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We roll the dice, we play like fools, plead with time to change the rules, it's like a hurricane is coming our way we've all been warned but we still chose to stay.

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MessageSujet: We roll the dice, we play like fools, plead with time to change the rules, it's like a hurricane is coming our way we've all been warned but we still chose to stay. We roll the dice, we play like fools, plead with time to change the rules, it's like a hurricane is coming our way we've all been warned but we still chose to stay.  EmptyLun 7 Jan - 16:09

Enième soirée au boulot… Bree faisait de plus en plus d’heures supplémentaires pour compenser celles qu’elle ratait en journée à cause de ses cours. Elle se retrouvait donc à travailler jusqu’à assez tard le soir, restant avec les avocats qui travaillaient encore sur des dossiers important alors qu’elle rentrait habituellement chez elle. Cela ne la dérangeait pas de passer plus de temps que ça au bureau, elle aimait y être et elle aimait son travail. Elle n’arrêtait pas de se dire à quel point elle était chanceuse d’avoir eu ce poste. Beaucoup d’autres étudiants auraient tout fait pour être à sa place mais elle avait été la meilleure. Elle était la meilleure, dans nombre de domaines. Jusqu’ici personne n’avait eu à se plaindre d’elle – well, peut-être Joan mais ça n’avait aucun rapport avec le travail – et elle faisait tout pour être irréprochable et forcer l’admiration de ses patrons. A aucun moment ils ne devaient regretter de l’avoir engagée. Aujourd’hui, elle triait différents dossier que le plus vieux des deux frères lui avait donné à trier. Elle devait également vérifier que les agendas des différents avocats du cabinet étaient tenus à jour et ne comportaient aucune erreur. C’étaient là ses principales tâches même s’il pouvait lui arriver d’assister à des réunions avec des clients, pour se familiariser avec le métier, en apprendre toujours plus. Tout était bon à prendre, surtout en considérant le fait qu’elle déjà en train de préparer l’examen du barreau. Elle travaillait avec d’excellents professionnels alors c’était extrêmement bénéfique qu’ils lui permettent de les assister.

Ils n’étaient plus beaucoup ce soir. Avec la tempête qui s’annonçait, les gens avaient préféré rentrer tôt pour justement s’assurer de pouvoir rentrer et ne pas finir coincé quelque part comme ça finissait toujours par arriver à quelqu’un avec de telles conditions climatiques. Elle, elle n’en avait rien à faire. Tant pis si elle devait passer la nuit ici, elle n’avait personne qui l’attendait dans son appartement, aucun chat ou poisson à nourrir, aucune plante à s’occuper. Elle espérait juste que Denver ne choisisse pas ce soir en particulier pour venir la voir. Bon il n’était quand même pas si stupide que ça, il n’allait pas sortir un soir de tempête… Enfin, la jeune femme se méfiait quand même assez avec son frère, il avait souvent de drôles d’idées. Elle ne tenait simplement pas à le retrouver empalée avec un poteau qui se serait détaché ou un autre truc gore du genre. Bree fit une pause dans son travail à un moment donné. Elle était allée près de la fenêtre et avait observé l’extérieur quelques instants. L’air était étrange, le « décor » était étrange. Pour une fois, les météorologues ne s’étaient pas trompés, quelque chose de plutôt mauvais s’annonçait. Il pleuvait d’ailleurs et même s’il faisait nuit elle pouvait distinguer les gros nuages, c’était vraiment inhabituel. Puis elle voyait et surtout entendait le vent souffler très fort. Inquiétant. Elle était bien contente d’être à l’intérieur et elle était certaine à présent qu’elle passerait la nuit ici.

