Haunted House

AVEC N. MARLEYNNE-ROSE DON VITO

20 octobre, 21h20 "Il parait que la maison sur la colline de Long island est hantée... tous ceux qui l'ont acheté dans le passé, sont mort de façon inexpliquée après une longue période de folie... Cette maison n'a plus eu d'habitant depuis un demi-siècle maintenant, elle n'est là, que pour la décoration et pour les plus courageux qui voudraient s'y aventurer..." J'étais curieuse de tout, alors forcément, lorsque j'étais tombée sur ce résumé, sur un site internet quelconque, je m'étais tout de suite inscrite pour la visite proposée le 20 octobre. Un lundi soir. C'était tout de même surprenant, beaucoup travaillaient le mardi. Mais bon. Je ne savais pas du tout si j'étais du genre à avoir facilement peur ou non. Du coup, j'avais envie de le savoir, tout comme j'avais envie de découvrir de nouvelles choses. Mon plus vieux souvenir remontait à deux semaines seulement, j'avais tellement de choses encore à apprendre et à découvrir ! Depuis qu'on m'avait montré New York City sur une carte de l'Amérique, à chaque fois que je voyais un planisphère je me sentais vraiment très petite. Il n’y avait pas longtemps, j’avais aussi appris qu’il y avait quelque chose d’encore plus grand que le monde : l’Univers. C’était… incroyable. Enfin, toujours était-il qu’en cette soirée d’octobre, j’allais visiter cette fameuse maison. Et je me rendais compte que je n’avais pas peur du tout. Enfin, ça, c’était au début. Car le guide semblait très bien informé, du coup la façon qu’il avait de faire la visite, avec ses anecdotes. Même moi j’arrivais à imaginer à quel point ce que les anciens acheteurs ont vécu n’était pas normal, pourtant, ce n’était que depuis deux semaines que je ‘’vivais’’. Tandis qu’on avançait, je m’amusais avec ma lampe de poche, à éclairer les environs. Une voix autre que celle du guide parvint à mes oreilles. Tiens, c’était étrange ça. Puis, j’entendis des bruits, mais j’étais incapable de dire par quoi ils étaient causés. « Dites, vous n’entendez pas des bruits bizarres dans le coin ? » Non parce que bon, ça me semblait tout de même un peu anormal tout ça.

BILLY & MARLEY

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J’avais un peu envie de m’amuser. Et puis bon, c’était bien le moment de s’amuser. Avec Halloween qui approchait ça ne me donnait qu’une seule envie. La frayeur. C’était toujours cool ces moments de sensation je trouvais. Et c’est bien pour ça que je m’étais inscrite à ce truc-là. De visite de maison hantée. Et d’après ce que j’avais vu sur internet, elle était vraiment hantée. Ça m’intriguait. Les fantômes n’existaient pas… c’était impossible. Sinon ça se saurait depuis le temps. Non ? Ou alors c’était moi qui divaguais. Amusée, je me préparais bien vite. C’était l’heure d’y aller, et ça serait dommage de rater la soirée. Nuit noire, je me garais là où je pouvais, pas trop loin de la maison, mais pas trop prêt non plus. Imaginons que le fantôme se cache dans ma voiture hein ? Longeant le jardin, je me regroupais avec le petit groupe qui attendait aussi la soirée. Apparemment on était plein à aimer les sensations de frayeur. Moi qui avais peur d’être la seule. La guide nous rassemblant, je suivais le mouvement, me retrouvant à côté d’une asiatique. Soit je devenais folle, soit j’avais l’impression d’en voir de plus en plus depuis que je fréquentais Eunji. C’était un complot. Mains dans les poches j’écoutais attentivement, alors que je fixais la lampe torche de ma voisine. Elle avait l’air de s’amuser. « Dites, vous n’entendez pas des bruits bizarres dans le coin ? » Tournant mon visage vers elle, je me concentrais sur les bruits alentours alors que tout le monde s’arrêta de faire du bruit. « Non, y’a rien. » Dis-je en haussant les épaules, et tout le monde confirma. Avançant à nouveau, un bruit cette fois fracassant nous fit nous stopper. On aurait dit une porte qui claquait. « Haha. C’est vous hein ? » Dis-je à l’attention du guide. Vu sa tronche… Je commençais à douter. « C’est pas drôle. » Dis-je à voix basse. Vraiment pas.

