui lui était propre, Shaelynn posa un article de journal sur le bureau de Maël qu’elle venait importuner. En gros titre « Une organisatrice de mariage donne des boutons au célèbre héritier Wolf. » Si le titre de l’article ne faisait qu’évoquer la pure vérité puisque Dillon avait eut la varicelle, l’article en lui-même faisant des conclusions hâtive et était loin d’être élogieux. Sans aucune preuve, il présentait Shaelynn comme une ex conquête de Dillon, s’appuyant sur le fait qu’elle avait été sa cavalière à un gala de charité, et il expliquait les bonbons de l’héritier comme une réaction allergique à sa présence. « De quel droit vous permettait-vous d’affirmer qu’une femme est repoussante au point de provoquer une crise d’urticaire ??? » demanda-t-elle des plus vexer par l’article. Si cette histoire lui tenait autant à cœur c’est qu’elle avait moins de deux ans pour trouver un époux, sans ça ses enfants lui seraient retirés… Longue histoire… Mais ce n’était certainement pas en se trainant une réputation de laidron qu’elle allait s’attiré les faveurs des hommes de New-York. « Je suis tout simplement outré qu’on vous laisser exercer votre métier. Vous déshonoré tout les journalistes qui mérite ce titre et qui EUX ne se contente pas d’écrire un tissu de mensonge dans le seul de vendre. Vous m’écœurez Monsieur Tchekov-Welsch ! » Devant le silence de son interlocuteur, Shaelynn resta perplexe. « Pourquoi vous laissez vous faire sans réagir ? » demanda-t-elle ayant l’impression que quelque chose clocher.
Notre russe avait eu du mal à se lever ce matin là. Il aurait voulu rester chez lui, allez savoir pourquoi, mais disons que la motivation n'était pas vraiment là. Mais bon, s'il voulait pouvoir payer son loyer en fin de mois, disons qu'il n'avait en réalité pas le choix. Sinon, il risquait de perdre son taf et ça, c'est ce qu'il désirait le moins. Il s'étira donc un long moment avant de se mettre debout. Il se dirigea vers la cuisine, en sortit le lait puis attrapa les céréales. Un bon petit déjeuner pour bien commencer la journée, il n'y avait rien de mieux selon lui. Et puis, ça lui permettrait d'immerger un peu ne se doutant pas une seule seconde qu'il allait avoir une journée on ne peut plus éprouvante.
Ensuite, il prit la direction de la salle de bain afin de se préparer. Il ne mit pas longtemps et donc quelques minutes plus tard, il était prêt pour aller bosser. C'était partit pour le boulot. Il ferma sa porte à clef et monta dans son véhicule. Peu de temps plus tard, il se garait devant l'établissement ou était établi son bureau. Et oui notre jeune russe était donc à présent journaliste au grand dam de son père qui aurait surement préféré qu'il se tourne vers la mafia. Mais, faire des trucs pas net, ce n'était pas le genre de Maël. Il préférait avoir une vie des plus simples. Une fois dans son bureau, il s'installa dans son fauteuil mais fut rapidement déranger. Une jeune femme venait de faire irruption dans la pièce et posa un article sur la table. Il le reconnut rapidement puisque c'était l'un de ces derniers écrits. Il leva la tête vers la jeune femme, une belle femme d'ailleurs en passant. Il la regarda un instant, la laissant s'énerver toute seule. Il n'avait rien à dire. Il faisait juste son boulot c'était tout. Après, elle n'était pas la première à se plaindre mais ne serait surement pas la dernière. Après il ne faisait que répondre aux désirs de son patron. Il était clair que si il avait été rédacteur en chef, il aurait écrit d'autres articles mais pour l'instant, il n'avait pas vraiment son mot à dire. Finalement, elle s’arrêta enfin, il allait finalement pouvoir en placer une. C'est bon ? Vous avez terminé ? Je peux parler ? lança t-il après le monologue de la jeune femme. Écoutez je ne suis QUE journaliste. Je réponds donc aux demandes du rédacteur en chef qui décide des articles. Mais apparemment vous ignorez comment fonctionne un journal. lança t-il ironiquement. Il n'avait pas de temps à perdre avec une énième personne qui lui en voulait