La seule autre personne qui était présente avec elle, ironiquement ou non, c’était Joan. Ce même Joan avec qui elle avait plus ou moins des « problèmes ». Ils avaient pu commencer à s’expliquer il n’y avait pas si longtemps mais la conversation avait tourné court avec l’arrivée de leurs sauveurs. Les choses allaient quand même mieux entre eux, elle avait fait quelques efforts pour être moins désagréable même si elle était toujours touchée au fond. La rousse entendit le jeune homme arriver derrière elle. « C’est moche ce temps. » dit-elle sans se retourner, toujours à observer le ciel. « J’ai beau ne pas en avoir grand-chose à faire d’habitude, je dois dire que c’est assez inquiétant. » Elle marqua une courte pause, soupira. « Bon après ça a quand même quelques avantages… On se dit forcément qu’on est mieux ici plutôt que dehors et tant qu’on est ici, on finit par se dire également qu’il faut qu’on travaille. On n’est pas distraits comme ça puis autant s’occuper hein… Ça me permet également d’éviter un dîner chez mes parents, ce qui n’est pas négligeable et… » Elle s’interrompit, se tournant vers lui un léger sourire aux lèvres. « Ca peut être bénéfique pour nous, on va surement être coincés ici un moment alors on va pouvoir finir de s’expliquer. » Elle était toujours un peu frustrée qu’ils n’aient pas réussi à le fait complètement la dernière fois. « Enfin si tu en as envie ou si tu ne penses pas que c’est mieux de laisser tout ce qu’il s’est passé derrière nous et de ne plus en parler. Up to you. » ajouta-t-elle tout en haussant les épaules.


Dernière édition par Briar-Rose McDaniels le Mar 12 Mar - 19:16, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: We roll the dice, we play like fools, plead with time to change the rules, it's like a hurricane is coming our way we've all been warned but we still chose to stay. We roll the dice, we play like fools, plead with time to change the rules, it's like a hurricane is coming our way we've all been warned but we still chose to stay.  EmptyDim 10 Mar - 5:00

Dans son bureau, Joan jeta un coup d’œil à la fenêtre pour admirer le superbe temps qui s'offrait aux new yorkais. Le vent commençait à souffler fortement, ce qui déplut au jeune homme. Oui, oui, il savait ce que ça signifiait, d'autant plus que tout le monde avait été prévenu à la télévision par quelques chaînes d'informations. Si il avait su que ça serait compliqué de rentrer chez lui, il ne serait pas venu et aurait inventé une excuse banale comme celle de la maladie. Mais il était là, et il se faisait tard. Son premier réflexe fut alors de décrocher le téléphone et de composer le numéro de sa petite sœur histoire de lui donner des nouvelles et de la rassurer sur le fait qu'il rentrerait éventuellement tard. Ah et puis après il allait sûrement devoir appeler sa grand mère pour la rassurer, elle aussi. Joan attendit que la première sonnerie retentisse, mais au lieu de cela, une coupure survint direct. Étrange. Enfin pas tellement étant donné le temps qu'il faisait. C'était même logique. Les lignes devaient être saturées ou quelque chose dans le genre. Tant pis, sa sœur comprendrait sûrement, mais peut être pas sa grand mère qui allait s'inquiéter pour son petit fils. Il raccrocha puis replongea son regard dans le dossier qu'il avait sous les yeux. Jetant un coup d’œil à son portable pour connaître l'heure, il se dit alors qu'il avait bien bossé dessus et qu'il n'y avait pas que la ligne qui commençait à saturer. Il le ferma d'un coup et se leva de son fauteuil. A cette heure ci, il devait être un des rares présents du bâtiment, tandis que les autres devaient être partis plus tôt histoire d’éviter la tempête justement. Pourquoi n'avait il pas suivi le mouvement, uh ? Le jeune homme se leva de son fauteuil puis sortit du bureau. De là, il décida de se diriger vers l'entrée de l'étage, qui était également le centre des bureaux. A vrai dire le jeune avocat était rongé par la curiosité. Curieux de voir si Briar-Rose était toujours présente. Malgré leurs petits différents, qui étaient ridicules en soit, il aimait bien la demoiselle et les choses commençaient à s'éclaircir. Il la vit de dos non loin des fenêtres, elle aussi, à admirer le temps. Sans l'interpeller ou quoi que ce soit, il se rapprocha d'elle. « C’est moche ce temps. » Il ne répondit rien puisque de toute manière sa réponse semblait évidente. « J’ai beau ne pas en avoir grand-chose à faire d’habitude, je dois dire que c’est assez inquiétant. » Même si elle ne pouvait pas le voir, Joan hocha doucement la tête pour acquiescer. Son regard était également tourné vers le ciel gris à la limite d'être noir. « Bon après ça a quand même quelques avantages… On se dit forcément qu’on est mieux ici plutôt que dehors et tant qu’on est ici, on finit par se dire également qu’il faut qu’on travaille. On n’est pas distraits comme ça puis autant s’occuper hein… Ça me permet également d’éviter un dîner chez mes parents, ce qui n’est pas négligeable et… » Il la laissait blablater, ne sachant pas quoi répondre, mais il fut légèrement surpris lorsqu'elle se retourna vers lui avec un large sourire aux lèvres. « Ca peut être bénéfique pour nous, on va surement être coincés ici un moment alors on va pouvoir finir de s’expliquer. » Celle la, il ne s'y attendait pas. Un peu pris au dépourvu, il ouvrit légèrement la bouche laisser sortir qu'un simple « Heu.. » . « Enfin si tu en as envie ou si tu ne penses pas que c’est mieux de laisser tout ce qu’il s’est passé derrière nous et de ne plus en parler. Up to you. » C'était donc à lui de choisir. Il haussa doucement les épaules. Il est vrai que la dernière fois qu'ils furent dans cette situation, c'était dans l'ascenseur du bâtiment et ils n'avaient pas eu le temps d'en finir. « Je suppose que ça serait mieux, ouais. » Puis au moins tout serait mis au clair, et une amitié entre les deux pourrait naître. Il s'éloigna d'elle pour aller s'asseoir sur un bureau et prit une agrafeuse qui traînait à côté de lui. « Je ne sais pas trop par quoi commencer, mais ouais. » Avoir lancé le sujet comme ça l'avait plutôt mis mal à l'aise et ne savait pas non plus trop quoi dire. « Si tu veux commencer, vas y. Suspect à la barre, ahah. » Se permit il de plaisanter histoire de se détendre un peu. Il posa son regard sur l’agrafeuse qu'il avait entre ses mains et se mit à jouer avec. « Enfin, j'dis ça surtout parce que tu as l'air d'être la plus blessée dans l'histoire. » continua t-il, doucement.
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MessageSujet: Re: We roll the dice, we play like fools, plead with time to change the rules, it's like a hurricane is coming our way we've all been warned but we still chose to stay. We roll the dice, we play like fools, plead with time to change the rules, it's like a hurricane is coming our way we've all been warned but we still chose to stay.  EmptyMar 12 Mar - 22:06