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AVEC N. MARLEYNNE-ROSE DON VITO

Cette soirée promettait d'être amusante, voilà ce que tu t'étais dit lorsque le guide s'était présenté. Il avait ce petit truc en plus, qui le rendait très sympathique, ce petit truc en plus qui te plaisait bien. La manière dont il présentait l'histoire de la maison et vous faisait visiter les lieux t'amusait. Tu ne regrettais pas de t'être inscrite à cette soirée, pas une seule seconde. Tu t'amusais bien, que ce soit grâce à l'originalité de cette visite, ou parce que tu jouais avec ta lampe de poche. À un moment, tu te demandas si, quand tu étais enfant, tu aimais aussi jouer avec le faisceau lumineux de la lampe de poche. Cependant, comme tu ne t'en souvenais pas, tu te contentas de hausser les épaules et de te reconcentrer sur les paroles du guide, quand soudain, des bruits parvinrent à tes oreilles. Non pas les bavardages des autres personnes t'accompagnant, mais des bruits un peu plus étranges. N'étant pas sûre d'avoir bien entendu, et trouvant la situation un peu bizarre, tu demandais aux autres si eux aussi avaient entendu. Le silence se fit et la fille à côté de toi prit la parole. « Non, y’a rien. » Les autres dirent la même chose, alors tu te dis que c'était sûrement parce que tu étais dans une maison réputée hantée que tu t'imaginais des choses. Vous recommençâtes à marcher. Puis, lorsque le bruit d'un porte que l'on claquait bruyamment retentit, tout le monde s'arrêta, tu en fis de même. « Haha. C’est vous hein ? » Tu dirigeas ta lampe de poche vers ta voisine, à qui il te semblait que la voix appartenait, puis vers le guide. L'expression effrayée qui se lisait sur son visage t'amusa, enfin, jusqu'à ce que tu réalises que ça voulait dire qu'il n'y était pour rien dans ce bruit étrange. Là, tu perdis un peu ton sourire, en commençant à t'inquiéter. Ça te rappelait une histoire d'horreur que tu avais lu sur internet, ce genre de bruits louches. « C’est pas drôle. » Tu reposas ta lampe sur le visage de la jeune femme. Tu n'eus pas le temps de prononcer un seul mot que tu eus l'impression que quelque chose venait de t'effleurer l'avant-bras. « Qui c'est qui vient de me frôler ? », lanças-tu alors. Tu étais au fond du rang, il n'y avait personne derrière toi. Et tu étais en train d'éclairer devant. Il n’y avait pas à dire, tu commençais vraiment à trouver tout ça étrange.

