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Mission échouée... [Kostos & libre]

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MessageSujet: Mission échouée... [Kostos & libre] Mission échouée... [Kostos & libre] EmptyMar 15 Déc - 8:07

Mission échouée... [Kostos & libre] Icon383 Mission échouée... [Kostos & libre] JakeIconRed17-1
Shabella & Kostos

Une nouvelle vie commençait… Cela faisait déjà un mois que le processus avait démarré… Et je dois admettre que je me sens mieux que ce que j’aurais pensé il y a encore quelques semaines… Beaucoup mieux que je n’aurais pus le penser lorsque j’étais avec Kostos dans mon appartement. Mais il est vrai aussi que la vie ne serait sans doute plus jamais comme avant et je le ressentais déjà après un mois… La base de tous ces changements, c’était mon ex-copain… Il m’avait largué pour mieux fuir à Paris après avoir tuer une fille… Et quelle fille, il s’agissait en fait là de la demi-sœur de mon demi-frère, je n’avais jamais rencontré la jeune blonde et mon demi-frère non plus, bref, il avait fuit à Paris et là, avait sauvé une petite fille orpheline depuis peu d’un accident de voiture où ses deux parents étaient morts, après ça, il l’avait conduite à l’orphelinat, et depuis ce jour, elle était devenue « sa fille », et autant vous dire que je considérais ça comme du foutage de gueule… C’était comme si il pensait que, parce qu’il l’a sauvé, il était son père, la personne qui allait à jamais remplacer son vrai père, comme si ça marchait comme ça… En plus, Madison était une petite fille de sept ans et sept ans avec un père, ça ne s’oublie pas comme ça et ça ne se remplace pas par un mec qui vient d’arriver en France et qui est, en plus, un criminel… Tout ça pour dire, que c’était quand même un peu n’importe quoi, franchement, ça me dépassais, à croire qu’il n’y connaissait rien à la vie, pourtant c’était lui qui avait eu des parents qui ont toujours été là et qui ont toujours cédés à ses caprices, pas moi… En deux semaines, cette petite fille était devenue sa raison de vivre, ne jurant que par elle et ne parlant que d’elle, il commençait à légèrement devenir saoulant, mais je n’avais rien dit, mais je n’en pensais pas moins, j’aime autant le dire…
En un mois, il y avait eu de nombreux événements, mais je dois dire que le plus marquant avait été cette journée où j’avais tenté de ne plus jamais me réveiller. Après un appel de mes parents, courts, net, précis, me disant que je n’avais jamais été leur fille et qu’ils me déshéritaient entièrement, ça plus le fait que j’étais en dépression depuis déjà quelques jours, je n’avais pas pût supporter, je dois dire qu’ils n’y avaient pas été de main morte cette fois, à chaque coup de fil de leur part j’avais mal, mais jamais à ce point là. C’est à partir de ce moment que j’avais prévenu Nick de venir « chez moi », pour qu’il cherche et arrive trop tard. Je m’étais ré-ouvert les veines, à vrai dire, je m’étais tailladée les veines sur environs douze centimètres, trois coups sec, dix minutes avant de m’évanouir et je m’étais réveillée à l’hôpital, dans la chambre, Sven, Felicity, Jawon, Psy, Jules, Palmyr, des personnes en plus et des personnes en moins, ce n’était pas comme la dernière fois, mais je dois dire que je ne m’étais jamais attendue à voir Kostos ça non…
Rendez vous chez un psy programmer, pas le même que celui de mes parents mais ce n’est pas pour ça que je dirais plus de chose à celui-ci, en vérité je me vois bien lui parler de la pluie et du beau temps ou encore lui dire des trucs du style : « Oh, et vous savez que je préfère la Tequila à la Vodka, ça assomme plus vite… »
En dehors de ça, le troisième jour à l’hôpital fût aussi le plus beau jour de ma vie jusqu’à présent, Nick était venu me voir, comme tous les jours et m’avait demandé quelque chose sur lequel nous délirions, mais cette fois ci, ce n’était pas pour plaisanter qu’il me demanda si je voulais qu’il m’adopte, comment refuser ça à Sven, mon protecteur depuis tellement de temps ? Moi qui n’avais plus vraiment de nom de famille depuis le jour de ma tentative de suicide, comment refuser de devenir entre guillemets, une Ackerman. Je dois dire que mon « père » était à mes yeux le meilleur père du monde, bien mieux que mon géniteur et de très loin, je dois bien l’avouer.

