♦ Quand l'envie nous prends il faut l'assouvir.
16h
Après avoir échangé quelques sms avec mon cher William l'un de mes plans culs réguliers. On avait décidé de se voir tous les deux à 17h00.
Notre relation était purement sexuelle et ca n'irait jamais plus loin. Non j'avais Jonah comme mari et je ne voulais personne d'autre dans ce rôle la. Je savais que je pouvais continuer sur lui quand j'en avais envie, un coup de téléphone, un sms et on se rencontrait pour faire une belle partie de jambe en l'air bien sure sans sentiment.C'est pour ca que j'aimais bien coucher avec lui.

J'avais quitté un peu plutôt le boulot pour aller le rejoindre chez lui. J'avais quitté l'entreprise à borde de ma voiture et conduisait tranquillement espérant qu'il n'y est pas trop de bouchons sur la route. Mais malheureusement ce fut le cas, je conduisais et m'excitais contre des personnes qui ne voulaient pas avancer ce qui m’agaçait royalement. Pus au bout d'une demi heure, tout ce dégage mais j'étais un peu agacée.

17h00
J'arrive enfin chez William, j’espérais que son coloc n'était pas la pour qu'on soit tranquille tous les deux. Habillé d'un simple robe rouge qui n'allait au niveau de mes genoux sans bretelle sans oublier mes talons rouges assortis, je sortais de la voiture pour aller cogner à sa porte les lunettes sur les yeux espérant que Monsieur ouvre assez vite la porte tellement l'envie d'une partie de jambe en l'air avec lui était présent.

A peine j'entends sa voix que je me mords la lèvre inférieur, il me propose de rentrer et c'est ce que je fis, je laisse tomber mon sac quand celui ci me plaque sur la porte. Je le laisse alors faire et le regarde droit dans les yeux. ses yeux qui me fessaient tellement craquer et donner envie, il avait un regard qui fessait craquer n'importe qui enfin surtout les filles. Il commence alors à poser ses lèvres sur les miennes et je prolonge le baiser mêlant nos langues ensemble. Je ferme les yeux tout en l'embrassant sentant sa main venir chercher mon shorty en dentelle de couleur noir. Il ne se doutait même pas du bien qu'il commencait à me faire. J'ouvre les yeux et rompt doucement le baiser avant de passer ma main sur sa nuque et faire en sorte qu'il me regarde droit dans les yeux. Je penche la tête et souris avant de dire

_ J'espere qu'on est tous les deux j'ai envie de faire du bruit pas comme la dernière fois.

Oui la dernière fois, on avait commencé nos ébats et son coloc était arrivé et il était rentré sans frapper, ce qui avait un peu coupé tout. Je descends ma main de sa nuque pour aller la faire glisser sous son haut afin d'aller au plus vite car la il commençait vraiment à m’exciter et je n'allais pas tenir beaucoup, je défais alors sa ceinture avant de la passer au niveau de sa nuque pour le rapprocher de moi. Je ris légèrement avant de l'embrasser à nouveau tenant sa ceinture de chaque coté et rapprochant sa tete contre la mienne afin de faire au mieux ce baiser qui voulait dire beaucoup de chose

William caressa les fesses de Madeline, tâtant ainsi le sous vêtement de la jeune femme. Un shorty, il en était presque sûr. De sa main experte il l’attrapa et le fit glisser pour l’enlever. L’idée qu’elle était désormais presque nu sous sa robe l’excitait. Il avait beau pratiquement connaitre par cœur le corps de Mady à force, il prenait toujours plaisir à le voir. Elle rompu leurs baiser et il en profita pour regarder le couleur de son shorty par curiosité avant de le lâché au sol. Il reporta son regard sur elle quand elle passa une main dans sa nuque et plongea ses beaux yeux bleu vert dans le sien. Son regard était pénétrant mais bientôt ça ne serait plus seulement son regard qui le serait…

« J’espère qu'on est tous les deux j'ai envie de faire du bruit pas comme la dernière fois. »

William se mit à sourire en y repensant. Il est vrai que leurs derniers ébats avait dût être cruellement abrégé. Il se souvenait encore de la frustration ressentie. Mais cette fois ça n’arriverai pas. Il avait avidement envie d’elle.