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« Qui c'est qui vient de me frôler ? » Okai. Là t’en avais des sensations, tu ne pouvais pas dire le contraire. Mais ce n’était... Que fictif hein ? Quelqu’un était surement de mèche avec le guide, un truc du genre. Ça se passait toujours comme ça à la télévision. Il y avait un plaisantin dans le public. « Y’a personne derrière nous. Je pense qu’il y a un plaisantin parmi nous. Ou quelqu’un qui est de mèche avec le staff. » Tu fixes le guide, même s’il était dans un stade de décomposition avancé. Tu doutais même un peu de sa santé. Il était si pâle, que tu te demandais s’il n’était pas un fantôme. Raclant ta gorge, t’enfonçais des mains dans tes poches, alors que les gens commençaient à avancer, comme pour chercher un peu de courage. Après tout vous n’alliez pas rester planté là. Il fallait bien avancer. Tu suivis le mouvement, tranquille en silence, écoutant un peu le guide parler. Ou bégayer plutôt. Oui il avait l’air de vouloir partir en courant. Debout contre un mur, tu baillais alors que le guide essayait tant bien que mal de raconter l’histoire de la première famille de cette maison. L’histoire du pourquoi du comment. Folie, suicide et j’en passe. Bref, de quoi te tenir en haleine. Sentant un courant d’air dans tes cheveux, un frisson s’empara de toi. Tu te tournes alors pour regarder autour de toi mais rien. Attrapant ton téléphone, tu te mis à chercher l’option lampe torche et l’activa. Pas de fenêtre. Rien. D’où provenait le courant d’air ? « Vous avez entendu ça ? » Une fille au premier rang. Le silence s’installa à nouveau. Tout le monde était aux aguets. Quoi encore ? Puis tu l’entendis toi aussi. Les escaliers plus loin, grinçaient. Comme si… Comme si quelqu’un marchait dedans. Tu déglutis, pas trop rassuré. « C’est surement rien. » annonça un type. Et ce même type s’aventura vers les escaliers. Trop sombre pour le voir monter, tu le perdis vite de vue. Les gens se mirent à chuchoter. Certains parlaient de partir d’ici. Tout à coup, le son de la voix de cet homme se mit à crier dans la demeure, faisant un écho plus que flippant, digne d’un film d’horreur. Il était peut-être de mèche ? Curieuse, tu te mis à courir vers les escaliers pour les éclairer de ton téléphone. Hein ? « Il… Il n’y a personne dans les escaliers. » Pourtant… Pourtant, il devrait y être. Impossible de les monter en si peu de temps. Panique à bord. Tout le monde se mettait à courir partout. Et d’après ce que tu vis, impossible de sortir de la maison. La porte était… Bizarrement verrouillé.

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« Y’a personne derrière nous. Je pense qu’il y a un plaisantin parmi nous. Ou quelqu’un qui est de mèche avec le staff. » Oh. Tu comprenais mieux, maintenant. Cette fille avait sûrement raison... après tout, il n'y avait vraiment personne derrière vous et tu entendais quelqu'un pouffer pas loin de toi. Un quelqu'un sûrement satisfait de sa blague. À moins que ce ne soit un pouffement de peur. Ça existait ce genre de choses, non ? Tu n'en savais rien. Lorsque le groupe recommença à marcher, tu les suivis, d'un pas malgré tout joyeux, en continuant de jouer avec ta lampe de poche. Décidément, cet objet était formidable ! Très amusant et pratique. C'était décidé, demain tu t'en achèterais une. Et puis, il fallait dire que, parfois, tu n'étais pas très rassurée lorsque tu te réveillais en sursaut et en pleine nuit. Une lampe de poche était bien plus drôle qu'une lampe de chevet. Tu écoutais attentivement le guide, qui semblait encore effrayé à cause de la porte qui venait de claquer mystérieusement. Quelque chose te paraissait étrange. Si cette maison était réellement hanté, ce guide devrait avoir l'habitude de la faire visiter... n'est-ce pas ? Alors... pourquoi serait-il si effrayé ? C'était son métier, après tout, c'était ridicule qu'il ait si peur ! Enfin, après tout, peut-être qu'il avait ses raisons, tu n'en savais rien. En tous cas, une chose de sûre, cette histoire de folie et suicides t'amusait énormément si tu songeais que c'était de la fiction, et te faisait frissonner d'effroi si tu pensais que c'était la réalité. Soudain, tu sentis un courant d'air froid venir te carresser le bout du nez. Tu passas ta main dessus, par réflexe et pour le réchauffer un peu. « Vous avez entendu ça ? » Entendu quoi ? Tu tendis l'oreille, après avoir baissé ta lampe de poche afin de te concentrer plus aisément sur le bruit. Un grincement provenant de l'escalier face à vous. « C’est surement rien. » Tu releva ta lampe et éclaira en direction de l'homme qui venait de parler. A priori, il partait voir si oui ou non il y avait quelque chose. Tu remarquas que la lumière émanant de ta lampe se fit soudain plus faible et, cureuse, tu dirigeas le faisceau vers ton visage afin d'essayer de trouver ce qu'il se passait. Un cri te fit relever la tête, au moment même où la lumière de ta lampe devint un souvenir. La fille à côté de toi s'aventura vers les marches et les éclaira de son portable. « Il… Il n’y a personne dans les escaliers. » Et, à ce moment, tout le monde se mit à hurler. Tu sentais des courants d'air autour de toi, causés par tout ce monde qui courrait. Certains partaient vers la porte, qui s'avéra être verrouillé, au vu des exclamations paniquées. Bon, et bien... tu allais devoir rester là pendant quelques temps, apparemment. Tu décidas alors de partir vers les marches et de monter la première. « Il n'y a personne d'autre qui a envie de savoir ce qu'il a vu pour hurler de cette façon ? », demandas-tu en tournant la tête derrière toi. Tu espérais que quelqu'un allait t'accompagner, car tu n'avais pas vraiment envie d'y aller seule...

