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Discuter n’a jamais fait de mal à personne.

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MessageSujet: Discuter n’a jamais fait de mal à personne. Discuter n’a jamais fait de mal à personne. EmptyMer 7 Aoû - 17:05

    Travailler était le mot que Diego devait prononcer et penser le plus souvent. En tout cas, il aimait ce qu’il faisait et il y laissait sa santé. En tout cas, c’était ce que sa famille lui disait. De son côté, il trouvait que cela était exagéré. Cependant depuis quelques semaines, sa petite sœur se moquait gentiment de lui. En effet, tout en discutant, il avait expliqué qu’il travaillait sur une plante et qu’il avait comme associé une jeune femme, prénommée Toni. Du coup, sa sœur était partit dans des délires sur le fait qu’il l’aime et qu’il devrait l’inviter à sortir. Bref, des choses de filles selon le jeune homme. Oui Toni était belle et agréable. Seulement, elle était une partenaire de travail, rien de plus. Enfin, dans l’esprit du jeune homme. Etant au travail depuis plusieurs heures, il finit par aller déjeuner avec un jeune couple de futurs mariés. Les choses avançaient bien pour eux et il n’attendait que les détails qu’ils devaient lui donner. Ca n’était pas grand-chose pour lui, mais ça semblait prendre plus d’ampleur pour eux. Les laissant expliquer leur choix, Diego écoutait avec attention. Le reste de la journée fut assez tranquille. La grande période des mariages étant en grande majorité passée. A dix-neuf heures, il vérifia son planning du lendemain, passant quelques coups de fils, avant de filer chez lui. Passant sous la douche, il passa une nouvelle chemise blanche, un jean, ses baskets et partit en ville. Il passa chez le traiteur, pour prendre deux repas à emporter et fila chez le fleuriste. Il devait s’occuper de la plante qu’il faisait pousser avec la jeune femme. Une fois sur place, il frappa à la porte et attendit qu’on lui ouvre.

    Salut.

    Souriant, il entra dans la boutique quand elle lui laissa le passage libre et il lui montra les sacs.

    Je me suis permis de prendre à manger.


    Au vu de l’heure, il se disait qu’elle n’avait peut-être pas encore mangé. Il ne savait pas si c’était le cas, mais au moins il aurait amené quelque chose.

    Comment pousse-t-elle ?

    Il avait vraiment besoin de cette plante et la veille il l’avait vu, mais il espérait qu’elle avait prit encore quelques centimètres, même s’il savait que ça ne devait pas être le cas.

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MessageSujet: Re: Discuter n’a jamais fait de mal à personne. Discuter n’a jamais fait de mal à personne. EmptyJeu 22 Aoû - 16:21

TAGGED : #diego grey-arenales #toni cameron


WHEN : a couple months after they started the flower thing
WHERE : floral shop (Yorkville, Upper East Side)
ABOUT THAT : Toni has been working on a mission for Diego for months now, and she's taking that « wedding flowers » situation really seriously. It's moving forward pretty well, and now she has an appointment with Diego to keep in touch about this mission.
PROGRESS : rp#2
❝ discuter n’a jamais fait de mal à personne ❞
Depuis qu'elle avait quitté le monde de la compétition de surf professionnelle, Toni savait que son frère & ses proches s'étaient attendus à ce qu'elle ne supporte pas sa « nouvelle vie », qu'elle déteste sa nouvelle monotonie... elle-même avait eu quelques craintes, pour tout avouer. Seulement, elle avait bien vite réalisé que si elle occupait bien son temps, qu'elle appréciait tout ce qui lui était donné par la vie, alors elle n'aurait vraiment aucune raison de se plaindre. Et effectivement, entre son travail de fleuriste, son frère qui était rentré, son appareil photo qu'elle ne quittait plus avec les beaux jours, et cette mission que lui avait donné Diego de réussir à faire pousser des Tacca Chantrieri, elle n'avait pas le temps de penser à quoique ce soit d'autre, encore moins de se plaindre de quoique ce soit ! Et puis, elle nageait, était toujours au contact de l'eau... et n'abandonnait pas l'idée de revenir un jour dans la compétition, ou tout simplement sur une planche.

Aujourd'hui encore, elle avait eu une journée plutôt chargée. Après une matinée passée à nager dans l'une des piscines de la ville qu'elle affectionnait, la jeune femme s'était dirigée vers la boutique florale pour entamer son service, vendant des fleurs aux riches clients tout en revenant régulièrement vers les fleurs de l'arrière-salle dont elle prenait autant soin que si c'était ses enfants, sûrement. Elle ne voulait vraiment pas louper cette mission, autant pour les mariés que pour Diego, ou pour son propre travail & la fierté d'avoir réussi à le faire. La journée achevée, elle avait fermé le magasin & s'était occupée des Tacca Chantrieri ; à peine en eut-elle terminé avec ça qu'on tapa à la porte de la boutique. Se sachant seule dans le magasin – elle avait assez fait ses preuves ces derniers mois pour que le patron la laisse de plus en plus souvent ouvrir ou fermer le magasin, surtout avec le projet qu'elle nourrissait – elle ne tarda pas à se rendre jusqu'à elle pour l'ouvrir, découvrant bien vite Diego de l'autre côté de la baie vitrée. « Hey ! » s'exclama-t-elle, un large sourire sur les lèvres, en invitant le jeune homme à entrer. « Salut. » lui répondit-il en passant la porte, que Toni referma derrière lui ; même dans l'Upper East Side, personne n'était à l'abri d'un cambriolage nocturne. « Je me suis permis de prendre à manger. » reprit-il en lui montrant deux sacs de plats à emporter. Surprise – mais ravie, son ventre gargouillait depuis le milieu de l'après-midi – la jeune femme hocha la tête. « Oh, merci ! Tu savais que j'étais en train de mourir de faim ou … ? » demanda-t-elle, ravie que ce qui avait pu pousser Diego à prendre à manger lui permette de remplir un peu son estomac qui criait famine. « Comment pousse-t-elle ? » demanda-t-il encore. Aussitôt, Toni tapa dans ses mains & invita Diego à la suivre dans l'arrière-boutique. « Très bien ! Elles sont presque prêtes, tout devrait être terminé dans les temps. Même les plants en plus poussent bien, si les mariés veulent en faire des bouquets en plus ! » répondit-elle avec satisfaction et une pointe de fierté. Elle présenta les plants à Diego, tout sourire, avant de plisser le nez devant l'odeur dégagée par les sacs du jeune homme qui lui donnaient vraiment faim. Lorsque tout sembla satisfaisant pour Diego, elle l'invita une nouvelle fois à la suivre jusqu'à la serre attenante où se trouvaient d'autres plantes qui n'avaient pas besoin de traitement plus spécial que le soleil apporté par les grandes baies vitrées ou, l'hiver, les lampes à UV accrochées aux vitres du plafond. Si les clients adoraient se détendre ici en attendant leurs grosses commandes, c'était souvent elle qui en profitait une fois la nuit tombée. « Installe-toi, je t'en prie ! » s'exclama-t-elle à l'intention de Diego en désignant la petite table de jardin en verre et les chaises autour.
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