Mais passons, nous sommes complètement hors sujet, pour en revenir à Kostos, mon ex-petit ami, je savais qu’il était de retour en ville et pour quelques semaines depuis le samedi 5 décembre j’étais au courant, sauf qu’il a tord de revenir en ville, dans MA ville, le fait est que quand je l’ai sût j’étais au volant de ma voiture en route pour un casting quand je l’avais vu marchant sur un trottoir aux alentours du cimetière où était enterrée Cloé, une mine d’enterrement sur le visage, l’espace d’un instant, il m’a parut logique que ce soit Haydon, mais non, il n’avait rien à faire dans cet endroit, il ne connaissait personne de mort à NYC il était donc peu probable qu’il aille dans un endroit pareil, c’est comme ça que j’en conclut que c’était Kostos, et c’est aussi à ce moment que je manquais de foncer dans la voiture de devant. Après cette apparition curieuse, j’avais été au casting, Kostos étant l’objet de toutes mes pensées, j’avais dût redoubler d’effort pour bien jouer la comédie, mais mon jeu n’en fût que meilleur à vrai dire mais il est vrai que je ne savais pas encore si j’avais le rôle ou non, mais ils avaient l’air conquit, j’avais toutes mes chances. Mais revenons à Kostos qui, depuis qu’il était là, m’obsédais, moi qui avais tout fait pour l’oublier, c’était peine perdue désormais. Je voulais qu’il s’en aille, je ne voulais pas le croiser, je ne voulais pas de sa « dernière volonté », je ne voulais pas de ses « take care », je faisais ce que je voulais et ce n’était pas lui qui allait me dicter ma conduite, personne n’arrivait à le faire et je ne vois pas comment lui, mon ex-petit ami aurait pût. Nick savait lui aussi qu’il était là, et après m’en avoir parler, nous avions conclut qu’il était préférable que je ne le croise pas, lui comme moi, nous ne souhaitions pas le croiser, en aucun cas… Il avait peur que je retombe dans ma période très noire soldée par une connerie monumentale et je ne voulais pas détruire tout ce que j’avais construit pour tenter de l’oublier, j’avais déjà mit du temps et j’avais eu du mal à faire ce que j’avais fait dans ce but, notamment à cause d’Haydon Carter McCurtis, un mec qui ressemblait énormément à Kostos physiquement, mais qui était son opposé caractériellement. Mais il allait repartir, je le savais, et si j’arrivais à ne pas le croiser, ce serait parfait, et quand il repartirait, il ne reviendrait sans doute plus, et j’aurais enfin une vie meilleure, je pourrais enfin me guérir… Ou du moins essayer, parce qu’en fait, en ce moment, je voyais mon cœur comme un trou béant en mal de la seule personne qui pourrait le combler, mais peut être que cette vision des choses changerait au cours du temps, et je l’espérais vraiment, je n’avais pas vraiment envie de rester à jamais comme ça, à essayer de cacher que je vais mal, jouer la comédie pour ne pas que ceux que j’aime s’inquiètent. Mais je crois que ce qui me faisait le plus mal, c’était de devoir l’ignorer alors que Fee lui parlait souvent, Pedro de même, Makena aussi, et moi, je ne lui adressais plus la parole, pour ne pas qu’il sois « torturer » par son passé, et là encore, je trouve que c’est du foutage de gueule, tout simplement parce qu’il m’avait quitter sans aucun remord, alors je ne comprenais pas sa petite comédie, ma tête me disait qu’il m’avait toujours mentit sur ses sentiments et que s’il voulait couper les ponts c’était simplement pour me faire du mal et passer à une autre « victime », mon cœur me disait quant à lui, tout autre chose, que s’il refusait de me parler c’était avant tout pour moi et que si ça ne tenait qu’à lui, il me parlerait tout le temps, cependant, je me trouvais dans une sorte d’impasse en sachant que mon cœur voulait avoir raison et ma tête aussi, alors il était dur pour moi de choisir…
Bref, Kostos était sans arrêt dans mes pensées, son image ne s’effaçait jamais et dès que je voyais Haydon, je voyais Kostos… C’était horrible de ne pas pouvoir regarder Haydon comme s’il était lui-même, de toujours devoir le regarder comme si c’était Kostos… J’aurais tellement aimé enlever très vite Kostos de ma tête, mais à vrai dire, des souvenirs pareils ne s’effacent pas facilement… Et puis, je l’aimais toujours… Et je l’aimerai sans doute pendant un long moment encore. Au fond de moi, je pensais que l’oublier était peine perdue, que je ne pourrais jamais l’oublier, je pensais aussi que s’il revenait dans quelques années, je ne pourrais pas l’ignorer, il me manquerait trop…

