Sujet: une journée si belle ... ou presque | pv Kostos Jeu 6 Aoû - 22:09
1, 2, 3 ... DRING, DRING ! Le réveil retentit et résonna dans toute la pièce .
« Ah je déteste le bruit que ca fait ; ca me tue les tympans . Vous savez, moi et les réveils, ca n'a jamais été l'amour fou . Enfaite, je suis une spécialiste de la grasse matinée . Mais depuis mon "insertion" à la vie active, j'ai due me résoudre à me réveiller tôt. Bon cela n'est valable que les week-ends mais c'était dur au début. Voilà qui vous permet d'évaluer l'ampleur de mon " grassage-matinage " - je sais que ce mot n'existe pas, mais je me comprends -.Bref, je ne vais pas vous embêter plus longtemps avec mes problèmes de réveils. Le plus important c'est que je gagne bien ma vie . J'étais d'ailleurs surprise en apprenant le salaire qui m'allait être payer ; je ne savais pas qu'être nounou rapportait. Mais je dois avouer que garder des enfants de l'Upper East Side, aide beaucoup. Puis parait-il que je fais du bon boulot et que les familles s'arrachent mes services. Faut dire que j'aime beaucoup ce travail, surtout les enfants. Euh .. n'allez pas vous mettre des idées pas très nets dans la tête, c'est juste que j'aimerais tellement en avoir. Bon, je m'égare là, revenons à nos moutons. Je me suis donc réveillé ce samedi matin, pas franchement contente comme vous l'auriez deviner. Et pourtant je venais de faire un rêve absolument fabuleux . Moi et un homme sortit tout droit de mon imagination, ultra-sexy, venions de passer une nuit de folie. Dans mon rêve , bien sûr.
Les rayons du soleil traversait la fenêtre de ma chambre et les oiseaux chantaient. Bref, une belle journée en perspective. Quoique j'étais un peu sur les nerfs pour y faire attention. Pendant toute la matinée, je devais garder Donna, une petite dont je m'occupe et pour qui je me suis prise d'affection.Je l'aime beaucoup. En y pensant, cela m'avait d'ailleurs redonné le sourire. Je me suis alors empressée de terminer mon petit-déjeuner et partie me préparer en quatrième vitesse, pour finalement,sortir de mon appartement avec la ferme intention de faire en sorte que cette journée soit superbe. »
Plus tard dans la journée, en milieu d'après-midi ...
« J'étais en superbe forme . Moi et Donna avions bien rigolé ensemble : cache-cache , saute-mouton ... voilà à quoi c'était résumé cette matinée. Quand j'eu terminé , je suis allée manger juste après dans un fast-food. Tout ça m'avait affamé. Puis, comme à mon habitude, je suis partie en direction de Central Park où je flâne souvent. Le soleil brulait ma peau cuivrée et en posant mon regard en l'air, je ne voyais qu'un nuage blanc, tâchant alors la longue étendue bleue azure qu'était le ciel ce jour-là. Je marchais, le ventre plein et le sourire aux lèvres, tout en observant autour de moi les passants Des vieux, des jeunes, des couples, des familles, des personnes de différentes origines ou religions ... ils étaient TOUS là, comme si on s'était TOUS donner rendez-vous. Puis mon sourire se dissipa et je me stoppai net. Je venais de voir quelqu'un que je ne connaissais que trop bien. Je venais de voir un gamin de seize ans, une clope à la main, embrasser une blonde à forte poitrine Je venais de voir Kostos Prokopios, ce putain d'ado dont j'avais eu la merveilleuse idée de prendre sous mon aile . Pourquoi il faisait ça ? Combien de fois je lui avais dit d'arrêter de fumer ces cochonneries et de cesser d'allumer d'autres nanas que la sienne. Il n'avait qu'une façon de le savoir : le lui demander. Je me suis alors approchée de lui, folle de rage.
- Kostos ! Qu'est-ce que tu fais ?! Disais-je, au bord de la crise de nerfs.
Sujet: Re: une journée si belle ... ou presque | pv Kostos Mar 11 Aoû - 17:37
L E Y N A & & K O S T O S
Fait d'héroïsme et de clémence Présent toujours au moindre appel Qui de nous peut dire où commence Où finit l'amour maternel ? Maurice Chevalier
Kostos se promenait dans Central Park tout en sifflotant joyeusement, il n'avait rien à faire, c'était les vacances pour lui, il flânait le trois quart de sa journée et le reste du temps il faisait la fête. La veille au soir il avait encore fait la fête et il s'était bien amusé. Il avait vu ses amis de soirée et ils avaient fait la fête jusqu'au petit matin. Maintenant, Kostos venait tout juste de se lever et il avait préféré sortir pour faire un tour plutôt que rester enfermé chez lui avec sa mère qui lui pompait la vie. Mince quoi, elle pouvait pas le lâcher un peu et arrêter de le critiquer? Il menait la vie qu'il voulait, point. Qu'est-ce que ça pouvait bien lui faire ce qu'il faisait, le plus important et qu'il s'en sortait scolairement parlant. Et pas si mal que ça en plus. Kostos avait réellement du mal à s'entendre avec sa mère, une discussion entre eux était presque... impossible, c'était comme demander à Sharon Stone de ne pas pleurer pendant un de ses films!