Briar-Rose se retrouvait donc coincée au bureau avec la dernière personne avec qui elle aurait souhaité que ça arrive : Joan. C’était quand même la deuxième qu’il leur arrivait une chose pareille, elle avait encore en mémoire le coup de l’ascenseur qui tombe en panne. Cela n’avait heureusement pas duré trop longtemps mais cette fois-là, ça s’annonçait quand même compromis pour qu’ils soient libérés rapidement. De simples ouvriers techniques ne pourraient pas leur être d’une grande aide malheureusement. Mais bon, loin de dramatiser, la jeune femme décida de profiter du moment pour qu’ils règlent enfin tout ce qui n’était pas réglé entre eux. Il y avait beaucoup de rancune de son côté à elle et comme elle ne l’avait pas épargné pendant les quelques mois depuis lesquels ils avaient commencé à travailler ensemble, elle ne doutait pas qu’il y en avait également du côté du jeune homme. Elle était en train d’observer le temps lorsqu’elle l’entendit arriver derrière elle. Elle n’entre pas directement dans le vif du sujet, préférant parler du mauvais temps – et pour une fois ce n’était pas une image. Elle ne voulait pas qu’il ait l’impression qu’elle voulait l’agresser, qu’elle le cherchait encore. Elle avait avancé, vraiment ! Elle faisait beaucoup d’efforts depuis cette fameuse nuit dans l’ascenseur pour ne plus cracher son venin à tout bout champ et surtout ne plus lui en faire voir de toutes les couleurs au boulot et ainsi arrêter de risquer de perdre bêtement sa place dans le cabinet. Elle prenait sur elle, vraiment, et ça elle espérait que Joan l’avait remarqué. Soit, aucune animosité ne l’habitait ce soir et c’était plutôt exceptionnel surtout considérant le fait qu’elle se trouve dans une situation pour le moins stressante.