Shaelynn n’en croyait pas ses oreilles ! Une chance pour Mr Tchekov-Welsch que sa mère lui ait apprit à garder son calme en toutes circonstances. La jeune Lewis avait été élevé dans les règles de l’art, apprenant les bonnes manières et la politesse en même temps que l’apprentissage de la lecture. Sa mère avait toujours mit un point d’honneur à ce que ses filles soient respectueuses. Aussi Shaelynn garda un ton posait bien que son regard trahissant son agacement. « En effet je ne suis pas journaliste et étant donné votre façon de faire, dieu m’en préserve ! » rajouta-t-elle des plus cassantes. Il semblait ne prêtait aucun intérêt à ses réclamations. Etant donné le contenu des articles il devait sans nul doute avoir l’habitude d’accueillir des usagers mécontents. Si on en croyait ses dires il n’était responsable de rien, il se contentait de suivre les ordres, d’écrire ce qu’on lui disait d’écrire. Au fond elle avait de la peine pour lui. Elle avait toujours eut dans l’idée que le métier de journaliste devait être passionnant mais c’était loin d’être l’impression qu’elle avait en le regardant. Il semblait faire son taff. Point. « Puisque vous affirmez n’avoir pas le choix de vos écrit, pourrait-je m’entretenir avec le directeur du journal ? » Au fond Shaelynn ne savait pas ce qu’elle voulait parce que l’article était déjà parut et même si elle obtenait gain de cause, c’était déjà trop tard. Peut-être qu’au fond elle avait juste besoin de se défouler un peu. Elle imaginait d’avance la tête que ferait Mr Wolf quand il verrait l’article. Après l’avoir traité de sorcière, il l’affublerait sans doute d’un surnom encore pire, se demandant ce qu’il avait bien pût faire au monde pour mérité ça. C’était sûrement pour ça qu’elle le prenait aussi à cœur. Dillon… A croire qu’il lui avait retourné l’esprit. Oh elle n’avait pas un cœur de pierre mais lorsqu’on est mère de douze enfants on ne peut pas se permettre de tomber amoureuse du premier venu. Mais peut-on vraiment dicter au cœur sa loi ? Shaelynn arrivait à peine à faire comprendre à ce maudit journaliste à quel point cet article était offensant, alors faire taire ses sentiments semblait être compliqué !
S'énerver n'était pas vraiment dans les attributions du jeune Russe. Il avait apprit a resté calme, probablement du à son passé pas vraiment atypique. Disons que avec un père comme le sien il valait mieux être ainsi, c'est moi qui vous le dit. Et donc l'énervement de la miss qui se trouvait en face de lui ne lui faisait vraiment ni chaud ni froid. Vraiment, ça lui importait peu, elle se calmerait bien vite. Il fonctionnait ainsi, monter sur ses grands chevaux c'était pas vraiment dans le tempérament de notre russe. Mais par contre son pic ne manqua tout de même pas d'énerver notre jeune homme calme. Il respira un bon coup. Et ben désolé mais il faut bien que j'ai un taf pour payer mes factures. Si c'est pas votre cas c'est le mien. Après vous pouvez pensez n'importe quoi de mon job je m'en contrefiche mais alors royalement. lâcha t-il alors exaspéré. Il avait pris ce travail un peu contrains de forcé alors qu'il préparait son mariage. A la base il aurait voulu faire la rubrique des fais divers ou même celle des sports. Mais, il avait eu cette opportunité et un mariage coutant cher, il n'avait pas réfléchi bien longtemps. Payer un mariage quand on est chômeur ce n'est pas vraiment possible.
