Sujet: Un peu de vandalisme + un Lapin | PV Midnight | Lun 17 Aoû - 0:22
Aujourd’hui une magnifique s’annonçait, et je ne dis pas ça juste à cause du beau temps. Enfin si déjà d’une y a ce magnifique soleil qui règne incontestablement sur le ciel d’un bleu éblouissant sans aucun nuage blanc aux alentours, mais bon y a pas que ça qui fait que je sois de bonne humeur et qu’aujourd’hui fera partie des bon jours. Nan c’est parce qu’aussi en ce Lundi commence la semaine ou je suis sous la garde de mon père, depuis que mes deux parents ont prit la décision de se séparer ils vivent chacun de leur côté et en attendant que le juge ait prit une décision nôtre garde leur est partagé, ils nous voient une semaine sur deux. Il est inutile de vous préciser que mon parents préféré est mon père (c’est flagrant nan ? Et puis bon si c’est pas le cas maintenant vous le savez, avec je me suis toujours bien entendu, j’ai pu créer une certaine complicité et même si dans son passé il a fait de nombreuses erreurs je lui pardonne et n’hésite pas à lui dire quoi que ce soit, au détriment de ma mère avec qui je n’entretiens qu’une relation mère-fils des plus banale, je l’aime comme une mère mais si j’ai un problème, que ce soit de cœur ou bien avec des mecs ça ne sera pas vers elle que je me tournerais mais plutôt vers mon père. Enfin bref fermons cette grande parenthèse pour en venir à la fabuleuse journée qui m ‘attends, une journée des plus radieuse et mouvementé. J’avais tout prévu pour aujourd’hui, petit repas avec mon père avec ensuite un peu de shopping (hey ouais c’est pas réservé que aux nanas ) et pour finir direction le SPA de l’hôtel ou je me ferais faire un magnifique massage par une de ces superbes masseuses (jaloux ?). Ha ouais je vous ai pas dit mais depuis leur séparation mes parents ne voient plus trop, voir même plus du tout. Contrairement à ma mère qui elle a prit la décision de rester dans la demeure familial mon père lui a préféré la quitter pour s’installer dans un hôtel grand luxe et ce de façon temporaire, juste le temps que le divorce soit prononcé.
Bip bip bip…Il est 13h, il y a un soleil magnifique et la température et de 30° à l’ombre, une chaude journée digne d’un bel été. Alors un conseil n’oubliez pas votre crème solaire.
Trois sonneries espacé de quelques secondes d’intervalles se mirent à retentirent dans toute l’enceinte de ma chambre pour ensuite laissé la à une voie nous donnant de brèves information sur la journée. Ne désirant pas vraiment entendre ce que cette boîte avait à dire j’enfouis ma tête sous l’oreiller recouvrant mes oreilles pour n’entendre aucun bruit, le réveil qui a bien pu avoir la brillante idée d’inventé ces machines tout droit sortit de la bouche de l’enfer, qu’est-ce que je peux haïr ce machin, déjà que j’ai le droit à ça toute la période scolaire, alors c’est pour aussi l’entendre durant mes jours de repos -_-’. Mais après quelques minutes à tête reposé je percuta, attend il avait bien dit 13 ? Oula oula, nan nan ça pouvait pas déjà être si tard, j’avais dis 12h30 au restaurant avec mon père, d’un bond je me leva jetant un dernier regard au réveil pour voir si j’avais rêvé ou pas, ba nan il semblerait que c’était bien réel et à présent le cadrant affichait 13h05. Han la barbe la j’étais lâchement à la bourre et me voila à peine sorti de mes rêves que déjà je cours dans toute la chambre à la recherche de vêtement potable. Tient en parlant de rêve j’étais entrain d’en faire un magnifique, j’étais dans je ne sais quel trou paumé accompagné de tout mon entourage, ma petite amie, mes ennemis, mes connaissances et tout le reste, par contre y a un truc que j’ai toujours pas compris : Pourquoi mon père est apparu d’un seul en me virant de la plage à coup de pompes aux fesses ? Et puis toute façon après plus rien, le trou noir, je me retrouve dans le lit. Enfin bref l’heure n’est plus aux rêves, déjà que je suis à la bourre manquerait plus que je perde du temps à rêver, il