Sujet: MONICA & WILLIAM . "Je vais me suicider avec des yaourts périmés." Ven 18 Mai - 13:42
WILLIAM A. SLAYERS & MONICA C. CALDEIRA "Je vais me suicider avec des yaourts périmés."
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Elle aurait pût être belle. Cette journée sans douche cassée, sans panne frigorifique . Il y a des jours comme ça ou rien ne va plus et c'est souvent pas très évident de voir des personnes gaies et joyeuses quand ils vous arrivent les pires malheurs au monde et bien qu'elle fût une femme respectueuse et sérieuse, aujourd'hui, le destin avait décidé qu'il la mettrais dans la peau d'une monstrueuse bonne SDF à la crinière ébouriffée,au ventre explosé et au caractère colérique. Plus un seul produit n'était bon à manger dans ce frigo qui avait décidé de rendre l'âme durant la nuit, plus rien hormis peut-être ses quelques yaourts qui traînait la, nature. Habituellement, elle n'aime pas ça ( Pourquoi en acheter sinon? ) mais sa mère n'avait cesser de lui répéter étant petite que les produits laitiers construisaient ses os et les rendait solide, il ne serait pas sans dire que si sa mère venait à débarquer chez elle aujourd'hui et ne verrait pas des yaourts au frais, elle risquerait la crise cardiaque suivit de la leçon de moral et ce durant tout son séjour. D'ailleurs si elle venait à l'heure actuelle, elle risquait surtout de vouloir repartir sur le champ dans leur bonne vieille ville natale. La journée serait longue, point positif à tout cela, ce n'était pas son jour de travail, enfin si mais étudier un dossier chez elle ne comptait pas comme journée de travail alors elle en profiterais pour acheter du nouveau matériel puis faire quelques courses et appeler un réparateur histoire qu'elle puisse de nouveau prendre de bonnes douches méritées. Cela serait un coup élevé mais vitale surtout. Bref, le matin, la principale chose à faire pour avoir les idées claires était de se nourrir et de prendre un bon petit déjeuner pour avoir le temps de tout faire la journée. Elle s'était habillée, passée un coup sur sa crinière devenue soyeuse, toilette quotidienne et intime et la voila partie en courant à talons haut en emportant sur la route un de ces yaourt nature et son sac contenant son artilleries de bonnes choses féminines. Pas envie de mettre de la musique, pas envie de voir du monde, alors lunettes de soleil au bout du nez et nous voila à Central Park dans l'un des cafés les plus succulents de la ville. Au menu, "Empiffrements de cochonneries et un café doublé de chantilly", assise confortablement, pourtant, quelque chose la turlupine, pire encore, l’agace et la fait grimacer. Au loin, près du comptoir il y a un homme qu'elle tente d'éviter à tout prix. Comme à ses habitudes il parait serein , tout sourire aux lèvres à faire rire la serveuse , ce soir celle la elle allait y passer à coup sûr. Mais quel monstrueux et odieux beau garçon. Lentement elle soupire, oui parce que de cet homme, elle en est amoureuse, enfin pas tout à fait. Puis c'est une histoire compliqué. Je t'aime, je t'aime pas,William ( qui était son prénom) avait un charme diabolique mais le pire dans tout cela c'était qu'il savait sans servir contre les femelles faibles et fragiles, il savait comment s'y prendre, mais ses manières de pauvres séducteurs au chommage ne marchait pas avec la belle brune latine.
Elle ne le connaissait que trop bien et ses manières de Don Juan du XXI ème siècle l'exaspérais.Sans cesse en bonne compagnie, c'est larmes et désolation assuré avec ce genre de garçon et ce n'était ni le jour , ni l'endroit pour lui parler. Une femme peut-elle savourer son café sans qu'un pauvre type vienne l'ennuyer ? Si le sexe est le meilleur ami de l'homme alors la gifle et celle de la femme. De temps en temps ça ne lui ferait pas de mal de s'en prendre une histoire de le faire redescendre sur terre et de lui montrer qu'il n'est pas le centre de la terre ,quel pauvre type si craquant. Un bon paquet d'emballage pour une pauvre contenu, dommage trop dommage ! En pleine réflexions intérieur, la jeune femme savoure son délicieux brownies tout comme son café sans faire attention que le seul homme qu'elle cherchait à éviter l'avait détecter depuis déjà un bon vingt secondes.