Mardi 15 Décembre, journée que je pourrais qualifier de spéciale dans le sens où Kostos était à New York et que c’était son anniversaire, il avait dix sept ans maintenant… Mais journée des plus ordinaires dans le sens où je n’avais plus cours depuis que j’avais quitté l’école, du coup, je travaillais presque tous les jours pour éviter l’ennuie des journées longues sans rien à faire. Et c’est comme chaque jour que je me levais à dix heures, la belle vie n’est-ce pas ? Dès le lever, j’allumais mon ordinateur portable en espérant trouver Haydon sur MSN, chose qui aujourd’hui se réalisa pour mon plus grand bonheur, après une courte discussion, je lui proposais de venir à Central Park, ça, c’était un truc qui n’arrivait jamais et je dois dire qu’il me répondit avec empressement qu’il était d’accord, d’habitude, c’était toujours lui qui insistait pour que je l’accompagne là bas, souvent accompagnée par ma guitare de laquelle il ne se lassait jamais, je lui chantais des chansons plus ou moins connues pour qu’il les reconnaisse, c’était notre grand jeux, Central Park, ma guitare, nous deux, le calme de notre coin tranquille… Il en était accro, et ça se voyait, c’était sans doute pour cette raison qu’il insistait toujours pour que je vienne avec lui, sans ma guitare et sans moi, Central Park n’avait plus vraiment le même aspect pour lui, être seul au milieu des gens ou accompagné par une jeune actrice qui est en mal d’amour mais qui le cache tant qu’elle peut, ce n’est pas vraiment la même chose et Haydon et moi, c’était bien plus qu’une simple amitié qui n’est pas faite pour durée, nous, c’était tellement plus fort et tellement plus déboussolant pour moi…

Bref, je m’étais préparée, le rendez vous était prévu à quatorze heures ce qui me laissait largement le temps pour accorder ma guitare, me préparer et m’entrainer à jouer encore quelques chansons.
C’est donc après avoir mangé, avoir changé trois fois de tenues, avoir trouvé quatre partitions de quatre chansons qu’il aurait pour une fois un peu de mal à reconnaitre que je prenais ma voiture et me dirigeais vers Central Park. Pressure de Paramore à fond dans ma Ford, j’étais complètement amoureuse de cette chanson depuis quelques semaines, je n’arrêtais pas de l’écouter et de la chanter, j’arrivais à Central Park en quarante minutes, vingt minutes de route normale, vingt minutes de bouchons, génial… Heureusement les chansons de Paramore me tenait calme, et en arrivant, je respirais un grand coup, enfin sortie des bouchons, bientôt avec Monsieur McCurtis, on savait parfaitement où on devait se retrouver, je n’avais pas oublié ma guitare, ni mon Ipod, ni même mon Sidekick… Que dire de plus ? Après avoir mis ma veste en cuir sur mes épaules, je sortais de ma voiture, prenant ma guitare, mettant mes appareils électroniques divers dans mes poches de veste, je fermais ma voiture après m’être éloignée de ma voiture grâce à un simple bouton sur mes clefs - c’est beau la technologie XD - et je me mettais à marcher en direction du parc, arrivée à l’intérieur, je marchais plus vite, comme d’habitude, j’étais pressée de voir Haydon, surtout aujourd’hui, je ne voulais pas croiser Kostos et je savais que Central Park ne serait pas sa destination favorite, ou du moins, avant, ça ne l’était pas… Maintenant… Ca ne me concernait plus… Mais de toute façon, même s’il me voyait, il ne viendrait pas me voir et le fait d’être Haydon rendait encore plus sûr le fait qu’il ne vienne pas me voir, c’est ce pourquoi j’avais voulu aller en Central Park, entre autres choses bien évidement, j’adorais passer du temps avec Haydon et le fait de ne pas vouloir voir mon ex petit ami n’avait pas grand-chose à voir là dedans, alors même si je me servais un peu d’Haydon comme d’un répulsif contre Kostos, il était évident que j’adorais Haydon et que je ne voulais pas me servir de lui, mais avec Kostos en ville, je ne savais pas vraiment à quoi m’en tenir, il pouvait arriver tellement de choses que j’en avais presque peur.

Deux heures, Central Park était bondé… Toutes les langues, toutes les nationalités, le monde entier se pressait dans ce parc. Assise sur un banc sur le côté d’une de l'allée principale, je regardais les gens passer, avec Haydon, on adorait s’attendre sur ce banc, tout simplement parce qu’il y avait du monde qui passait devant et qu’on aimait regarder la diversité de ce parc, ma guitare posée à côté de moi, ma veste toujours sur mes épaules j’attendais, et puis, bizarrement, je le vis arriver, au téléphone, un petit sourire sur les lèvres et puis il s’arrêta, sur le côté, pas très loin du banc où j’étais assise, je prenais ma guitare sur mon dos et allais d’un pas léger vers lui, il ne me vit pas arriver apparemment, trop occupé à discuter avec son interlocuteur, je déposais un léger baiser sur sa joue, juste pour qu’il me remarque, pas forcément pour qu’il interrompe sa conversation et puis j’attendais sa réaction, gentiment, à côté de lui…
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