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« Il n'y a personne d'autre qui a envie de savoir ce qu'il a vu pour hurler de cette façon ? » Si toi tu as envie d’aller voir. Tu ne pouvais pas rester sans rien faire. C’était surement une embuscade par des jeunes qui se croyaient plus malin que n’importe qui. Et tu voulais bien leur foutre une bonne raclée pour leur montrer que toi aussi tu pouvais être effrayant quand tu t’y mettais. « Moi, je t’accompagne. » Tu t’avances vers elle en montant les marches pour se mettre à son niveau. Apparemment vous étiez les deux seules folles à vouloir vous aventurez là-dedans. Tant pis pour eux. En plus la porte était fermée, alors ils ne pouvaient pas faire grand-chose. Autant venir. Mais tu ne pouvais pas les forcer pour autant. Haussant les épaules, tu te tournais vers ta nouvelle acolyte. « Bon je crois qu’on sera que toutes les deux, tant pis pour eux. » Tu dis en haussant encore plus les épaules. « Ils savent pas ce qu’ils ratent. » Puis tu t’aventures dans les escaliers, ton téléphone à la main en mettant le mode lampe torche au maximum. C’est que ça éclaire bien quand même. Tu montes lentement, comme si quelque chose ou quelqu’un allait te bondir dessus, et en plus de ça l’escalier craque. Ce n’est vraiment pas cool comme ambiance. Tu te dis que tu aurais dû rester chez toi en cette magnifique soirée, pour manger des popcorns devant un bon film d’horreur. C’est cool les films d’horreur. Puis tu vois une ombre passer devant toi au loin en haut des escaliers. Sans réfléchir tu te figes en agrippant ton acolyte. « C’est encore plus flippant que la maison hantée de la fête foraine. » Lui marmonnes-tu.

