|  Sujet: Have you ever feel the rain ? - Free Sam 18 Juil - 18:04 | |
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Il suffit que je veuille courrir, et c'est partit, la pluie fait encore des ravages.
New york était plongé dans une espèce d'ambiance grise, très particulière qu'on aurait crut tout droit sortie d'un film de Tim Burton. Les nuages cachaients les grattes-ciels, on entendait le bruit de l'orage comme un lointain soupir, et pas un chat dans central Park. Pourtant nous étions samedi et il était dix sept heure. June avait voulut courrir, ce qu'elle ne faisait habituellement jamais. Cela lui avait prit comme une envie de clope, ou une envie d'aimer. Elle c'était décidée a effacer toutes les marques de fatigue de la veille et d'êtrener tout ce qu'elle avait acheté : des lunettes de soleil over size, un brassart pour son ipod et un survett' hors de prix. Elle s'imaginait déja courrir comme ces filles que l'on voit dans les films, heureuses et classes. Son délire avait été d'une durée très courte. Elle tronait la, ces cheveux trempés, et ces baskets pleines de boues. Les rares courreurs avaient pliés baggages et rejoints le parking au plus vite, il ne restait que June dans l'allée et un couple ignorant la pluie et s'aimant. De quoi pourrir la journée de J.
La vie c'est simple comme un sudoku, ou on maitrise ou on ce plante lamentablement. Voila la pensée du jour de J; qui n'a que sa a faire, penser de toute facon. La pluie c'est calmée maintenant et on peut distinguer des petites eclaircies dans le ciel. A peine de quoi ce réjouir en fait. June est entrée dans le salon de thé qui surplombe the Mall, il n'y personne, juste elle et un barman louche qui semble ansorbé par ce qui ce passe par la fenêtre. La piêce est chaleureuse et agréablement bien décorée. On parle de ce salon de thé comme le repaire des amoureux qui passent leurs après midis ensolléillées enlacés a Central Park. Pas de quoi rendre Jalouse June qui vient juste ce réchauffer. La pluie la trempée, et elle deteste sa. Il n'y a pas pire torture que d'avoir ces chaussures remplies d'eau et son pantalon qui colle affreusement a la peau. Loin de la maison en plus, aucun courage de rentrer, même la douche a moitié froide, manque de moyen oblige ne la fera changer d'avis, June vas s'asseoir a une table et attendre que sa passe.
Depuis deux heure, l'orage n'est pas passé, la pluie tombe toujours et June est loin d'être sêche; son portable n'a plus de batterie, c'est la poisse. Elle ressemble a une vieille femme seule, assise la a attendre les yeux dans le vague. La porte s'ouvre, enfin. |
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