y a déjà que très peu de chance pour que mon père se trouve encore au resto alors vaut mieux pas perdre une seule seconde. Enfilant un bermuda ainsi qu’un tee-shirt rouge je me dirigea vers la porte d’entrée prenant au passage la carte magnétique qui me permettra de fermer ma porte. En ouvrant cette dernière je tomba nez à nez face à la femme de ménage, la fixant quelques seconde je lui fis un sourire et me mis à courir partout dans les couloirs en n’oubliant pas de signaler à la femme de bien refermer derrière elle. Au bout de 10 minutes je réussis enfin à me retrouver à l’accueil, la vache pas facile de se repérer dans cet hôtel. Une fois la bas je demanda au réceptionniste si mon père était toujours au restaurant, ce dernier me signala que non et par la même occasion me donna une lettre venant de mon paternel qui m’étais adresser. Oula je la sentais mal celle et déjà je m’imaginais entrain de me faire incendier à travers les mots, l’ouvrant à toute vitesse je m’empressai de la lire. A ma plus grande surprise rien qui ne trahisse une quelconque colère, nan cette lettre m’informais simplement qu’il avait du partir et que pour la journée j’avais carte blanche. Cool,après avoir lui ça je rendis la lettre demandant une voiture pour aller en plein centre ville histoire de m’acheter quelques nouveau habits, un petit rafraîchissement ne serait pas de refus. Après quelques minutes de route je me retrouva très rapidement dans une des plus grandes avenue de la ville, arpentant les rues je n’oubliais aucune boutique et à chaque boutique que je faisais je m’achetais un ou deux trucs. Ce genre de pulsion dépensière ne m’arrive que très rarement, à peine 2 ou 3 fois dans l’année car d’habitude je ne suis pas du genre dépensier mais quand je suis pris de pulsion la je peux faire pas mal flamber la carte bancaire (elle pourrait même prendre littéralement feu ).
La journée touchait à sa fin et il était temps pour moi de rentrer à l’hôtel en direction du SPA, ba quoi faire les boutiques ça fatigue vachement (voila que je commence à parler comme une fille, je vais pas bien va falloir me faire soigner j’crois -_-’). De retour à l’hôtel je chargea quelques bagagiste de remonter le tout dans l’hôtel tandis que moi-même je me rendais à la salle de massage ou je fus accueilli par une magnifique blonde sulfureuse. M’allongeant sur la tache je me contentais de profiter pleinement du doigté féerique de la femme. Alors que j’étais en transe totale la sonnerie de mon téléphone vint interrompre ce moment magique, d’un geste nonchalent je pris en possession mon portable sur une table à côté et décrocha d’un ton peu enjoué:
- Allôôôô….Ouh ouais vas y continue. - Allô ouais c’est...euh attends qu’est-ce que t’es entrain de faire la ? Fin bref on s’en fout t’oublie pas ce soir hein on se retrouve à trois. - Mouais, ho, c’est bon j’avais pas oublié. Et c’est ou déjà qu’on se retrouve ? Han !!! - Euh ce soir devant le zoo de central park. - Quoi ? Attends devant le zoo, qu’est ce que tu com… - Euh salut je dois y aller, à ce soir.
Mon ami Phoenix au téléphone que j’appelle plus familièrement Nix, j’avais totalement oublié la soirée qu’on avait prévu mais par contre je comprenais toujours pas pourquoi on avait rendez vous devant le zoo. En plus il avait invité une fille à ce qu’il m’avait dit. Bon on verra bien comment se déroulera la soirée hein. Jetant un regard à ma montre je remarqua que j’étais assez juste dans le temps, interrompant le massage plus tôt que prévu je paya la femme pour ensuite remonter dans ma chambre dans laquelle je m’habilla d’une simple veste assez fine avec en dessous un tee-shirt blanc-gris et un jean levis. Bon fallait pas trop tarder la. Arrivant de nouveau à l’accueil je demandai une nouvelle voiture pour le zoo. Le chauffeur m’y emmena en moins de 10 minutes, une fois devant les zoo j’étais tout seul. C’est donc avec un petit sourire que je dis à voie basse:
Nan tu déconne j’suis le premier arrivé.