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Ta question semblait avoir été ignorée. Personne ne te répondais, ils étaient trop occupés à essayer de sortir malgré la porte fermée, ou bien à paniquer au milieu de la pièce. Tant pis pour eux, s'ils n'avaient toujours pas compris qu'ils n'étaient pas près de sortir et qu'ils allaient s'ennuyer en attendant. « Moi, je t’accompagne. » Tu tournas la tête. C'était la fille qui était au fond du groupe, avec toi. C'était bien la seule qui semblait vraiment vouloir profiter de la soirée... ils promettaient une soirée frisson sur le site, alors autant vraiment faire une soirée frisson ! Et de toutes façons, le guide connaissait sûrement les sorties possibles. Il y en avait forcément d'autres que dans l'entrée. D'ailleurs en parlant du guide, où était-il passé ? Avant de continuer de monter les marches, tu te retournas et le cherchas du regard. Ah ben il avait vraiment disparu. Tu clignas des yeux plusieurs fois, un tic de quand tu cherchais à comprendre une situation. En l'occurrence, où est-ce qu'il était passé. Tu l'auras vu, s'il avait fui par l'escalier, et il se trouvait qu'il n'y avait pas d'autre issue. Bah, pas grave. « Bon je crois qu’on sera que toutes les deux, tant pis pour eux. » Tu haussas les épaules, abandonnant la quête d'une réponse, tournas la tête et souris à la fille qui t'accompagnait. « Ils savent pas ce qu’ils ratent. » Tu souris un peu plus, en riant un peu, puis tu t'avances dans les marches qui craquaient, regardant avec intérêt les endroits éclairés par le faisceau lumineux du portable de la fille. Ton regard se fixa en haut des marches. Il semblait y avoir quelque chose tout en haut. Une ombre bougea. Oh. Ta camarade d'exploration s'aggripa à toi, tu devinas qu'elle aussi avait sûrement vu quelque chose. « C’est encore plus flippant que la maison hantée de la fête foraine. » Tu te tournas vers elle. La maison hantée de la fête foraine ? « Je ne vois pas de quoi tu parles, je ne peux pas dire. » Une fois que tu eus fini de parler, des voix se firent entendre. Et ça ne venait pas des autres gens qui participaient à la soirée, tu en étais sûre. Tu reposas ton regard vers le haut des marches. Il y avait plus qu'une ombre, là. À qui appartenaient-elles ? Curieuse, tu continuas de monter, jusqu'à ce que ton regard se pose sur quelque chose de rouge. Sûrement du sang. Ça te rappelas un film d'horreur. « Je ne sais pas ce qui est bizarre, mais il y a quelque chose d'anormal... », annonças-tu d'un air pensif.

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« Je ne vois pas de quoi tu parles, je ne peux pas dire. » Certes si elle n’était pas allée à cette fête foraine, en effet elle ne pouvait pas comprendre. Mais pourtant, tu pensais que tout habitant de New-York allait à cette fête foraine, c’était comme une évidence à tes yeux. Faut croire que ça n’intéressait pas forcément tout le monde. Mais tu persistais à dire que c’était bien plu flippant surtout quand tu entendais tous ces bruits, et qui n’avaient vraiment pas l’air d’être des autres, là, en bas. « Je ne sais pas ce qui est bizarre, mais il y a quelque chose d'anormal... » Très anormal même. Penchant ta tête, tu le vis toi aussi, ce rouge, cette tâche de sang. Ou alors était-ce de la confiture ? Non, tu n’étais pas bête, la confiture dans ce genre d’endroit. Vous n’étiez pas en train de tourner un film. Pourtant tu te penches et tu plonges ton doigt dedans. C’est chaud, et gluant. Portant ton doigt à ton nez tu renifles, l’odeur de la rouille te prend dans la gorge. « C’est bien du sang. » Oui maintenant vous aviez confirmation. T’essuyant le doigt sur son pantalon, tu finissais de monter les escaliers avant de te trouver dans un grand couloir. T’aimais pas ça du tout. En plus tu devais choisir un côté ou partir. Droite ou gauche ? C’était quoi cette question du siècle là ? Entendant un bruit sur ta gauche, tu tournas le regard vers le bruit avant de plisser les yeux. Y’avait quelque chose là-bas non ? Faisant signe à ta compère de la suivre, tu filais d’un pas rapide vers la gauche avant de te figer. C’était quoi ça contre le mur ? T’agrippant au bras de l’asiatique tu avanças la tête avant de voir… un… Un fantôme ? Ecarquillant les yeux, tu poussas un cri avant de reculer. « Bordel ! Dis-moi que c’est pas ce que je crois ! » Dis-tu sans trop oser regarder à nouveau.