Cela sembla déconcerter le jeune homme de la voir si détendue en abordant un tel sujet. « Heu.. » Elle se mordit la lèvre, peut-être qu’elle n’aurait pas dû aborder la question si soudainement. Pourtant, elle estimait être restée correcte et y être allée assez doucement. Elle lui laissa quand même le choix, s’il n’avait pas envie d’en parler et faire comme si rien ne s’était passé, ça lui irait très bien aussi. Bien sûr, elle savait qu’en laissant ça commence ça les choses allaient « pourrir » et la situation finirait par s’envenimer d’une manière ou d’autre. Mais elle estimait qu’elle s’était quand même pas mal ridiculisée à agir comme une gamine avec lui et elle n’en était pas très fière, donc que cette histoire ne lui revienne pas à l’esprit n’était pas plus mal non plus. « Je suppose que ça serait mieux, ouais. » La jeune femme hocha la tête puis sourit, satisfaite, tout en le regardant aller s’assoir sur un bureau. Elle avait vraiment envie d’avancer et qu’ils puissent être amis. « Je ne sais pas trop par quoi commencer, mais ouais. » « C’est déjà un début. » concéda-t-elle. Il semblait toujours aussi déconcerté mais il n’y avait aucune animosité dans ses paroles. Elle l’avait plusieurs fois mis hors de lui et cela aurait été logique qu’il l’envoie balader. « Si tu veux commencer, vas y. Suspect à la barre, ahah. » Bree afficha une moue pensive et rit avec lui, poliment. Puis elle leva sa main droite. « Je jure de dire toute la vérité et rien que la vérité. » continua-t-elle. L’heure n’était cependant plus à la plaisanterie et elle était sur le point de lui parler très sérieusement. « Enfin, j'dis ça surtout parce que tu as l'air d'être la plus blessée dans l'histoire. » Bien évidemment qu’elle était blessée ! Elle n’était pas un robot, elle avait un cœur et des sentiments et elle estimait que Joan avait joué avec celui-ci. C’était ça qui l’avait le plus énervée, le fait qu’il n’ait pas eu l’air de s’en rendre compte et qu’il ne le reconnaisse toujours pas. Elle le regarda sans un mot plusieurs secondes. Ne pas s’énerver. « Hum, déjà, je voudrais te remercier d’accepter qu’on parle. Etant donné tout ce qu’il s’est passé, je ne pensais pas que tu accepterais. Mais j’en ai vraiment besoin alors… merci. » Nouveau sourire. « Puis il faut que je m’excuse aussi. Je suis désolée pour mon comportement ces derniers mois, c’était totalement déplacé et pas du tout professionnel. J’ai conscience d’avoir mis en péril notre travail à tous les deux et le bon fonctionnement du cabinet et je n’aurais pas dû. » La jeune femme se racla alors la gorge et fit une pause, laissant à Joan le temps d’assimiler tout ça. Elle ne perdit pas plus de temps et continua. « Donc, oui… Je te le dis franchement, tu m’as blessé. Enfin je pense et j’espère surtout que tu l’avais compris parce que je ne suis pas une espèce de folle qui aime torturer les gens pour le plaisir. » Nouvelle pause, elle le fixa dans les yeux silencieusement quelques secondes. « Ce n’était pas une réaction très intelligente mais je n’ai pas vraiment réussi à le contrôle, j’ai agi très impulsivement, ça ne e ressemble vraiment pas. Donc sache juste que si j’ai fait tout ça c’était parce que tu m’as blessé et que je t’en ai vraiment voulu. Et je t’en veux toujours mais j’ai appris à faire avec. » Bon voilà, ça suffirait sans doute pour le moment, elle n’allait pas tout lui déballer sans lui laisser de chance de s’expliquer entre temps.
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MessageSujet: Re: We roll the dice, we play like fools, plead with time to change the rules, it's like a hurricane is coming our way we've all been warned but we still chose to stay. We roll the dice, we play like fools, plead with time to change the rules, it's like a hurricane is coming our way we've all been warned but we still chose to stay.  EmptyLun 18 Mar - 6:23