Le directeur est absent pour la journée répondit il alors ayant reprit son calme. Il ne se voyait pas se confier à cette inconnue, dire qu'il avait prit ce job un peu contrains et forcé. Mais le fait qu'elle voit mal le job qu'il exerçait l’embêtait un peu. Et puis, il y avait pire, les paparazzis sont bien pires non ? De plus l’article déjà parut, elle n'allait pas pouvoir faire grand chose à part passé pour la râleuse de première, sur ce coup là, Maël ne voyait pas la raison de sa présence ici. Mais d'un autre côté il ne pouvait que comprendre sa frustration. Comment aurait t-il réagit si un article sur lui avait paru disant la vérité sur sa personne. Il voyait les gros titres :"Maël Tchekov-Welsch est le fils d'un mafieux". Pas tip top tout cela donc oui, après réflexion il l'aurait mal prit. Hum, à part m'excuser auprès de vous pour ça, je ne vois de toute façon pas ce que je pourrais faire d'autre dit il en lui souriant gentiment, preuve qu'il ne cherchait vraiment pas la merde.
« Le directeur est absent pour la journée » Comme de par hasard ! pense-t-elle. Le directeur était toujours absent quand on demandait à le voir. Dans un sens c’était peut-être mieux ainsi, elle n’aurait fait que ce tourné en ridicule. « Hum, à part m'excuser auprès de vous pour ça, je ne vois de toute façon pas ce que je pourrais faire d'autre »Elle lui rendit son sourire, se rendant bien compte qu’il était aussi innocent qu’elle dans cette histoire. « Excuse accepté » dit-elle en se calmant, sa colère étant retombé comme un soufflé. Elle poussa d’ailleurs un soupir avant de se laisser tomber sur la chaise qui se trouvait face à elle. Au final elle ne savait pas trop ce qui lui avait prit de venir ici. Elle avait besoin de conseil. Elle aurait bien demandé à Dastan, mais son noble de meilleur ami s’y connaissait encore moins en histoire d’amour qu’elle. Non ce qu’il lui fallait c’était l’avis d’un homme, de quelqu’un qui saurait ce qui pouvait bien ce passer dans la tête de Dillon. Son regard se posa sur le jeune journaliste et un sourire étira ses lèvres, il était le cobaye idéal ! « Je peux vous posait une question ? Vous allez surement la trouvez déplacer parce qu’on ne se connait pas mais… Est-ce que vous avez une petite amie ? » En prononçant ces mots l’organisatrice de mariage réalisa qu’il pourrait facilement penser qu’elle le draguer. « Ce n’est pas ce que vous pensais. Mon cœur est prit. Je voulais juste savoir… comment lui avait vous montré qu’elle vous plaisiez ? Vous étiez un garçon sérieux avant d’la rencontrait ou vous collectionniez les filles ? » Voilà qu’elle se mettait à discuter avec le premier venu. Pas de doute Dillon la rendait folle ! Pourtant elle n’arrivait pas à ce le sortir de la tête, à croire que c’était lui qui lui avait jeté un sort ! Mais si parfois Dillon était des plus adorables avec elle, elle ne cessait de se rappeler sa réputation. Elle n’était pas du genre à jugé sans connaitre mais il n’avait pas vraiment le profil du prince charmant. Elle ne voulait pas être qu’une fille de plus. Elle voulait être LA fille ! Mais peut-être qu’il était trop tard pour elle. Elle avait était LA fille de Scott et elle l’avait lâchement abandonné le jour de leurs mariage…
Et oui, le directeur avait pas mal de rendez vous prévu à l'extérieur cette semaine. Même Maël le croisait que très rarement alors qu'il était là tous les jours pour son travail, c'est dire. N'étant pas vraiment quelqu'un qui aimait chercher la merde, il en vain à vouloir apaiser les tensions. Il s'excusa donc au nom du journal même si au final, il était innocent, c'était soit cet article, soit le chômage donc bon. Il n'était pas fier d'écrire de telles articles mais s'il voulait un salaire en fin de mois, c'était comme ça, et pas autrement. Elle accepta donc ses excuses ce qui rassura le jeune russe qui n'avait vraiment pas envie d'avoir quelqu'un sur le dos présentement. Il vit sa colère retomber et donc, il soupira de soulagement, pensant que la discussion allait se terminer là. Mais apparemment, il se plantait sur toute la ligne.
