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you can never break me . Appolon Harper

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MessageSujet: you can never break me . Appolon Harper you can never break me . Appolon Harper EmptySam 12 Déc - 20:06

you can never break me . Appolon Harper 6hu5gw you can never break me . Appolon Harper 2148ba9
there's jerk & jerk;
he's a part of the second category.



    La journée appartient à ceux qui se lèvent tôt. Encore faut-il avoir envie d’affronter cette journée, ce qui n’était pas le cas d’Eleanor. Elle voulait déjà être entrain de repasser la porte de Dolce et en avoir fini avec le jour. Malheureusement, les obligations l’obligeaient à se lever tôt et elle tentait de se rappeler son ambition pour trouver la motivation d’émerger du lit. Elle voulait devenir médecin, sauver des vies et vivre dans l’aisance avec son frère. Bien naïf, mais moins quand on connaissait son parcours de vie. Malgré le fait qu’elle ne cessait de se répéter cela, Michael Jackson continuait de raisonner dans la chambre. They don’t care about us. Eleanor détestait ne représenter personne aux yeux d’une connaissance. Néanmoins, elle aimerait qu’une personne n’en ait rien à faire d’elle au point d’être quasi inexistant. Ca, ça l’aiderait à se lever.

    « Eleanor Leo Daniels, tu as 5 secondes pour sortir de ce lit avant que je te botte les fesses pour que t’ailles éteindre ton portable ! »

    Un coup de pied aux fesses, voilà bien l’unique chose qui pourrait faire sortir Eleanor du lit confortablement chaud pour affronter la sale journée qui s’annonçait. Néanmoins, soucieuse de son postérieur, la jeune femme gémit et râla que Dolce n’avait aucun cœur, qu’elle ne comprenait rien à rien, ce qui était plutôt paradoxal lorsqu’on savait qu’Eleanor vivait presque chez sa meilleure amie tant elle avait en horreur Brooklyn. Et cette dernière l’accueillait toujours. Mais bon, cela n’empêchait pas Eleanor de râler. Entendant un mouvement à côté d’elle qui avait une sonorité alarmante pour la brunette, la jeune femme sortit du lit et éteignit l’alarme de son portable. Elle soupira en avisant la chambre plongée dans les pénombres : Dolce blottie au chaud sous la couette et New York encore dans la nuit derrière les lourds rideaux. Cette vision ne motivait pas la demoiselle à se préparer pour aller à l’hôpital. En plus, elle devrait affronter le nouveau froid hivernal. Noël se rapprochait et cela se remarquait avec les degrés qui descendaient un peu plus chaque jour.

    Maintenant qu’elle était debout, Eleanor s’activa pour ne pas arriver tout de même en retard à l’hôpital. La journée s’écoulerait vite, elle en était sûre. Ou du moins, elle tentait de s’en persuader. Après tout, l’unique problème de sa journée se résumait à une seule personne et ils n’allaient pas rester collé ensemble toute la durée du jourr. C’était déjà ça. Eleanor aurait le temps de ravaler ses pulsations tantôt meurtrières pendant que Harper irait faire dieu sait quoi. Qu’est-ce qu’elle ne pouvait pas la saquer … à chaque fois, elle était tentée de lui envoyer un objet contenant à la tête en se disant qu’il aurait l’avantage d’être déjà à l’hôpital. Mais gardant un soupçon de conscience, elle évitait de changer de voie. Elle voulait sauver des gens, pas les blesser. Combien même c’était tentant pour certain.

    Après s’être douchée, maquillée et coiffée –bref après avoir retrouvé visage humain- Eleanor enfila un jean cigarette et un pull avant de refermer la porte de la chambre de Dolce. Elle traça après directement à la porte d’entrée où elle trouva sa veste, une écharpe et ses bottes qui lui permettaient de gagner quelques précieux centimètres. Et enfin après, Eleanor se prit le froid qui habitait New York avec une grimace bien marquée et elle regarda avec envie le portier qui était à l’intérieur. Soupirant, elle s’encouragea à marcher jusqu’à une bouche de métro pour rejoindre l’hôpital et elle traîna les pieds en le voyant apparaître au coin de la rue. Cela ne la motivait réellement pas de voir le visage d’Harper. Elle avait eu un bon week-end et voilà que son début de semaine semblait destiné à commencer avec la colère. C’est en soupirant qu’Eleanor passa les portes qui s’ouvrirent sur son chemin et elle rejoignit le vestiaire où elle se changea. Avisant qu’Appolon n’était pas dans le coin et elle alla l’attendre à leur lieu de rendez-vous : le bureau des infirmières.
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MessageSujet: Re: you can never break me . Appolon Harper you can never break me . Appolon Harper EmptyMer 16 Déc - 2:33

