It's New York City bitches ! And it's my motherfucking dream

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Edoully ◘ J'aimerais que tes mauvais souvenirs meurent dans mes bras..

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MessageSujet: Edoully ◘ J'aimerais que tes mauvais souvenirs meurent dans mes bras.. Edoully ◘ J'aimerais que tes mauvais souvenirs meurent dans mes bras.. EmptyDim 7 Avr - 16:25





j'aimerais que tes mauvais souvenirs meurent dans mes bras

billy & edouard



Aujourd'hui est un beau jour, un jour parfait. Le mardi 23 avril.. L'anniversaire de ma femme. Comment aurais-je pu l'oublier ? Sérieusement ? Depuis le temps que je l'attendais.. C'était impossible que je l'oublie. J'avais même décidé de l'emmener en voyage. Cela faisait tellement longtemps que je ne lui avais pas offert de cadeau, il fallait bien que je me rattrape ! Ayant galéré pendant plus de deux semaines pour choisir la destination, je m'étais enfin décidé et avais acheté les billets après avoir demandé dix jours de congés à mon patron -ce qui n'a pas été facile, croyez-moi-. Le prix du voyage n'était pas très grave, mon compte en banque était plein à craquer en ce moment. Je vendais beaucoup de drogue et le pourcentage de client avait augmenté en l'espace d'un mois, comme si tout New York s'était mis à prendre de la drogue et fumer du shit. En meme temps, c'était compréhensible. New York est connu pour être une ville qui ne dort jamais, mais ce n'est pas la ville qui ne dort pas, ce sont les gens. Et ces gens là ont besoin de force pour rester debout. A qui font-ils appel ? A moi, bien évidemment.. Je suis tellement haut placé que je suis le premier à être contacté en cas de besoin. Et aussi le premier à me faire choper par la police, mais ça c'est une autre longue histoire.. Je ne reste jamais plus que 8h en garde à vue, de toute façon. Ayant préparé ma valise une semaine auparavant, j'étais prêt pour aller à l'aéroport. Est-ce que Billy était debout, déjà ? Je n'en savais rien.. On ne pouvait même pas passer la nuit ensemble à cause d'April, sinon elle aurait pu dormir chez moi pour partir ensemble à l'aéroport. Souriant comme jamais, je me redressai d'un coup, jetant la couverture à terre avant de sortir du lit. La fatigue qui me possédait depuis plusieurs mois n'était plus là, mais vraiment plus du tout. Je me sentais revivre, depuis ce fameux jour où j'avais trouvé Billy chez moi, où plutôt, dans la rue, mais je ne me rappelais pas vraiment des détails. Ca n'a aucune importance, de toute façon, car le plus important dans tout ça était le fait qu'elle m'avait enfin pardonné. Pardonné de lui avoir menti pendant tout ce temps, pardonné d'avoir été absent pendant les moments les plus horrible de sa vie alors que je m'étais promis de ne jamais la laisser seule et sans défense. Du moins, je pensais qu'elle m'avait pardonné. Comment penser autrement, d'ailleurs ? Elle m'avait embrassé, m'avait caliné et l'on s'était appelé plusieurs fois depuis. Elle ne m'en voulait plus, j'en étais sûre. A moins qu'elle veuille prendre sa revanche et me rendre triste à mon tour en me laissant tomber après m'avoir fait croire qu'elle m'a pardonné.. Mais Billy n'était pas une personne comme ça. Je la connaissais par coeur, ma femme. Elle avait beau avoir l'air d'avoir un coeur de pierre, il n'était pas comme ça du tout. Il était chaud et acceuillant, son coeur.. Prenant ma douche le plus vite possible, je me sechai les cheveux avant de me brosser les dents. Pas besoin de déjeuner, on pourra manger à la cafétéria de l'aéroport si Billy a faim. Enfilant un débardeur blanc et un simple jean, je me coiffai avec de la laque -oui, j'adore la laque, ça fixe parfaitement mes magnifique cheveux- avant d'enfiler ma veste en cuir noir. Après avoir mis les papiers nécessaires, les billets d'avion ainsi que l'argent de poche dans ma poche intérieure, j'attrapai ma valise avant de sortir enfin dehors. Je n'étais pas vraiment sûre que l'on puisse payer avec la carte bancaire, une fois là-bas. Vous mourrez d'envie de savoir où c'est, n'est-ce pas ? Faisant signe de la main au premier taxi que je vis, je montai dedans avant de prendre mon portable en main. « Aéroport JFK, s'il-vous-plaît. », dis-je sans regarder le chauffeur alors que j'envoyais un message à Billy en même temps. Je t'attendrai à l'entrée. L'avion est à 10h, n'oublie pas !. Lançant un faible regard vers l'heure qu'affichait mon écran, je me rendis compte qu'il n'était que 7h20. Ni tôt, ni tard, c'était parfait. Trente minutes plus tard, je donnai les 50$ que je devais au chauffeur avant de descendre du taxi. Billy habitait plus près, de toute façon, elle n'allait pas arriver en retard sauf si elle a oublié de se réveiller. N'oubliant pas ma valise, je vérifiai ma poche une nouvelle fois avant d'entrer à l'intérieur. Debout devant le tableau des départures, je le contemplais d'un regard vide caché derrière mes lunettes de soleil, un petit sourire s'affichant sur mes lèvres. Je n'avais rien dis à Billy à propos de l'endroit où l'on allait partir pour refaire notre voyage de noces.. Esperons qu'elle aime les Maldives !
darren criss. @ atf
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MessageSujet: Je t'attendrai à l'entrée. L'avion est à 10h, n'oublie pas ! Edoully ◘ J'aimerais que tes mauvais souvenirs meurent dans mes bras.. EmptyMar 9 Avr - 20:41