« Je jure de dire toute la vérité et rien que la vérité. » Joan hocha pour approuver ce qu'elle venait de dire. C'était évidemment la phrase à dire lorsqu'on était appelé à la barre pour témoigner. Au moins elle n'avait pas pris de travers sa petite plaisanterie. Certaines filles l'auraient fait, et il le pensait par expérience. « Hum, déjà, je voudrais te remercier d’accepter qu’on parle. Etant donné tout ce qu’il s’est passé, je ne pensais pas que tu accepterais. Mais j’en ai vraiment besoin alors… merci. » Une hocha de nouveau la tête comme pour lui faire comprendre qu'il n'y avait pas de quoi et que c'était presque normal. De toute manière, il fallait bien qu'ils aient cette discussion un jour ou l'autre. « Puis il faut que je m’excuse aussi. Je suis désolée pour mon comportement ces derniers mois, c’était totalement déplacé et pas du tout professionnel. J’ai conscience d’avoir mis en péril notre travail à tous les deux et le bon fonctionnement du cabinet et je n’aurais pas dû. » En effet, ce ne fut pas vraiment professionnel, mettant par ailleurs parfois Joan dans l'embarras. En fait, durant ces dernières semaines il avait eu l'impression à faire à une gamine qui capricieuse qui lui faisait une sorte de chantage permanent. Au moins, elle avait la décence de s'excuser auprès de lui. Certaines ne l'auraient sûrement pas fait. « Donc, oui… Je te le dis franchement, tu m’as blessé. Enfin je pense et j’espère surtout que tu l’avais compris parce que je ne suis pas une espèce de folle qui aime torturer les gens pour le plaisir. » Évidemment. Il n'y avait pas qu'elle qui devait en prendre pour son grade. Lui aussi y était pour quelque chose puisque ce n'était pas pour rien qu'elle lui en faisait voir de toutes les couleurs. Du moins, il ne la pensait pas comme ça et ce pour le peu qu'il la connaissait. Sa révélation lui fit un petit pincement au cœur car il avait comme l'impression d'avoir un peu touché une de ses sœurs. Joan avait cette sale manie de faire ça. Relier toutes les filles aux demoiselles de sa famille. « Ce n’était pas une réaction très intelligente mais je n’ai pas vraiment réussi à le contrôle, j’ai agi très impulsivement, ça ne e ressemble vraiment pas. Donc sache juste que si j’ai fait tout ça c’était parce que tu m’as blessé et que je t’en ai vraiment voulu. Et je t’en veux toujours mais j’ai appris à faire avec. » Il grimaça légèrement et attendit un petit peu avant de s'exprimer pour voir si elle avait terminer. Apparemment oui, pour l'instant. « Je sais que ma réaction n'a pas du être facile pour toi. J'ai totalement snobé ce qu'on avait partagé et je comprends que tu as pu en être blessé. J'en suis également désolé. Par contre, que tu m'en veuilles toujours, ça je t'avouerais que je ne le comprends pas.. » Il marqua une pause. Il devait prendre la chose avec des pincette si il ne voulait pas envenimer les choses et attirer les foudres de la jeune rousse. « Je pense que tu aimes avoir le contrôle sur les choses, et je peux le comprendre que ça fait parti de toi. Mais il faut que tu saches aussi faire la part des choses. Tu ne peux pas contrôler ce que moi je veux, c'est à dire une certaine distance entre nous pour le bien de notre travail. A vrai dire, je pense surtout que j'ai blessé ton ego en refusant ce que toi tu voulais. » Il n'était plus trop sûr de ce qu'il disait et avait un peu l'impression de se mélanger les pinceaux. Que c'était compliqué les filles. Du moins les exigeantes. « Enfin, j'veux dire.. Tu peux pas m'en vouloir pour ça quand même ? »


(drama on o/ ->)
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MessageSujet: Re: We roll the dice, we play like fools, plead with time to change the rules, it's like a hurricane is coming our way we've all been warned but we still chose to stay. We roll the dice, we play like fools, plead with time to change the rules, it's like a hurricane is coming our way we've all been warned but we still chose to stay.  EmptyLun 18 Mar - 18:43

Joan avait accepté, malgré tout ce qu’il s’était passé, d’écouter les explications de Briar-Rose quant à son comportement de ces derniers mois envers lui. Ce n’était pas forcément évident pour la jeune femme qui par principe, ne s’excusait jamais. C’était un aveu de faiblesse et elle refusait d’être faible, elle ne serait jamais faible et valait mieux que ça. Mais parfois, elle savait que c’était nécessaire. C’était le cas ici. Elle était allée beaucoup trop loin et elle devait absolument s’excuser. Qu’elle veuille l’admettre ou non, Joan était quand même important pour – tout comme son travail – et elle ne voulait pas risquer de perdre l’un des deux pour des gamineries. Du coup, présenter des excuses s’était imposé comme étant la meilleure solution. Et heureusement pour elle, le jeune homme n’y était pas hostile et lui facilitait plutôt les choses. S’il avait été réticent, elle en aurait compris qu’il n’en avait absolument rien à faire d’elle et donc elle n’aurait pas vu l’utilité d’aller plus loin. En même temps… ils n’avaient rien d’autre à faire ici à part travailler. Et comme ils allaient être coincés ensemble un bon moment, autant en profiter quoi.