Shit ! Les yeux grands écarquillés elle ne pût avoir le temps que de saisir un vieux journal traînant sur la banquette d'à côté et de le foutre comme une pauvre abrutie devant son visage, sa tête entière, implorant le ciel qu'il ne viendrait pas lui rendre visite. Avoir la honte, autant l'avoir jusqu'au bout mais d'être vue avec lui, ça, il en était hors de question. ~
Sujet: Re: MONICA & WILLIAM . "Je vais me suicider avec des yaourts périmés." Dim 20 Mai - 23:51
Il était dans les 8h30 du matin et William se trouvait dans central park. Pourquoi se trouvait-il là bas alors qu’il avait entrainement à la fac qu’à 10h30 ? Pourquoi n’avait-il pas paraissez sous la couette en entendant qu’il soit une heure plus respectable pour se lever ? Parce qu’il attendait quelqu’un ! Il l’avait remarqué quand il promenait Cookie. Eh oui par le passé il avait était promeneur de chien ! Il fallait bien se faire un peu d’argent. Si aujourd’hui il avait laissé les jobs a deux sous pour bosser à l’Awesome, son ancien taff lui avait quand même servie à quelque chose. Une fois alors qu’il promenait le gros Terre Neuve il avait croisé une superbe rousse en train de faire son footing. Ses forme, sa ligne, sa tenue extrêmement courte, tout avait attiré le regard de William. Une autre fois tout à fait par hasard il s’était retrouvé de nouveau dans le parc à 8h30 et il l’avait de nouveau croisé. Il avait alors comprit que la jeune fille venait tout les jours à la même heure. Du coup comme il avait du temps et commençait ses cours plus tard et que cette fois il n’avait pas avec lui un énorme chien surexcité, il l’attendait. Quand la jeune fille passa il ne lui fallut pas longtemps pour aller l’aborder. Dix minutes plus tard il avait son numéro de téléphone et l’assurance que dans les prochains jours il ne passerait pas la soirée et la nuit seul.
Content de lui, il marcha tranquilement dans le parc, s’apprêtant à rejoindre la fac quand il aperçut Monica Caldeira sur un banc. Il avait rencontré la jeune fille dans un bar et tout de suite entre eux ça avait était… pratiquement la guerre ! Oh William lui n’y était pour rien, c’était la portugaise qui n’assumait pas du tout son charme et n’avait pas supporté qu’il la drague. Etait-ce sa faute à lui si elle était si sexy ? Depuis chaque fois qu’elle le croisait elle prenait un malin plaisir à essayer de le remettre à sa place alors que lui continuait de la complimenter en tout bon gentleman qu’il était. Il se rapprocha d’elle, certain que leurs joutes verbale le mettrait de bon humeur alors qu’elle s’empressa de se cacher derrière un vieux journal. Trop tard ! Il l’avait vu ! Un sourire malicieux sur le visage, il se rapprocha d’elle et s’assit à ses côté. Il regarda le ciel, ne faisant au début pas attention à elle. Puis il dit « Beau temps ? Vous ne trouvait pas ? ». Il baissa alors les yeux vers Monica et prit un faux air étonné. « Oooooh Monica !? C’est toi ?! Quelle coïncidence ! » Dit-il avec ironie avant de lui adresser un large sourire comme il en avait l’habitude. « Alors ? Heureuse ? » Lui demanda-t-il en haussant son sourcil avec un air charmeur. « Je sais que ma présence t’emplit toujours de joie. »
Sujet: Re: MONICA & WILLIAM . "Je vais me suicider avec des yaourts périmés." Lun 21 Mai - 13:07