En effet, la jolie jeune femme s'assit sur la chaise se trouvant à côté d'elle et reprit la parole. Euh oui, allez y répondit-il alors plutôt hésitant. Il fronça alors les sourcils ne comprenant pas ou elle voulait en venir dans ses interrogations. Sur le coup, il aurait pu croire qu'elle le draguait ouvertement mais elle contredit rapidement sa pensée. En plus la question le gênait, depuis sa rupture c'était plutôt difficile à encaisser. Non, je suis célibataire, s'entendit il finalement répondre. Il réfléchit un instant. Disons que ça c'était fait assez facilement. Mais quand j'avais quelqu'un, ça c'est fait assez simplement en fait. Non, j'étais plutôt sérieux. Et oui, Maêl n'était pas du genre à courir 2 lièvres à la fois. Mais, pourquoi toutes ces questions ? vint il finalement à lui demander. Après tout, ni l'un ni l'autre ne se connaissait et pourtant elle l'interrogeait sur des moments de sa vie qui était, avouons le plutôt personnel. Laissez moi devinez ... Dillon Wolf n'a pas avoir avec tout ça par hasard ? Il avait fait un article sur l'hériter et l'inconnue se trouvant en face d'elle donc, le rapprochement était plutôt facile à faire.
« Mais quand j'avais quelqu'un, ça c'est fait assez simplement en fait. » Ce faire tout simplement… Quand on a 16 ans, aucune responsabilité okays. Mais quand on a 25 ans, 12 enfants et la personne qui vous plait est réputé pour collectionner les femmes peut-on vraiment espéré que ça se passe « tout simplement » ? Shaelynn en doutait. Le pire dans tout ça c’était qu’elle ne savait même pas ce qu’elle voulait. Quand elle était avec Scott le problème était qu’elle n’avait pas d’enfant et qu’elle n’en aurait jamais. Le problème désormais c’était qu’elle AVAIT des enfants ! Dillon n’était le genre d’homme à se marié et à élever des gosses. Hors elle, elle n’avait pas le choix, elle DEVAIT se marié ! Elle imaginait déjà la tête du riche hérité s’il apprenait toute la vérité concernant ses enfants… Elle ne devait pas tomber amoureuse de lui, il valait mieux pour elle qu’elle choisisse un homme prêt à s’engager… « Mais, pourquoi toutes ces questions ? Laissez moi devinez ... Dillon Wolf n'a pas avoir avec tout ça par hasard ? » « Quoi ? Euh… non… pas du tout ! » Dit-elle en se redressant pour reprendre contenance, essayant tant bien que mal de cacher ses airs confus. Que lui avait-il prit de ce confier comme cela à un inconnu !? Sa mère ne l’avait pas enlevé ainsi. Elle l’entendait presque. « Shaelynn, votre comportement est tout simplement inconvenant. Vous me faite honte ! » . Un léger sourire effleura les lèvres de Shaelynn tandis qu’elle pensait à sa très chère mère restait en Ecosse, Dieu merci ! Elle l’adorait, mais moins elle lui parlait mieux elle se portait. « Je suis vraiment confuse je n’aurais pas dût vous posez ces questions et vous importunez ainsi. Je me présente à vous comme une véritable furie et vous confond ensuite avec un thérapeute. Vraiment toutes mes excuses. En plus vous devez sûrement avoir beaucoup de travail. Encore désolé. » Lui dit-elle en souriant. Il fallait qu’elle arrête de voir Dillon sinon elle allait finir par être bonne à enfermer !