La jeune femme se mit donc à lui expliquer pourquoi elle avait agi comme ça et surtout, s’excusa. C’était le plus important et elle espérait vraiment qu’il accepter ses excuses. Mais bon, Joan n’était pas méchant, elle le voyait mal la repousser totalement. Enfin ce n’était pas pour ça qu’elle était complètement rassurée. « Je sais que ma réaction n'a pas dû être facile pour toi. J'ai totalement snobé ce qu'on avait partagé et je comprends que tu as pu en être blessé. J'en suis également désolé. Par contre, que tu m'en veuilles toujours, ça je t'avouerais que je ne le comprends pas.. » Briar-Rose hocha la tête. C’était déjà ça, au moins il acceptait ses excuses. Néanmoins, elle ne comprenait pas qu’il ne comprenne pas pourquoi elle agissait comme ça… Il était censé vivre entouré de femmes, il n’avait rien appris ou quoi ? « Je pense que tu aimes avoir le contrôle sur les choses, et je peux le comprendre que ça fait partie de toi. Mais il faut que tu saches aussi faire la part des choses. Tu ne peux pas contrôler ce que moi je veux, c'est à dire une certaine distance entre nous pour le bien de notre travail. A vrai dire, je pense surtout que j'ai blessé ton ego en refusant ce que toi tu voulais. » Elle avait de plus en de mal à le suivre et surtout à accepter ce qu’il disait. Elle écarquillait même les yeux mais se contente, elle s’était promis de ne pas s’énerver. Elle n’aimait juste pas qu’on l’analyse. Personne n’arrivait à la saisir complètement et quand c’était le cas, elle n’appréciait pas qu’on puisse la percer à jour. Et là elle devait admettre en son for intérieur qu’il n’avait pas tout à fait tort… Tout contrôler était une manière de ne pas se faire mal et c’était exactement ce qu’il s’était passé. Mais bon il ne semblait pas pouvoir comprendre ça alors pourquoi perdrait-elle du temps à lui expliquer ? « Enfin, j'veux dire.. Tu peux pas m'en vouloir pour ça quand même ? » Elle soupira alors puis le regarda dans les yeux. « Tu sais quoi on a qu’à arrêter là, c’était une mauvaise idée après tout. On n’est absolument pas sur la même longueur d’ondes et je pense que j’aurais beau t’expliquer tu ne comprendras toujours rien. Donc écoute voilà, je me suis excusée, on va en rester là. Je te promets que dorénavant je serais correcte envers toi au travail. » Elle n’aimait pas le chemin que prenait leur discussion et elle sentait qu’elle allait perdre le contrôle assez vite alors autant tout arrêter.
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MessageSujet: Re: We roll the dice, we play like fools, plead with time to change the rules, it's like a hurricane is coming our way we've all been warned but we still chose to stay. We roll the dice, we play like fools, plead with time to change the rules, it's like a hurricane is coming our way we've all been warned but we still chose to stay.  EmptyMar 19 Mar - 4:04

« Tu sais quoi on a qu’à arrêter là, c’était une mauvaise idée après tout. On n’est absolument pas sur la même longueur d’ondes et je pense que j’aurais beau t’expliquer tu ne comprendras toujours rien. Donc écoute voilà, je me suis excusée, on va en rester là. Je te promets que dorénavant je serais correcte envers toi au travail. » Joan fronça les sourcils, peu sûr d'avoir vraiment compris ce qu'elle voulait dire. « Attends .. Tu veux qu'on arrête d'en discuter ? C'est ça ? » Il leva les sourcils, surpris. Sérieusement, si il y existait un dictionnaire dans ce monde qui définissait exactement comment les femmes fonctionnaient, qu'il se montre. Un coup elle veut qu'ils parlent de ce qui s'est passer afin de mettre les choses au clair, et d'un autre elle ne voulait plus. Non, vraiment là, c'était à se pendre. « T'es sérieuse ? » Demanda t-il. On savait jamais. Peut être qu'elle lui faisait une plaisanterie pour le taquiner. Mais il en doutait vu la manière dont t-elle s'était braquée. « J'ai encore dit quelque chose qui t'a blessé ? » Si c'était le cas, il allait remettre son tact en question. Ou bien alors elle prenait vraiment tout mal. « T'es vachement susceptible en fait, quand on y pense. » Finit il par lâcher. Non là, il n'était pas décidé a se remettre en question. C'était elle qui qui en faisait tout un truc alors qu'il essayait juste d'afficher son point de vue. C'était comme ça que ça marchait avec elle dans ce cas ? C'était elle qui parlait et dirigeait et lui qui se la fermait ? Le jeune avocat voulait bien être adorable, gentil, patient, mais il ne voulait pas non plus être soumis et dire amen à chaque fois qu'elle exprimait son mécontentement pour pas grand chose. « Et n'insinue pas que je suis idiot juste parce que je n'ai pas compris certaines choses. Si tu prends le temps de m'expliquer, je peux comprendre. Et tu peux également avouer que c'est ridicule de m'en vouloir encore. Tu peux pas m'en vouloir juste parce que je ne veux pas être avec toi. » Uh, il avait peut être été dur dans ses derniers mots. Mais ça avait commencé à énervé. Il avait vraiment l'impression qu'elle le prenait pour un con qui ne comprenait rien, et ça, il n'appréciait pas.