Dernière édition par Marlon M. Kaur le Ven 4 Sep - 23:20, édité 1 fois
Sujet: Re: Un peu de vandalisme + un Lapin | PV Midnight | Ven 28 Aoû - 0:45
« Chérie, arrête de laisser le répondeur faire ton boulot, j'ai besoin de toi pour la réception de ce soir, n'oublie pas de — »
Midnight cessa d'écouter son répondeur et monta le son de la chaîne hi-fi qui passait un son plein d'engouement. Elle se mit rapidement à danser, en simples sous-vêtements, à la recherche de vêtements à mettre pour la journée. Certes, cette dernière était bien entamée et elle venait de louper un déjeuner d'affaires, mais la journée était particulièrement délicieuse et Midnight ne comptait pas se décourager comme ça, sa bonne humeur ne lui ferait pas défaut cette fois. Elle pensa un instant à rappeler sa tante, qui l'avait si gentiment réveillé avec un message un peu plus tôt, et se ravisa. Si elle l'avait au téléphone, elle serait incapable de refuser de l'aider pour la fameuse réception qu'elle organisait, et Midnight pourrait alors dire adieu à la soirée qu'elle avait prévue de passer au zoo avec son ami Phoenix. En fait, Phoe était finalement bien plus qu'un ami, et c'était souvent comme avec un frère qu'elle agissait tout naturellement. Midnight, particulièrement attentive à tout ce qui concernait ses amitiés, veillait au grain et cette amitié semblait devenue indestructible avec les années.
La jeune fille passa l'après-midi sur les docks, à observer l'océan. Lorsqu'elle passait des instants solitaires à observer l'océan de la sorte, c'était que son cerveau était en réelle surchauffe sentimentale. Ou alors, qu'elle voulait juste observer le reflet du soleil sur les petites vagues qui venaient frapper le béton. Quoiqu'il en soit, elle pensa en s'asseyant qu'elle avait la sensation de n'avoir jamais été la jeune fille de l'autre côté de l'océan — et également d'un demi-continent, voir presque un entier, à y penser, son pays était foutrement mal placé. Elle n'était pas retourné en Russie depuis qu'elle en était partie, alors qu'elle n'avait que six ans, et elle se demandait parfois à quoi ressemblait maintenant son père. Certes, ils parlaient souvent au téléphone, mais il semblait complètement insensible à toute notion de webcam ou d'électronique plus poussé. Elle lui avait envoyé quelques photos d'elle, de Psy, sa meilleure amie, et il s'en réjouissait à chaque fois, mais jamais elle n'avait abordé cette question. En fait, elle n'y avait jamais vraiment pensé, ou plutôt elle préférait s'en abstenir, l'idée d'avoir un père croulant alors qu'on l'avait quitté en pleine forme devait être assez perturbant en soi. La sonnerie de son téléphone retentit brusquement et elle omit d'en juger l'appeleur avant de répondre.
« — Mid, j'ai vraiment besoin de toi, si tu avais un choix crucial à faire, genre, ta vie en dépend carrément, tu choisirais quoi : vert, ou bleu ? — Hm je sais pas, bleu-vert j'imagine. Moi ça va, merci beaucoup de t'en inquiéter. — Désolée, ta tante m'a invitée à cette réception stupide, tu porteras quelle couleur ? — Oh, je n'y vais pas. Phoe voulait absolument qu'on passe une soirée ensemble et il a invité un ami à lui, Marc, ou Aaron, Marion, un peu fille mais, non je pencherais plus pour Aaron, ou Mark mais avec un k, plus prononcé, tu vois ? Peu importe, je serais pas à cette réception et je te jure que tu ferais mieux de t'inventer une ... désolée, j'ai rien dit. — Oh. Drôle d'humour aujourd'hui, mademoiselle Midnight Adenox Dewèn. — Je déteste quand tu m'appelles comme ça Psy ! Bon, je dois te laisser, je vais rentrer en vitesse, je passerais peut-être t'embrasser en passant. — Bien, réfléchis à la couleur de ma robe, ton excuse n'aurait jamais marché. »
Midnight rigolait presque en raccrochant mais redevint rapidement pensive. Tout le monde avait ses petits secrets, n'est-ce pas ? Elle-même en possédait tellement ! Parfois, les secrets étaient découverts, ou alors ils étaient avoués. Parfois, ça faisait du bien, ça soulageait, mais d'autres fois, il y avait l'incompréhension et la douleur qu'elle engendrait. D'un naturel si amical, avenant, étant tellement habituée à faire preuve de compassion envers toute personne le nécessitant, étant même souvent prise pour l'incarnation de la gentillesse et de la pureté, Midnight avait parfois du mal à comprendre la réaction des autres à propos des secrets d'autrui, que ce soient leurs amis ou de simples inconnus. L'homme était sans pitié, de nos jours, il blâmait son prochain pour les fautes qu'il avait lui-même commises.