Pitié, faîtes qu'il ne me voit pas ou qu'il est pressé de partir. Lui , pressé ? JAMAIS ! Surtout quand il s'agit d'emmerder son monde, il est le premier à le faire, premier à la faire sortir de ses gongs. Ne pas le voir, l'ignorer, cette ville était pourtant grande bon sang alors pourquoi de toutes les personnes qu'elle aimerait éviter c'est lui qui se montre à elle en cette matinée merdique qui venait tout juste de commencer. Il avait le choix, si il ne déguerpissait pas soit il se mangeait le yaourt nature en pleine poire ou la tasse de café chaud sur le t-shirt, entre les deux, le choix serait vite fait. Les portugaises sont des femmes au caractère trempée qui n'ont pas l'habitude de se laisser marcher dessus et surtout pas par des hommes mais alors des Don Juan, encore pire. Des baffes, des gifles, des coups pour le défigurer à tout jamais, peut-être alors qu'à ce moment la il arrêterait son numéro de charme insupportable. Lentement, elle tourna la tête du côté droit histoire de l'ignorer mais trop tard, il avait pris place près d'elle et sa moue de boudeuse colérique s'était alors former sur le si beau visage de la brune pulpeuse. Un soupire se faufila d'entre ses lèvres, c'est qu'il pouvait être ennuyeux ce mec surtout par ses jeux de séductions bidons. « Beau temps ? Vous ne trouvait pas ? ». Ne te joue pas de moi sombre crétin, est-ce la que tu dis à toutes tes conquêtes pour qu'elles soient aussi bête d'accepter un rancard avec toi ?Ce fût les pensées de Monica. Ce type avait la chance de se mettre plusieurs filles dans la poche rien que par une parole, elles souriaient, riaient , autant dire que la plupart d'entre elles réfléchissaient plus avec leur beauté que leurs cerveaux. Je suis brune ou blonde, à grosse poitrine, aux jambes interminables et la peau mâte dorée par d'artificiels UV, je me suis fait récemment un blanchiment des dents et je vais coucher avec toi ce soir. Ah ah ah ~
Les bras croisés la brune aux origines ardentes se tourna vers le séducteur de ses dames en question et surprise ne fût lorsqu'il pris un air étonné en l'interpellant, comme ci rien ne fût, comme ci il ne l'avait pas remarquer depuis ses quelques secondes. Pov' Con. ~ Elle pris une mine renfrogné ,se mordant la lèvre inférieur pour éviter de lui coller son fameux journal à la tronche. « Ne fais pas comme ci tu ne m'avais pas remarquer, tu es méprisable ! » Dit-elle sérieusement avec une mine assez dégoûtée. Le silence qu'elle instaura par la suite fût de courte durée, il pris la parole à son tour : « Alors ? Heureuse ? Je sais que ma présence t’emplit toujours de joie » A cette simple phrase, elle leva les yeux au ciel comme pour implorer la présence d'un être divin et eut du mal cette fois à calmer son énervement. « Tu sais ce que désirais le plus en cette ridicule journée ? Ton absence ! Tu ne me fait pas de cadeaux en venant jusqu'à moi ! Je n'ai plus qu'à me suicider avec .. bah oui tiens » . Elle marqua un temps de pause juste le temps de regarder sur sa table et de saisir le seul objet qui lui était le plus proche.« Avec des yaourts périmés ! Ou je ne sais pas trop quoi d'autre ! Histoire que je finisse à l'hosto' et que l'on me drogue à la morphine pour que je me réveille que le lendemain matin ! Peut-être que demain sera meilleure journée ! Ou peut-être que toi aussi tu va crever, écraser sous les roues d'un énorme camion ! » Elle ne s'en était rendue compte que juste après mais elle venait de piquer la plus grande durite de toute son existence. Après tout, elle était compréhensible. La journée n'avait pas plus mal commencer et voila que Monsieur saute-tout vient l'emmerder, c'était la petite goutte de trop qui avait fait déborder le vase et même si à l'heure actuelle il aurait du mal à la comprendre, peut-être qu'après avoir entendu ce court monologue colérique et complètement fou, il prendrait à son tour les jambes à son cou et partirait en quatrième vitesse pour éviter un nouvel affront avec la brune latine.