    Assis dans mon lit le dos collé au mur j’avais le regard fixé sur le mur d’en face, la couverture légèrement remonté jusqu’à mes cuisses je me contentais simplement de regarder ce mur sans jamais le lâcher du regard méditant à ce qu’allait bien pouvoir me réserver ma pitoyable journée qui ne s’annonçait guère plus attrayante que celles qui les avaient précédé. D’un seul coup le nom d’Eleanor Daniel fit irruption dans mes pensées s’imposant parmi toutes les autres je me souvenus qu’aujourdhui je devais m’occuper de la nouvelle qui franchement un poids en plus à gérer dans cet hôpital, comme si il n’y avait pas déjà assez à faire. Aujourd’hui encore un petit détail m’échappait, pourquoi m’avoir nommé responsable de cette première année, ceci était vraiment quelque chose qui me dépassait. Je ne suis pas le meilleur dans mon domaine, je me débrouille certes mais je suis loin d’être le meilleur alors pourquoi offrir aux nouveaux la médiocrité au lieu de l’excellence, la seule raison que je peux associé à ce nouveau rôle est une punition. Ils ont fait ça certainement pour me punir de mon attitude de « rebelle » comme les responsables diraient, guère apprécié je ne cherche pas vraiment à me faire des amis mais simplement à accomplir la tâche qui m’est donné de faire alors pourquoi m’encombré encore plus ? La sonnerie stridente de mon réveil se mit alors à retentir dans la totalité de ma chambre, un son vraiment désagréable avec lequel il n’est vraiment pas bon de se réveiller, heureusement que moi je me lève toujours bien avant l’heure requise. Sortit de mes pensées et en continuant de fixer le mur je donna un léger coup sur le dessus de la machine d’un geste machinal. Sortant de mon lit je me dirigea vers la salle pour me redonner meilleur mine, enfilant un jean et un simple tee shirt noir j’étais fin prêt et pourtant il me restait pourtant bien une demi heure avant de partir.
    Allumant ma chaîne hifi j’augmenta le son à fond ne me préoccupant pas des voisins à savoir si il dormait ou pas, c’est donc dans un air entraînant que je traversa mon appartement en direction de la cuisine et d’avaler un morceau en m’installant devant la télévision. Zappant les chaînes de la télévision je regardais plus les images qui défilaient sous mes yeux sans grand intérêt plus concentré dans la musique qui embaumait tout l’appartement. Le temps passa plus vite que je ne le croyais et très vite je me retrouvais en retard, enfilant simplement mon cuir je pris mon briquet et le paquet de cigarette pour ensuite sortir de l’appartement prenant bien soin de fermer derrière moi. M’allumant une cigarette je commença à tirer quelques latte alors que j’affrontais en même temps le froid hivernal qui s’était rapidement installé en ce mois de décembre, vêtu d’un simple cuir je ne comptais pas changer mon style en fonction des degrés qu’il faisait dehors, continuant ma cigarette je continuais vers le métro que je réussis à attraper de justesse. J’allais de nouveau être en retard mais après qu’est-ce que cela pouvait bien faire, il n’y avait que la jeune femme qui était susceptible de m’attendre si elle-même avait daigné arriver à l’heure.

    Arrivant devant l’hôpital je jeta à terre une nouvelle cigarette qui était à moitié entamer pour ensuite entrer dans l’établissement après que les deux portes se soient ouvertes devant moi. A peine j’eu franchis le seuil de l’entrer que déjà un responsable m’ordonna d’enfiler pour une fois une blouse blanche, bien évidemment je me contenta simplement de l’ignorer en me dirigeant vers le bureau des infirmière ou je pouvais déjà voir la nouvelle entrain de m’attendre. A cette vision je ne pus m’empêcher de pousser un léger soupir regrettant le fait qu’elle soit à l’heure, au bureau je ne pris même pas le temps de la saluer et lui donna directement une tâche à effecteur,
    « rends toi à l’étage des vieux, un d’entre eux a eu un accident il faut que tu t’en occupe. Si tu sais pas comment faire demande à une infirmière qu’elle te montre comment faire… » A quoi bon utiliser les formules de politesse, ce n’était qu’une perte de temps, je préférais aller droit au but et puis pourquoi me montrerais je de manière si formel envers une personne qui a pratiquement mon âge. Après avoir donné quelques consignes je me rendis aux vestiaires pour poser mon manteau et rester en tee-shirt pour me sentir plus à l’aise. A mon retour au bureau des infirmières la jeune femme n’était toujours pas de retour, je me contentai alors de m’asseoir sur le comptoir feuilletant les différents compte rendus qui se trouvaient à porté de main.
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