En rentrant chez elle, elle prit une rapide douche où elle continua de penser à toutes ces bêtises de condition humaine avant de se concentrer sur la tenue qu'elle voulait mettre. Pour le coup, elle aurait bien appelé Psy, mais elle craignait d'être incapable d'arrêter de parler et de se mettre en retard pour aller chez cette même meilleure amie. C'était tout Midnight, ça. Au bout d'une demi-heure à débattre intérieurement sur le combat jupe / jean, elle opta finalement pour un short en jean aux bouts retroussés, ainsi qu'une fine chemisette beige qui, ajoutées à une paire de bottes hors de prix qu'elle avait dégoté lors de l'un de ses passages sur le podium, lui donnaient un air d'aventurière. Approprié, lorsqu'elle se souvint que c'était au zoo qu'elle retrouvait Phoe et son ami au nom mystérieux. Bien qu'elle aurait pu en vouloir à son frère d'inviter quelqu'un lors des rares moments qu'ils pouvaient passer ensemble, Midnight se réjouissait de rencontrer une nouvelle personne. De toute façon, pour la jeune fille, le bonheur était partout alors bon, il en fallait peu pour la contenter et c'était sûrement ce qui plaisait sûrement à ses amis lors des fêtes de noël, qu'elle n'ai aucune exigence concernant le prix ou la provenance des cadeaux qu'on lui offrait.
Le passage chez Psy fut éclair, elle eut à peine le temps de désigner une robe, d'embrasser la joue de pêche de sa meilleure amie et de retourner dans les rues new-yorkaises en espérant ne pas arriver trop en retard à son rendez-vous. Elle passait sa journée à ne rien faire pour finir par courir en retard, c'était bien paradoxal mais tout à fait elle. Lorsqu'elle descendit de son taxi, elle ne put louper la seule personne qui se trouvait devant le zoo. Elle resta néanmoins un long moment sur la chaussée, à se demander si il serait correct de lui parler en sachant qu'il y avait un risque minimum pour qu'il n'ai absolument rien à voir avec sa soirée. Et puis, alors qu'elle se décidait enfin, un autre problème survint : comment devait-elle l'appeler ? Utiliser l'un des prénoms qu'elle avait supposé un peu plus tôt dans l'après-midi était exclu, elle était aussi sûre de savoir que d'ignorer. Elle avança finalement, au bonheur la chance, et se retrouva rapidement devant le jeune homme à qui elle adressa un sourire légèrement gêné. La jeune fille était loin d'être charismatique, et elle tenterait d'improviser comme elle pourrait.
« Euhm, bonjour, enfin bonsoir, enchantée. Est-ce que tu ne serais pas un ami de Phoenix Berkley ? »
Elle hésitait à continuer, préférant attendre confirmation ou dénégation avant de se mettre à déblatérer son nom, sa profession et le numéro de son médecin traitant.
Accueil 
) et pour finir direction le SPA de l’hôtel ou je me ferais faire un magnifique massage par une de ces superbes masseuses (jaloux ?). Ha ouais je vous ai pas dit mais depuis leur séparation mes parents ne voient plus trop, voir même plus du tout. Contrairement à ma mère qui elle a prit la décision de rester dans la demeure familial mon père lui a préféré la quitter pour s’installer dans un hôtel grand luxe et ce de façon temporaire, juste le temps que le divorce soit prononcé.
).