« Il n’y a que toi et moi »

En réponse Madeline défit sa ceinture. Il la regarda faire tout en passant légèrement sa langue sur ses propres lèvres avec envie. Il se demandait ce qu’elle avait en tête, quel serait les préliminaires. Pour l’instant il la laissait faire, après tout c’était elle qui avait eut besoin de ses services. Mais ce n’était qu’une question de temps avant qu’il prenne les choses en main, au sens propre comme au figuré. Il releva les pieds enfin de se débarrassé de son pantalon qui avait glissé sur ses cheville, se retrouvant désormais en caleçon. Elle se servit de sa ceinture pour le ramener à elle afin de l’embrasser encore, ce qui l’amusa autant que ça l’excita. Ses lèvres posait sur les siennes, leurs langues entremêler de nouveau, il passa une main dans ses cheveux tandis que son cœur commençait doucement à s’emballer. Se rapprochant d’elle il remonta son genou pour venir le coincer entre ses cuisses, le faisant doucement monter et descendre pour que son esprit se souvienne du plaisir qu’elle pouvait éprouver quand quelque chose se trouvait là, se frottant à son vagin. Mais ce n’était pas son genou qu’elle voulait, c’était autre chose…

Il s'amuse alors à retirer mon shorty d'une manière que j'aimais chez lui. Il ne put s’empêcher entre deux baisers de regarder la couleur de mon shorty qui sur le coup me faire légèrement rire. A chaque fois il le fessait pourquoi je ne savais pas et je m'en fichais un peu a vrai dire. Lorsque celui me dit alors qu'il n'y avait personne, je souris encore plus avant de lui dire

_ Ah j'aime quand tu me dis ca je vais pouvoir faire du bruit à en réveiller les voisins

Après avoir alors enlevé sa ceinture, celui ci retire son jean et je le regarde faire en souriant et me mordant la lèvre tellement l'envie était la et celui ci m'aidait a avoir encore plus envie de ne faire qu'un avec lui et faire encore une partie de jambe en l'air intense.
Nos langues s’enlaçaient pendant que je m'amusais a passer sa ceinture au niveau de son cou, puis je lâche sa ceinture et celle ci tombe sur le sol. Je sentais qu'il était excité, ce qui m’excitait encore plus. J'entendais battre son coeur à un rythme qui voulait dire qu'il ne manquait pas beaucoup pour que monsieur veuille bien me pénétrer. Et il me le fit comprendre quand je sens son genou entre mes cuisses, il le remonte et le descend et je me mords la lèvre avant de lui dire

_ Tu as pas autre chose de mieux que ton genou

dis je avant de faire glisser ma main au niveau de son torse et finir par glisser ma main dans son calecon ou son membre était assez dure, je commence alors à donner quelques va et vient entre ma main et son membre. Puis je remonte ma main au niveau de son tee shirt afin de lui enlever car celui ci me genait assez pour faire ce que j'avais derrière la tête

Il continuait ses mouvements avec son genou qui me donnait de plus en plus envie de lui, ressentir son membre en moi et baiser comme on savait le faire assez souvent. Lorsque celui ci me dit de ne pas être impatiente, je ronchonne légèrement. Je n'étais pas patiente surtout dans ses moments la. Je le regarde droit dans les yeux avant d’accélérer mes mouvements pour lui faire comprendre que je n'avais qu'une envie c'était qu'il mette son membre dans mon intimité et gémir.

Puis il baisse son genou et je souffle doucement en souriant, j'étais excité et il pouvait le sentir dans mon souffle qui commençait à se saccader. Je continue toujours autant mes mouvements de plus en plus vite, je voulais que son membre soit au maximum et qu'on puisse baiser au plus vite. Il prends alors mes jambes et j'entoure son bassin avec lachant son membre. Je le regarde droit dans les yeux passant mes bras à son cou pour qu'il me tienne encore mieux. Je l'embrasse violemment tellement l'envie était présente et intense. Je sentais sa musculature sur mon corps ce qui m'excitait encore plus et si celui ci avait le malheur de mettre ses doigts dans mon intimité il pourrait le voir que j'étais excité. Je savais ou celui ci m'amenait et c'était dans sa chambre dommage j'aurais aimé commencer par la cuisine mais il n'avait pas surement envie et préféré dans sa chambre ou on serait plus tranquille peut etre. Je descend doucement mes lèvres vers son cou et l'embrasse laissant quelques marques de rougeur

Pour ma part je ne couchais jamais chez moi. Mes prétendants et amants n'avaient pas le choix c'était chez eux ou ailleurs sinon rien. Mon lit conjugal et ma maison n'était que pour moi et mon mari. Je ne les amenais jamais chez moi car je savais aussi que si Jonah nous trouvait il s'en prendrait à lui et je perdrais un amant et ca je n'avais pas envie surtout encore moins avec Williams qui était mon préféré.