Le jeune homme était donc sorti aussi tôt levé et avait pris la direction du parc le plus célèbre de New York : Central Park. Il portait un corsaire bleu marine ainsi qu'un t-shirt blanc, il avait des lunettes de soleil sur le nez et il marchait les mains dans les poches. Il faisait assez frais et chaud, de quoi mettre le jeune homme de bonne humeur, il adorait se promener dans les parcs dans ce genre de condition idéale pour la bonne raison que les filles portaient des shorts et des mini-jupe et Kostos pouvait admirer leurs jambes sans aucun problème. Kostos s'installa sur un banc du parc et continua d'admirer le paysage de jambes et de décolletés qui passaient devant lui avec un sourire heureux, et afin de le combler de joie, un groupe de coureuses passa devant lui et le jeune grec eut tout le loisir d'admirer leurs fesses qui rebondissaient à chaque foulée. Inconsciemment, le jeune homme se passa la langue sur la lèvre inférieur, ses yeux brillaient de convoitise. Il se serait presque mis au sport juste pour pouvoir les suivre de loin!
Toutefois, pour ne pas paraître pour un pervers, il sortit un livre d'un de ses sacs. Un bête truc qu'il avait pris par hasard à sa mère... et en lisant le résumé il grimaça, un truc romantique à deux balles encore... il roula des yeux, la prochaine fois, il penserait à prendre un magazine. Il se mit à lire, bon gré mal gré tout en continuant d'observer quelques passants, enfin, surtout les passantes quoi. Sa lecture fut stoppé quand il vit une fille plus loin promener son chien, elle était vraiment jolie, elle était vraiment comme il les aimait, blonde, grande, fine, la bouche pulpeuse... et à forte poitrine évidemment... parfaite en somme. Le jeune présumé grec se leva et marcha dans sa direction, il ne savait pas trop comment l'aborder mais il n'avait jamais vraiment été timide. Quand il se rapprocha un peu plus, le chien de la fille courut vers lui et se mit à japper ses pieds. Kostos eut un sourire amusé et il s'abaissa afin de caresser délicatement la tête du chien, en redressant la tête, il vit la blonde s'approcher de lui tout en mordillant sa lèvre inférieure, elle ne semblait pas très à l'aise. Kostos lui sourit et entama la conversation sur un thème tout à fait bateau, il lui parla de sa passion pour les animaux et en particulier les chiens (ce qui était complètement faux évidemment) et aussi tôt, la blonde se montra plus à l'aise et le jeune homme commença alors son plan drague, tout se passait dans le visage de Kostos, il avait le sourire charmeur, les yeux pétillants et une voix plus grave, inconsciemment, les deux jeunes s'étaient quelque peu rapproché, preuve que l'attirance était des deux côtés, le brun de cheveux venait de sortir une de ses clopes odeur vanille et il fuma tout en continuant de poser des questions à la blonde pulpeuse; puis, le jeune grec sortit de nouveau le grand jeu:
Kostos : Attends, t'as un truc dans les cheveux.
Et aussi tôt dit, sa main alla se réfugier dans les cheveux de la blonde et ses doigts glissèrent dans ses cheveux dans une sorte de caresse délicate. Leurs yeux se croisèrent à cet instant, et quand il vit la blonde fermer les yeux, il n'en fallut pas plus à Kostos pour fondre sur elle et l'embrasser délicatement et avec douceur. C'était un baisé rempli de retenue qui s'enflamma bien vite, leurs lèvres commençaient à s'entrouvrir afin que leurs langues se mêlent et alors que Kostos serrait de plus en plus le corps délicat de la blonde contre lui, il entendit quelqu'un l'appeler. Aussi tôt, le grec s'éloigna et grimaça.
Leyna : Kostos ! Qu'est-ce que tu fais ?!
Leyna Andrezao... il aurait reconnu sa voix entre mille! Et elle ne semblait pas de bonne humeur. Le jeune homme eut une sorte de sourire forcé envers la blonde empli d'excuse... par la suite, il se retourna pour affronter la femme forte de caractère qu'était Leyna.... il allait en baver. Cette fille était pire que sa mère... et pas de chance pour lui, il l'adorait réellement et ne pouvait pas la laisser en plan comme sa véritable mère. Toutefois, il fallait admettre qu'il aimait par-dessus tout énerver celle qu'il appelait affectueusement "môman" parce qu'une Leyna en colère... c'était quand même vachement drôle quoi! Et avec son esprit de rébellion, il aimait à la provoquer histoire de voir ses limites...