(c'est tout court :< .. désolée :< .. )
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MessageSujet: Re: We roll the dice, we play like fools, plead with time to change the rules, it's like a hurricane is coming our way we've all been warned but we still chose to stay. We roll the dice, we play like fools, plead with time to change the rules, it's like a hurricane is coming our way we've all been warned but we still chose to stay.  EmptyMar 19 Mar - 12:26


Briar-Rose était pleine de bonne volonté. Elle avait fait beaucoup d’efforts et pris sur elle et peu de personnes pouvaient se vanter qu’elle ait fait ça pour eux. Mais plus la conversation allait, plus elle perdrait le contrôle et moins elle aimait ça. Ça lui apparaissait petit à petit comme une mauvaise idée ou en tout cas, à part soulager sa conscience – qui ne la dérangeait pas tant que ça en fin de compte – cela ne lui apportait rien du tout. Elle s’excusa donc une dernière fois auprès de Joan et lui promit qu’il n’y aurait plus aucun geste ou aucune parole déplacée envers lui de sa part. « Attends .. Tu veux qu'on arrête d'en discuter ? C'est ça ? » Elle le regarda avec insistance et dut se retenir de lever les yeux au ciel. « C’est exactement ce que je viens de dire. » « T'es sérieuse ? » Elle soupira sans cesser de le fixer. Franchement, elle avait l’air de plaisanter là ? Il était vraiment lent à la détente. « J'ai encore dit quelque chose qui t'a blessé ? » Ce n’était pas tant qu’il l’avait blessé… Pas du tout même. Elle n’avait simplement pas apprécié qu’il essaye de l’analyser comme il venait de le faire. En fait elle ne savait même pas pourquoi ça la dérangeait autant mais ça la dérangeait, sinon elle n’aurait pas réagi comme ça. Ils étaient plutôt bien partis en plus, et elle était en train de tout gâcher. Mais elle ne pouvait pas revenir en arrière sous risque de passer pour une folle, une maniaco-dépressive ou quoi du genre. « T'es vachement susceptible en fait, quand on y pense. » Elle haussa les épaules et afficha un air « coupable ». Elle l’assumait totalement et si ça lui posait un problème eh bien tant pis pour lui. « Et n'insinue pas que je suis idiot juste parce que je n'ai pas compris certaines choses. Si tu prends le temps de m'expliquer, je peux comprendre. Et tu peux également avouer que c'est ridicule de m'en vouloir encore. Tu peux pas m'en vouloir juste parce que je ne veux pas être avec toi. » Elle soupira à nouveau. « Je n’ai jamais dit que tu étais un idiot, c’est toi qui comprends ce que tu veux. J’ai juste dit que tu ne comprenais pas, c’est aussi simple que ça. Et je ne t’en veux pas, franchement à ce stade je m’en fiche. Cherche pas plus loin s’il te plait, je t’ai dit que je te laisserais tranquille, c’est pas ce que tu as voulu depuis le début et ce que tu veux toujours ? Parce que dans ce cas-là je ne te comprends pas non plus. » Elle tourna ensuite les talons. « J’ai du travail, bon courage à toi si tu retournes travailler aussi. »

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MessageSujet: Re: We roll the dice, we play like fools, plead with time to change the rules, it's like a hurricane is coming our way we've all been warned but we still chose to stay. We roll the dice, we play like fools, plead with time to change the rules, it's like a hurricane is coming our way we've all been warned but we still chose to stay.  Empty

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