Maël ne savait pas trop ou allait mener cette conversation, surtout que la demoiselle était au départ venu pour l'incendier, l'insulter .... Et au lieu de ça, voilà qu'il avait changer son tablier de journaliste pour devenir conseille en amour. C'était assez étrange, surtout qu'il continuait à penser de ne pas être l'homme de la situation. En effet, la seule femme qu'il n'avait jamais aimé était en réalité sa cousine dont il ignorait l'existence, donc bon, question amour, il aurait lui aussi plutôt eu besoin d'un Hitch en puissance.
Finalement, il se mit à l'interroger à son tour. Il avait comme qui dirait une sorte de pressentiment que le fameux hériter Dillon Wolf n'y était pas vraiment étranger. Bien entendu, l'inconnue se mit alors à nier mais, il décela dans son visage, sur ses traits que ce n'était que mensonge mais bon, il ne lui fit aucunes remarques à ce sujet. Ah d'accord, je ne vous poserais pas d'autres questions alors ... après tout, ça ne me regarde pas vraiment finit il donc par répondre, plutôt gêné de la situation. Après, il la comprenait, il était finalement plus simple de se confier à un inconnu que à un proche, c'était étrange, mais c'était ainsi. Ohh ne vous en faites pas ce n'est pas grave. Et, j'ai souvent entendu dire que c'est plus simple de se confier à quelqu'un qu'on ne connait pas, allez savoir pourquoi. répondit il finalement. Il ne savait pas trop ou ça allait le mener, mais ça lui faisait une petite pause dans son travail assez harassant du jour.[/color]
Quand le journaliste affirma qu’il était plus facile de se confier aux inconnus, Shaelynn eut un léger sourire. « Aux inconnus peut-être, aux journalistes je doute que ce soit une brillante. Loin de moi l’envie de vous jugez monsieur mais admettez que vous exercer un métier qui n’inspire confiance. » La dernière chose dont la jeune Lewis avait envie c’était retrouvé une fois de plus son nom dans les journaux. Elle préférait être méfiante sur ce coup là. « Et il n’est pas dans mes habitudes de me confier. Inconnu ou non. » Dit-elle avec un sourire, se dirigeant vers la porte, bien décidé à quitter les lieux quand un oiseau vint atterrir sur le sol… Il était passé par la fenêtre ouverte et il se trouva là, immobile. Shaelynn se retourna vers le journaliste, ne cachant pas sa surprise et ne savant pas quoi faire. Elle se rapprocha de l’animal en cherchant à savoir s’il était mort. Elle fût quelque peu soulager de se rendre compte que ce n’était pas le cas puisque ses poumons gonfler et dégonflé. Toutefois s’il s’était trouvé en excellente santé il serait empressé de rejoindre le ciel pour conserver sa liberté. Au lieu de ça il restait là, immobile. La jeune mère se pencha au dessus de lui, hésitant à trop s’approchant ou encore à le toucher. Elle se releva et regarda Mr Tchekov-Welsch. « Vous vous y connaissait en animaux blessaient ? » demanda-t-elle car après tout on ne sait jamais… Pour sa part, depuis qu’elle n’élevait pas moins de douze enfants elle était devenue experte en égratignure, pansement, et mille et une façon de traiter différente blessure superficielle. Mais alors les oiseaux… Elle n’y connaissait vraiment rien ! Mais elle refusait de laisser mourir le pauvre petit animal.
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Notre russe avait eu du mal à se lever ce matin là. Il aurait voulu rester chez lui, allez savoir pourquoi, mais disons que la motivation n'était pas vraiment là. Mais bon, s'il voulait pouvoir payer son loyer en fin de mois, disons qu'il n'avait en réalité pas le choix. Sinon, il risquait de perdre son taf et ça, c'est ce qu'il désirait le moins. Il s'étira donc un long moment avant de se mettre debout. Il se dirigea vers la cuisine, en sortit le lait puis attrapa les céréales. Un bon petit déjeuner pour bien commencer la journée, il n'y avait rien de mieux selon lui. Et puis, ça lui permettrait d'immerger un peu ne se doutant pas une seule seconde qu'il allait avoir une journée on ne peut plus éprouvante.