Kostos: Bah, je fais connaissance avec ma nouvelle amie!
Le jeune homme était d'une ironie monstre, ah, qu'il aimait l'énerver et la pousser à bout. Et c'est sans doute par provocation qu'il tira longuement une bouffée de sa cigarette tout en la regardant droit dans les yeux, juste histoire de voir le regard de Leyna s'enflammer de colère. A cet instant, la blonde était complètement oubliée, il ne pensait déjà plus qu'au futur assaut de la jeune et à l'amusement qu'il allait en tirer.
Sujet: Re: une journée si belle ... ou presque | pv Kostos Jeu 13 Aoû - 18:58
« Quel gamin ! Il me rendait folle . Mes mains tremblaient . J'avais juste envie de l'étrangler . C'est alors que je me y' à imaginé un plan des plus diaboliques, digne d'un thriller hollywoodien, pour assouvir ma colère . D'abord, je lui aurais coupée sa langue, de sorte qu'il ne puisse plus embrasser une fille de sa vie . Puis,je l'aurais donné manger à un crocodile sorti de nulle part - un peu comme Peter Pan - .Il aurait donc traqué Kostos pour terminer le reste .Apeuré, il aurait demandé mon aide et, de bonté, j'aurais dit oui mais à une seule condition : qu'il arrête la clope. Monsieur dit non, je l'envoie se faire foutre et il se fait bouffé. Et moi ? J'aurais rigolé ( je vous laisse imaginer le rire de sorcière que j'aurais fait ) . Mais je l'aimais trop pour faire ça . Puis je n'étais pas débile à ce point-là et ... l'hôpital psychiatrique, très peu pour moi. Bien qu'énervée , cela m'avait arracher un léger sourire . ( vous pensez que je suis sadique , non ? Ne vous en faites pas , je me pose parfois la même question .)
KOSTOS : Bah, je fais connaissance avec ma nouvelle amie!
PAAF ! Une idée me traversa l'esprit comme un coup de tonnerre . Mon heure de vengeance arrivait . J'allais lui foutre la honte de sa vie à ce Kostos . Je détournai mon regard vers cette jeune femme blonde . De beaux yeux bleus , des lèvres pulpeuses , bien foutue ... il en avait pas marre ?! Je veux dire , toujours des blondes , qu'ont-elles de si spéciales par rapport à nous , les brunes ? Il faudrait que je demande à Kostos . Bref , j'observais donc Blondie , les yeux remplis de fureur . D'ailleurs , j'avais l'air de l'intimidé . Je m'adressai alors à elle , ignorant ce que venait de dire le gamin .
- Ce fut un plaisir de vous rencontrer ,mais je suis désolée de vous apprendre que la fête est terminée !
Il était temps de mettre la main à l'oeuvre . Je regardai Kostos droit dans les yeux , histoire de le mettre en garde . Il continuait à fumer , un sourire au coin des lèvres . Je toussai . Bon sang , ca empestait la cigarette ! Il devrait interdire ces saloperies . Ce gamin me provoquait ou plutôt il adore me provoquer . Il est vraiment bizarre ; ils sont tous bizarres . Un truc de mecs surement ... En deux temps , trois mouvements , j'étais en train de tirée l'oreille gauche de Kostos en l'entraînant avec moi , dans un coin plus tranquille . Il poussait des gémissements . Je pouvais sentir les regards ahuris des passants posés sur nous et vous savez quoi ? Je les emmerdais profondément . Ma main lâcha son oreille devenue toute rouge à présent . J'avais ce sourire narquois sur mes lèvres , qui devait rendre fou de rage le pauvre petit Kostos . Je remarquai par la même occasion qu'il avait perdu sa clope en chemin : cool ! Tout fonctionnait comme je l'avais voulu . Je le regardais de bas en haut , toute fière . Lui , n'avait pas l'air très content . On aurait dit qu'il boudait . Je peux comprendre : il venait après tout de se faire tirer les oreilles par une femme qui n'était même pas sa mère , et comme si ca suffisait pas devant tout le monde et l'autre blondasse . Il était même devenu rouge de honte . Une première . Oh c'était le paradis , j'étais aux anges .Peut-être maintenant m'écoutera-t-il . Comme sa mère .
- Ca va fiston ? T'as pas l'air très bien . Je dis ça parce que t'es tout rouge . C'est la chaleur ou la honte qui t'ont mis dans cet état-là ? Parce que c'est flippant à voir .
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