Edoully ♥

Lorsqu'il sonna, le réveil indiquait cinq heures. J'ouvris les yeux difficilement, ce que la Billy elle était fatiguée !! Je fus étonnée de voir qu'il était si tôt. Avais-je quelque chose d'important à faire aujourd'hui ? Je supposai que oui... je n'avais sûrement pas mis mon réveil si tôt sans raison...Quel jour étions-nous ? J'attrapai mon portable à côté de moi, le débloquai et plissai les yeux pour voir la date. Tiens, le vingt-trois avril ! Depuis deux heures trente-huit du matin, j'ai vingt-cinq ans. Je vieillis de jour en jour, mince alors ! Je souris en voyant mon fond d'écran. J'avais pris la photo la semaine dernière... Je repoussai vivement ma couette. Je n'ai jamais aimé les draps, j'ai toujours trouvé ça trop compliqué à remettre correctement... ma mère ne voulait rien entendre, elle m'obligeai à refaire mon lit tous les matins, n'ayant rien à faire de mes protestations. Dès que je m'étais installée avec Ian, j'avais imposé la dictature de la couette. Une fois mon lit refait -cela est un bien grand mot....- je partis prendre ma douche et profitai d'avoir assez de temps devant moi pour me laver les cheveux. J'attrapai la première bouteille sans me rendre compte qu'il s'agissait du shampoing d'April. Lorsque je me rendis compte qu'une odeur de fraise envahissait le douche, je m'empressai de remettre le flacon en place. Une serviette autour du corps et une autre autour de mes cheveux, je regagnai ma chambre et tirai les rideaux. Le soleil n'était pas encore levé: en même temps, il n'était que six heures du matin. J'enfilai un jean bleu clair ainsi que ma marinière sans manches à rayures rouges et ma chemise à fleurs et à manches courtes, puis partit dans le salon, la serviette toujours sur les cheveux. Ils sècheraient pendant que je regarderais la télévision. Hier, j'avais vu dans le programme télé un documentaire semblant très intéressant sur la théorie du big bang ! Plongée dans mon documentaire, je n'entendis pas mon téléphone sonner. April me le balança sur le canapé en se plaignait qu'il l'avait réveillé. Je l'attrapai et vit que j'avais un nouveau message. Curieuse de voir qui c'était à cette heure, j'appuyai sur afficher. Il venait de Ian. Je t'attendrai à l'entrée. L'avion est à 10h, n'oublie pas ! Soudainement, je me souvins. Je me levai d'un bond, m'inclinai pour remercier April, habitude que j'avais prise de mon père et cours vers la salle de bain. Je retirai de mes cheveux la serviette et brossai mes cheveux. Ils n'étaient toujours pas secs, impossible de les lisser... Tant pis. Je pris ma valise que j'avais remplie deux jours auparavant d'habits pour une destination au soleil ainsi que ma veste. Préférant la chaleur, je m'étais dit que c'était au soleil que Ian m'emmenait. Je réussis rapidement à trouver un taxi, et à huit heures moins cinq j'arrivai enfin à l'aéroport. On allait devoir se presser à ce rythme là, il fallait y être deux heures avant pour l'enregistrement des valise et autres papiers... j'entrai dans le premier terminal au hasard, et vit une silhouette familière de dos. Je me mis à courir dans sa direction, avec mes cheveux mal coiffés voltigeant et lui sautai dans les bras en souriant. « Iaaaaan !! T'es toujours aussi beau avec tes lunettes de soleil, tu sais ? », déclarai-je avec mon grand sourire.
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