On était dans la chambre à coucher et je continuais de l'embrasser mes jambes enlaçaient au niveau de son bassin.Il me couche sur le lit avec une délicatesse et je le colle contre moi tout en souriant sachant très bien ce qui allait se déroulait la tout de suite. Nos regards se croisent et je me mords la lèvre tout en me surélevant légèrement pour pouvoir l'embrasser.Il attrape mes jambes et je les enlace a nouveau à son dos pour le rapprocher au plus près de moi.
Aujourd’hui il n'avait pas envie de m'enlever ma robe tant pis mais ca ne nous empêche pas de faire l'amour.
Il finit par me pénétrer et je lâche un léger gémissement. Ses mouvements de bassins sont un pure délice. Je ferme les yeux passant mes mains dans son dos plantant mes ongles dans sa peau tellement c'était bon, je mords ma lèvre inférieur. Je lâche encore un gémissement à son oreille pour qu'il comprenne que c'était le pied avec lui la en ce moment. J'avais envie de diriger et c'est pour cela que je fais en sorte de venir sur lui même s'il n'avait pas forcément envie mais je m'en fichait. Je commence alors des coups de bassins

J'avais décidé de me mettre sur lui pour lui faire voir que j'étais autant capable que lui de donner des coups de bassins. Je me met sà califourchon sur lui passant mes mains sur son torse. Je commençais mes légers coups de bassin prenant appui sur son torse. J'y allais tout doucement pour bien le faire patienter avant d’accélérer le mouvement. Je prends alors ses deux mains et les plaque contre le lit. Je penche ma tete sur lui et plus exactement sur ses lèvres pour pouvoir lacher quelques gémissements mais aussi pouvoir mordiller ses lèvres entre les miennes.
Je continue mes coups de bassins de plus en plus vite et intense. Je laissais sortir des bruits de gémissements. Je n'allais pas encore avoir un orgasme non je voulais faire durer un peu notre partie de jambe en l'air. Je desserre ses mains afin de les mettre sur ma poitrine pour qu'il joue avec un peu, je passe alors un doigt sur son torse tout en souriant et mordant ma lèvre.
Que c'était bon de baiser avec lui, j'avoue que c'était l'un des seules avec qui j'aimais couché régulièrement bon il ne battait pas mon mari mais il n'était pas loin de cela. Je penche ma tete à son oreille pour lacher des cris de gémissement afin que celui ci prenne le relai et donne des coups de bassins autant que moi

Des témoins de Jehova sonnent et sonnent, pendant plusieurs minutes. Ils finissent par s’imposer dans votre salon.

On était entrain de baiser tous les deux et on prenait notre pied. Jusqu’à que j'entende sonner, je soupire doucement mais je continue quand meme mes mouvements toujours aussi intensément. Je pensais que c'était encore son colloc qui avait surement oublier ses clés. Je sentais que William n'était plu dans le coup de la baise, il avait la tête arrière. Il me dit qu'il y avait quelqu'un dans son appartement. Bordel pourquoi il a pas fermé à clé. La je lui en voulais. Il fait en sorte de se mettre sur moi et continue ses mouvements mais ce n était plus la meme chose. Je soupire doucement.

J'entends William parlait à une femme et je soupire rageant et surtout maudisant la bonne femme. Puis il se retire et vient se mettre sur le coté en nous mettant le drap, je mets le drap au niveau de ma poitrine et je regarde la bonne femme de travers. Je ris en l'entendant me demander si on était mariés ou pas. Je tourne mon regard sur William. Des témoins de Jéhova la blague. Je regarde Ariel la petite sirène et dis

" Tu devrais y gouter ca te décoincerait et tu aurais moins le visage d'une femme avec un balai dans le cul"

dis je avant de regarder William et de pouffait de rire.

"Tu me fais une blague William?"