Autour d'eux, les regards se tournèrent vers elle non pas par l'incohérence de ses propos mais bien par la puissance de sa voix. En attendant, Monica tenta de se calmer par une bonne gorgée de café chaud, son coeur battant à une folle allure se calma instantanément, elle ferma les yeux. Pense à quelque chose de bien Monica, pense à quelque chose de bien ? Le soleil ! La chaleur, la plage, l'eau et le sable chaud ! Les bikinis , William. NOON ! Tout lui rappelait se pauvre type, ce moins que rien, ce bon à rien, ce ... truc ! Gardant les yeux clos, elle déposa avec douceur cette fois sa tasse sur la table et prononça à voix à peine audible ses quelques mots.« Disparait ou je te tue.. Crois moi je serais capable de le faire. A tes risques et périls.»
Sujet: Re: MONICA & WILLIAM . "Je vais me suicider avec des yaourts périmés." Ven 25 Mai - 21:35
« Tu sais ce que désirais le plus en cette ridicule journée ? » « Me voir ? » demanda-t-il comme si ça lui semblait la réponse la plus évidente. « Ton absence ! Tu ne me fait pas de cadeaux en venant jusqu'à moi ! Je n'ai plus qu'à me suicider avec .. bah oui tiens…Avec des yaourts périmés ! » Il la regarda perplexe, trouvant cela aussi absurde qu’essayer de s’ouvrir les veines avec une enveloppe. « J’suis pas certain que ce soit très efficace » ironisa-t-il tandis alors que Monica ne semblait pas se calmer. William ne l’avait jamais vu aussi remonté. « Ou je ne sais pas trop quoi d'autre ! Histoire que je finisse à l'hosto' et que l'on me drogue à la morphine pour que je me réveille que le lendemain matin ! Peut-être que demain sera meilleure journée ! » Il eut un geste de recul quand elle parla Morphine. Wow apparemment c’était grave, sa journée avait vraiment mal commencé ! Ou du moins c’est la conclusion qu’il en tirait. C’était ça ou la folie la guettait. « Ou peut-être que toi aussi tu va crever, écraser sous les roues d'un énorme camion ! » « Désolé de te décevoir mais non c’est pas prévue, d’après les prédiction je rendrais mon dernier souffle à l’âge de 80 ans dans les bras d’une charmante jeune femme. » lui dit-il avec un léger sourire. Il la regarda boire son café et fermait les yeux pour se calmer avec un air amusé tant que les passants les regarder. Monica avait parlé tellement fort que tout le monde l’avait entendu « Elle a oublié ses cachets » articula-t-il exagérément pour que les gens comprenne sans avoir à réellement dire les mots et qu’ainsi la jeune femme les entendent. Monica s’adressa alors à lui et menaça de le tuer s’il ne partait pas. Il en était hors de question ! Il n’avait pas envie de la laisser alors qu’elle semblait prête à pété un plomb. Ils se chamaillaient sans cesse mais ça ne lui ressemblait pas de partir comme ça. . Il écarta les bras, mains en l’air pour bien dégager son propre torse et se tourna vers elle. « Va y. Transperce moi. Mais essaye de faire ça vite et sans douleurs, je suis un peu douillé. » Il attendait qu’elle rouvre les yeux parce que de tout façon il ne partirait pas. « Qu’est-ce qui t’arrive ? Qu’est-ce qui te met autant en rogne ? Et bien que j’en serai flatté ne me dit que c’est ma seule présence ? »
{Grosse fatigue en écrivant ma rép du coup j'me rend compte que c'est pas terrible....}
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